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Biographie :

4ème de couverture
Denis venait d’avoir treize ans. Jeune adolescent, il débordait de vitalité, de joie de vivre.
Rien dans son comportement ne laissait présager qu’un jour il mettrait fin à sa vie. Suicide ou accident ? Nous ne connaissons pas la réponse.
Il ne semble pas exister de mots pour décrire l’atrocité de la situation du parent qui perd son enfant. Au bout de dix années, Pascale Bauwens les trouve enfin et partage son histoire, leur histoire, celle d’une famille, mais surtout d’une maman. Submergée par le souvenir de son enfant, petit ogre qui accapare toutes ses pensées, elle doit pourtant reconstruire sa vie et celle de sa famille. Le chemin du deuil est long et demande de l’énergie, mais chaque étape à surmonter est nécessaire pour rebondir et rebâtir.
Ce travail d’écriture a permis à l’auteure de faire le point sur le chemin parcouru, elle nourrit le souhait que le fruit de cette réflexion pourra apporter un bouquet d’espérance à celui ou celle qui en aura besoin.

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Pascale Bauwens
C'est par la présence, le regard et le coeur que tout se dit, que tout se vit. Pge 56
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Un jour se lève, une nuit s'achève.
De grands yeux curieux s'ouvrent à la lumière,
Bienvenue sur terre, petit homme.

Petit oisillon prenant son envol
S'abreuvant d'amour, de rire et de rêve.
Dans son univers, il colore le monde
Alors que le mien devient sombre.

Pas assez de temps pour tout partager.
Pas assez de temps passé à t'aimer.
Une vie sur terre bien trop éphémère.

Mais l'amour d'une mère
n'a pas de frontière, petit homme.

Colchiques d'été récoltent mes larmes.
Casse-noix moucheté, emporte mes cris.
La bise se lève chassant ma détresse.
La montagne est belle, petit homme.

Dans la galaxie, les nuits sont magiques,
Les étoiles brillent, la tienne est unique,
Car sur notre terre, elle guide mes pas
Car, sur notre terre, elle éclaire ma vie,
Mon petit homme.
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pge 59 :
Quand l'arc-en-ciel mélange ses couleurs,
Que la chaleur n'atteint plus mon coeur,
Que la souffrance étouffe ma plénitude,
Que ta mort anéantit ma vie,
Alors, seulement, je mesure la profondeur du verbe "aimer"...
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pge 47 : Je te cherche dans l'été, dans la rosée du matin, dans le parfum des fleurs, dans un coucher de soleil, dans les étoiles, dans le regard des enfants, dans les éclats de rire, dans les lieux où nous sommes allés ensemble, dans les tableaux, dans les couleurs, dans l'univers.
J'ai besoin de penser à toi.
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pge 49 : J'ai encore tellement besoin de parler de toi Denis
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Les larmes sont une source intarissable, tu m'en fais verser des torrents, je suis épuisée, je perds pied, je n'arrive plus à contrôler les réactions de mon corps et je me sens parfois sans ressource. Avec tout l'amour d'une maman, j'ai accueilli ta vie. Maintenant, mon trésor, je te demande de m'aider à accueillir ta mort.
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" La vie circule encore, même si parfois j'en doute, ces subtils instants ne cessent de m'apprendre l'importance du temps. Et quand résonnent en moi les grelots de tes rires, l'univers se transforme en une suave gourmandise, affamant ma mémoire de tendres souvenirs, nourrissant mon présent de tout ce que je n'ai plus."
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"Ton départ m'a transformée, mon regard sur la vie est différent, son sens, l'importance des choses, le monde dans lequel nous vivons, tout me ramène a l'essentiel : la richesse du cœur, l'amour; la bonté, l'humilité, la tolérance. ..."
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" On ne nous demande plus comment nous allons, pour beaucoup de gens, le deuil reste tabou, rares sont les membres de la famille qui osent encore parler de toi. De quoi ont-ils peur? De raviver les souvenirs? De nous voir pleurer? De pleurer eux-mêmes? Je souffre de ces non-dits, j'ai besoin d'entendre ton nom, je t'ai mis au monde, tu as partagé notre vie, leur vie. Le souvenir, c'est tout ce qui reste. Je ne veux pas qu'on t'oublie, ... "
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"Nous ne pouvons pas laisser ta chambre telle quelle. Nous avons mis du temps à nous décider, c'est encore un cap à passer, encore une épreuve difficile. Mais le moment est venu, nous commençons à la transformer...C'est de ton lit que j'ai le plus de mal à me séparer."
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