- la peur. C'est la raison pour laquelle Marino s'agite en tous sens. Il voit la mort chaque jour, mais, lorsqu'il s'agit d'affaires sur lesquelles on travaille, on se berce de l'illusion qu'on peut la contrôler ou que si on la comprend suffisamment, ça ne nous arrivera jamais, rétorqué-je.