Ce sont les aïeux qui rendent compte de l'irrémédiable fin de l'existence humaine. On sait que toute mort précoce des parents, plus encore avant les grands-parents, à l'image de ce que Freud a connu avec sa fille Sophie, est un trauma, une entorse au destin qui reste inscrite dans l'existence de ceux qui continuent de vivre, enfants et ancêtres.