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Citations de Pascal Dessaint (480)


Quand un gars récidive, c'est pas qu'il est plus con qu'un autre. C'est seulement qu'il est con plus souvent. Nuance.
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Les pauvres et les classes moyennes travaillent pour l'argent, les riches font en sorte que l'argent travaille pour eux !
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Être soi-même se révèle parfois une faute, ou une erreur. Il y a une grande différence. La faute est impardonnable, très souvent. L'erreur est rectifiable, si on a le temps pour soi.
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La mort comme la naissance est une affaire de femmes. Les hommes sont trop sensibles.
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Si la gloire appelle, dites-lui que le génie est aux chiottes !
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Quelquefois, je t'aimerais avec de grandes oreilles, une énorme trompe et d'immenses yeux attendrissants, tu pourrais me pousser de petits barrissements...
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Dans le meilleur des mondes, on ressortirait les guillotines. Ce n'est plus les châteaux en pierre qui seraient pris d'assaut, mais les tours vitrées des multinationales. Je saisirais certains gros bonnets à pleines couilles et leur ferais recracher tout ce qu'ils nous avaient pompé.
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Être adulte, ce n'était pas seulement avoir de belles miches et des poils sous les bras, ça voulait dire avoir du courage, être responsable en n'importe quelle circonstance, faire son devoir !
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C'était très beau, c'est toujours très beau la première fois. Après, on en vient à faire des promesses ou à exiger que l'autre vous en fasse, à faire en sorte de lui ressembler un peu ou bien le contraire, ou bien les deux. On se donne, si bien que l'on perd de soi. On prend les choses à l'envers et on se trompe, on persiste à croire que ce n'est pas sur toute la ligne.
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On ne dira jamais assez que la vie est une lutte de tous les instants, mais que s'il en est qui se sortent mieux que d'autres du guêpier, c'est la plupart du temps une capacité innée à profiter d'autrui, parce que ça ne défrise pas certains de marcher sur la gueule de leurs semblables.
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"Qu’est-ce qui est à l’œuvre ici, l’ordre ou le chaos?"
Rick BASS
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«  Quand il n’y a plus rien à gagner, on peut continuer à tout perdre ……. »
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Il est toujours plus facile de dire les choses aux gens quand on les rencontre pour la première fois, après on met les formes, sans soute parce qu'on commence à les aimer, sinon à les apprécier, et que c'est toujours chiant d'aimer les gens.
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Des femmes et des hommes viendraient. Il en venait déjà. Par dizaines. Ils seraient bientôt des centaines, d'ici et d'ailleurs. C'était réconfortant. Des humains encore parfois se levaient, s'opposaient, luttaient, non pas forcément pour changer le monde, mais pour résister, simplement, refuser que ça continue à se dégrader.
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La Nature nous surprend et nous subjugue, car elle se révèle un théâtre où les acteurs ne sont pas forcément à leur place mais nous ravissent par un certain sens de l’improvisation.
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Tu t'attends au pire et il n'y a que le pire qui survient, et c'est rassurant d'une certaine façon...
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"-Tu regardes les voies, mon oncle ?
-Toujours, tu sais bien ... Et il vaut mieux les regarder que les entendre !"
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Il paraît étrange que la naissance et la mort soient les seuls moments d'une existence dont on ne peut a priori garder aucun souvenir.
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On a beau se dire tous les jours, en se regardant dans la glace, que l'on n'est qu'un connard, on espère tout de même que quelqu'un, tous les jours aussi, vous prouvera le contraire.
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"Quand tu aimes, il faut partir", conseillait Blaise Cendrars.
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