Je me tiens debout devant la tombe, bien en face, pour me recueillir un moment avant de partir. Je n'entends plus criailler les corneilles noires non plus que bourdonner au loin le trafic automobile. Comme si j'étais frappé d'une sorte de surdité passagère due à l'émotion, je n'entends que mon cœur battre.