Rien n'est source d'autant d'angoisse et de commisération feinte à l'égard des "jeunes collègues", qu'un chahut qui témoigne de leur inexpérience et de la franche vitalité des chères têtes blondes dont ils n'arrivent pas, dit-on, à se "faire respecter". C'est la raison pour laquelle nous avons choisi d'aborder la question en proposant non pas une mais plusieurs analyses de ces grands débordements dont on aime tant se remémorer les temps forts mais qui sont venus à bout de plus d'un maître.