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Critiques de Patrick Gaumer (19)
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Boulouloum et Guiliguili, L'Intégrale - tome ..

Richement illustré, ce dossier permet de mieux (re)vivre le destin parfois difficile de cette série particulièrement inspirée par un scénariste pléthorique et illustrée par un dessinateur discret et talentueux, souvent sous-estimé par la critique, lequel pouvait enfin quitter le monde de ces « Mousquetaires ».
Lien : http://bdzoom.com/103899/act..
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Boulouloum et Guiliguili, L'Intégrale - tome ..

Cette seconde intégrale de Boulouloum et Guiliguili ne déçoit pas les amateurs. Un bien bel ouvrage pour une série qui mérite, quand même, une belle présentation.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Dictionnaire mondial de la bande dessinée

La bande dessinée a donc son dictionnaire — le summum de respectabilité. Sur la couverture cartonnée, il y a marqué «Larousse», c’est un grand livre bien épais, avec un cahier coloré qui sépare l’ouvrage en deux parties, et le seul poids dans nos mains suffirait à forcer le respect. Bref, c’est un dictionnaire comme on a appris à les connaître, un vrai — et ce, jusqu’à l’illustration de la couverture, et son patchwork de personnages laissant entrevoir la richesse du contenu de ces (nombreuses) pages. Et donc forcément, immanquablement, inévitablement une référence.[1]

Pour celui qui serait rien moins que convaincu, le quatrième de couverture n’hésite pas à préciser : «Incomparable par son étendue et sa fiabilité, cet ouvrage de référence est une mine d’informations très accessible. La bande dessinée y est abordée par des entrées qui ouvrent sur ses représentants les plus fameux comme sur ses plus jeunes talents, sur ses scénaristes et ses dessinateurs, mais aussi sur ses héros et personnages, ses séries, ses revues spécialisées et ses éditeurs, sans oublier ses termes techniques…» Joli programme.

A l’intérieur, une fois passée l’introduction de l’auteur qui réaffirme son ambition,[2] on plonge enfin dans le vif du sujet. Et c’est là que les choses se gâtent.



Une navigation difficile

Ne vous laissez pas abuser par le cahier coloré central, qui pourrait évoquer les feuilles roses des citations latines, lesquelles marquaient autrefois une démarcation entre les noms propres et les noms communs. Ici, la position dudit cahier n’a d’autre rôle que d’évoquer cette glorieuse filiation, faisant un clin d’œil à la «forme mythologique» du dictionnaire. Car ici, pas de séparation entre deux catégories distinctes d’articles, mais seulement une (longue) pause de 96 pages, qui vient couper la notule consacrée à Bob Kane en pleine phrase : «adepte du pop art, il expose // notamment à la Galerie internationale de New York, en 1969». Plutôt maladroit, on en conviendra.

Par ailleurs, auteurs, personnages, séries, revues ou termes techniques se retrouvent classés par ordre alphabétique, comme il se doit. Pour les œuvres étrangères, on est généralement renvoyé au titre en version originale,[3] et quelques auteurs au patronyme épineux (Ever Meulen, Bob Dan, Cheng Shifa et autres Kim Dong-Hwa) se voient préciser leur nom de famille afin de pouvoir les localiser. Oui, mais voilà — pour des questions de place, il n’a pas été jugé nécessaire de proposer une entrée distincte pour tous les auteurs, ou toutes les séries.



Apparaît alors une hiérarchie établie de facto par la sélection opérée par Patrick Gaumer, et déterminée par la présence (ou non) d’une notule spécifique, ou (honneur plus mineur) d’une mention accompagnée d’un renvoi. Soit, pour résumer les différentes configurations, en ordre d’importance décroissante : auteur avec notule, œuvre/personnage avec notule ; auteur avec notule, œuvre/personnage avec mention et renvoi ; auteur avec notule, œuvre/personnage non mentionnés ; auteur avec mention et renvoi, œuvre/personnage avec notule ; et enfin auteur non mentionné, œuvre/personnage avec notule.

Ce n’est pas un problème en soi : après tout, il n’est pas question ici de faire preuve d’exhaustivité, ne serait-ce que pour conserver à cet ouvrage des dimensions raisonnables. Une sélection s’avère donc nécessaire, mais l’on ne peut que rester perplexe devant certains choix, et ce que laissent supposer ces différences de traitement. Car lorsque Persépolis renvoie à Marjane Satrapi, ou From Hell à Alan Moore, c’est un auteur que l’on reconnaît. A l’inverse, mettre l’œuvre en avant réduit son auteur à une quantité marginale, négligeable presque. Et de s’étonner de voir que «Fabrice Neaud» renvoie à Journal, «Bros Hernandez» (sic) à Love & Rockets, ou encore «Dave McKean» à Cages — autant de renversements surprenants, pour ces œuvres relevant sans conteste de la bande dessinée d’auteur. Pour d’autres encore, on ne trouvera pas même un renvoi, comme pour Dave Sim (auteur de Cerebus) ou Saitô Takao (auteur de Golgo 13).



On l’aura compris, ce classement privilégiant tantôt l’auteur, tantôt les œuvres, rend la navigation dans ce dictionnaire un rien problématique — encourageant (c’est un comble) le recours à l’index en fin de volume.



Forcément, les quelques termes techniques (que l’on ne saurait oublier) se retrouvent perdus dans la masse, au lieu de servir de clés de compréhension au lecteur non spécialiste. Pire, certaines pratiques spécifiques, comme le système des assistants au Japon,[4] se retrouvent expliquées au détour d’une notule liée à un auteur ou un personnage, et nécessitent une bonne dose de chance pour leur découverte.



Des éditeurs aux abonnés absents

C’est sans aucun doute le parti-pris le plus surprenant de cet ouvrage : aucun éditeur n’est présent dans les pages de ce dictionnaire mondial. Pour être précis, on n’y trouvera aucune structure éditoriale (ni collection d’ouvrages), alors que quelques noms de l’édition ont droit à leur notule. Une relecture attentive du texte liminaire de Patrick Gaumer permet d’ailleurs de relever la subtile nuance : «l’histoire et le devenir de la bande dessinée sont abordés à travers ses acteurs (scénaristes, dessinateurs, responsables éditoriaux), ses personnages et ses séries, ses revues spécialisées, sans oublier ses termes techniques et ses principaux sites spécialisés.» Editeurs, non ; revues et responsables éditoriaux, oui.

On pourrait se demander si l’on n’est pas ici face à l’héritage d’une vision datée, d’une époque où les initiatives éditoriales se définissaient en premier lieu par le périodique. Hier, on quittait le giron d’un magazine pour aller fonder le sien — témoin la création de L’écho des savanes par des transfuges de Pilote. Mais aujourd’hui, ce sont les maisons d’édition qui se multiplient, au gré des vocations et des projets éditoriaux.

Ce choix de privilégier les périodiques (et encore, pas tous : Lapin et consorts sont aux abonnés absents) finit par occulter tout un pan de l’histoire de la bande dessinée franco-belge. Ainsi, Futuropolis n’est plus qu’une mention en passant dans la bio de Florence Cestac (Etienne Robial n’ayant pas les honneurs de ce dictionnaire), et il faut aller chercher dans le fameux cahier couleur pour en tirer un peu plus. Et d’exiger du lecteur un travail de détective, glanant çà et là les éléments épars d’une chronologie éclatée.[5]

Alors, à défaut de texte sur Casterman, Dargaud ou Dupuis, on se consolera avec les biographies de Louis-Robert Casterman, George Dargaud ou Charles Dupuis. Et l’on s’interrogera certainment de l’absence de personnalités comme Guy Delcourt, Jacques Glénat ou Mourad Boudjellal (PDG de Soleil),[6] qui représentent à eux trois un quart du marché actuel de la bande dessinée. On en sera quitte à se reporter au cahier central pour en tirer quelques indications historiques.



La question critique

Historien de la bande dessinée (comme l’indique le quatrième de couverture), Patrick Gaumer ne manque pas d’inclure dans ce dictionnaire les différents berceaux de la «bédéphilie» et leurs organes de communication. On trouvera donc ainsi des notules détaillées consacrées au CBD, au CELEG et à Giff-Wiff, ainsi qu’à la SOCERLID par le biais de sa revue Phénix. Comme attendu, les Cahiers de la Bande Dessinée ont aussi droit à leur article. Et ensuite… ensuite, on découvre un panorama étrange, où Papiers Nickelés et le Collectionneur de Bande Dessinée ont voix au chapitre, mais pas Neuvième Art ou le vénérable Comics Journal et ses 300 numéros ; où l’on parle de Bo Doï, mais où l’on occulte dBD, Casemate ou encore Animeland, pourtant tous trois encore diffusés en kiosque ; et où la sélection des principaux sites spécialisés se réduit à la portion congrue et prète à réfléchir : ActuaBD, Auracan, BDZoom et donc Bo Doï, ce dernier principalement pour ses états de service sur papier. On trouvera une liste à peine plus conséquente dans le cahier central, en illustration de l’avènement du numérique : «Actua BD, Auracan.com, BDGest.com, BDzoom, Du9.org, Labd.cndp.fr ou Sceneario.com». Des communautés de lecteurs de manga, qui enregistrent de très loin les plus grosses audiences, il ne sera rien dit.

Quant aux critiques et observateurs, ils ne sont visiblement pas considérés comme «acteurs» de l’histoire et du devenir de la bande dessinée. Comme pour les éditeurs, il faudra donc développer un talent de fin limier pour traquer quelques bribes d’informations sur Thierry Groensteen, Harry Morgan, Henri Filippini ou Claude Moliterni. Enfin, on ignorera tout des festivals, jusqu’à celui d’Angoulême,[7] qui déchaîne pourtant chaque année l’engouement médiatique pour le neuvième art…



Après tout, il s’agit là de partis-pris de l’auteur, discutables sans doute, mais partis-pris néanmoins. Attardons-nous donc plutôt sur ce qui nous est présenté, en quatrième de couverture, comme les véritables nouveautés de cette édition 2010 :

«Reflet d’une bande dessinée toujours très vivante, le Dictionnaire mondial de la BD intègre également les trois phénomènes les plus marquants de ces dernières années : la vague des « indépendants », la reconnaissance des mangas japonais et la mondialisation de la production.»
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Jacques Martin, le voyageur du temps

Avec ses 418 pages bien remplies, ce très beau livre est une véritable mine pour qui veut en savoir plus sur l’homme Jacques Martin et son œuvre. C’est, sans nul doute, le livre de référence, destiné au grand public, consacré à l’un des plus brillants auteurs de bandes dessinées du XXe siècle.
Lien : http://bdzoom.com/172370/act..
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Jacques Martin, le voyageur du temps

Pas que pour les fans de l'école Jacques Martin.



Boudiou !

Quel beau pavé où une imposante couverture cartonnée et toilée enserre près de 420 pages de beau papier épais consacrées à un monstre de la BD : Jacques Martin, l'auteur notamment d'Alix et Lefranc.



Je précise d'emblée que même si je possède tous les albums des deux héros cités (seulement ceux signés Martin tout seul quand même), je n'ai jamais été un fan absolu du Grand Jacques, arrêté dans mon enthousiasme par ces personnages aux visages mal définis, la raideur de leurs mouvements…mais surtout par la présence insupportable d'Enak et Jeanjean, les ectoplasmes qui accompagnent les premiers de cordée avec autant de pertinence que Robin auprès de Batman.

Bref .



Tout ça ne m'empêche pas de souligner le formidable intérêt de cet ouvrage où on découvre une vie d'auteur exceptionnel, étape par étape.



Jacques n'a que 12 ans quand son père, pilote d'avions professionnel trouve la mort lors d'un essai. Son fils le représentera d'ailleurs plus tard, sous les traits de Pierre Lorain dans « L'Arme absolue ». Ce deuil survenu si tôt explique-t-il la naissance des fameux orphelins auprès d'Alix et Lefranc ?



Au début des années trente, il découvre par hasard Tintin et Milou. C'est un choc décisif.

Vient le temps des débuts difficiles où Martin se cherche entre illustrations et premières BD (« le Hibou gris », « Jack et Mine »), du sous-Tintin.



Et puis, petit à petit, sa carrière se lance. Ça débute avec son intégration à l'hebdomadaire Tintin et la naissance encore maladroite d'Alix, puis de Lefranc (Le Franc en contrepoint du Gaulois Alix). Fortement encouragé par la rédaction de Tintin qui lui a demandé de s'inspirer, du dessin de Jacobs, il s'attire les foudres de ce dernier qui lui reproche (à juste titre et avec une élégance rare), les similitudes entre « La Grande Menace » le premier épisode de Lefranc et son Espadon. Cette brouille ne durera pas et les deux auteurs deviendront amis.



En 1954, Martin intègre les studios Hergé, tout en poursuivant ses séries dont le succès va croissant, avec parfois des soucis à surmonter, comme cette censure à propos de la violence dans « La Griffe Noire » ou ces accusations d'antisémitisme pour « le Tombeau étrusque ».



Dans les années 80, il atteindra définitivement la consécration, méritée, avant de céder progressivement le crayon à des collaborateurs, comme Chaillet, Pleyers, Simon, Moralès…et d'assurer la continuité de son oeuvre en mettant en place un comité éditorial.

Ce « Voyageur du temps » finira sa course en 2010. Ses héros eux, poursuivent leur route, avec plus ou moins de bonheur, prenant même des rides de manière intéressante.



Au niveau iconographique aussi, c'est une malle aux trésors !

Des centaines de planches, d'esquisses, de dessins rares, où le talent narratif, le sens de la composition, des perspectives, le soin apporté aux décors…explosent.



Vous l'aurez compris, un ouvrage d'une telle qualité pour moins de 50 €, c'est un cadeau qui n'attend qu'une occasion (anniversaire, fête, fin du Covid, premiers beaux jours…tout est bon !) pour se trouver chez tout amateur de BD .



Bravo Patrick Gaumer et merci.



PS. Voici le plan de l'album.

1921-1948 : Les années d'apprentissage

1948-1953 : D'Alix l'intrépide à La Grande Menace...Naissance d'une oeuvre

1954-1967 : Jacques Martin et les studios Hergé, première partie

1967-1975 : Des studios Hergé à la reconnaissance critique

1976-1982 : En route vers l'âge adulte

1983-2010 : Un univers en expansion

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Jacques Martin, le voyageur du temps

Un livre extrêmement exhaustif qui s'attache à être le plus précis possible, tout en laissant aussi une part de mystère autour de l'artiste !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Jacques Martin, le voyageur du temps

Patrick Gaumer consacre une magnifique monographie au créateur d’Alix et de Lefranc.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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La BD

La lecture est agréable, bien que parsemée de noms appartenant au monde de l’édition qui ne diront rien au lecteur lambda[…] et l’on souhaite que la ration de dessins et croquis sera riche à souhait, y compris en matériel inédit, tout au long des trente-cinq autres volumes.


Lien : http://www.bdgest.com/news-7..
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La BD

Ce guide vous permet d'avoir un aperçu sur l'histoire de la bande dessinée en général...A conseiller pour créer une bédéthèque idéale.
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Les années Pilote

Un très beau livre qui revient sur les trente ans d'existence du journal "Pilote".

JM Charlier, R Goscinny et A Uderzo racontent les origines de l'aventure et nous offrent une multitude d'illustrations.

"Avant Pilote", "pilote Hebdo", "Pilote mensuel", "Pilote et Charlie" et "Pilote 1989" sont les chapitres qui nous font remonter le temps dans le monde du journal qui s'amusait à nous faire réfléchir.

Ils sont tous là, ceux qui ont fait le succès de cette revue mais aussi héros à succès quelquefois un peu oubliés pour certains.

Ce livre nous fait même replonger dans l'univers des Pilotorama - sortes de planches à dessin éducatives de toute beauté, à découvrir pour ceux qui n'ont pas la chance de les connaître -

Chaque génération y retrouve son époque et replonge dans sa jeunesse. C'est à un formidable voyage aux sources de la BD moderne que nous convie cet album.
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Monographie Cauvin - tome 1 - Monographie R..

J'y ai appris beaucoup de choses sur ce scénariste entre autres qui [...] n'a pas fini de nous surprendre. Voici donc une belle monographie à ne pas rater. Un document inédit sur l'univers de la bande dessinée !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Monographie Grzegorz Rosinski

Ce livre est un beau livre. Un monument à l'égal de l'auteur qu'il présente. Une mine de renseignements sur cet artiste qui a marqué le monde de la bande dessinée, mais aussi un peintre hors pair.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Monographie Grzegorz Rosinski

C'est l'album que tous les fans attendaient.
Lien : http://www.lemonde.fr/le-mag..
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Monographie William Vance

Gaumer obtient non seulement des anecdotes essentielles sur chacune de ses créations qui donnent un contexte historique passionnant à l’époque, mais aussi une véritable leçon de dessin, l’auteur expliquant ses choix, sa technique et les circonstances de sa production.
Lien : https://www.actuabd.com/Quel..
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Monographie William Vance

C'est Patrick Gaumer qui signe cette bible de 408 pages exhaustive. Il fallait avoir son talent pour arriver à a faire de cette monographie une sorte de roman palpitant d’une vie scandée par la BD.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
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Monographie William Vance

Quel est le point commun entre Ramiro, Ringo, Bob Morane, Bruno Brazil et XIII ? 



WILLIAM VANCE! 



Patrick Gaumer revient sur la vie et la carrière de l'artiste tout au long de cette monographie de plus de 400 pages décomposés en 10 chapitres.  Tout est décrypté grâce à de nombreuses interviews réalisées entre 2014 et 2016 : son enfance, ses débuts dans la publicité ainsi qu'au sein des hebdomadaires Tintin et Femmes d'aujourd'hui, sa collaboration avec de grands scénaristes tels que Greg, Vernes et Van Hamme. 

J'ai cité Vance comme point commun entre tous les héros de bd précités mais une autre personne importante dans la vie de l'artiste est également présente dans sa vie de tous les jours. Petra sa femme qui met en couleurs la majoritée des albums dessiné par William. Cette monographie est également l'occasion de lui rendre hommage car elle a grandement participé aux succès des différentes séries. Malheureusement, la maladie de Parkinson ne lui permet plus de dessiner et profite donc d'un repos bien mérité en Espagne. 



Cette monographie riche en information met en valeur un dessinateur d'exception. Malgré les nombreuses pages cela se lit facilement, le tout est entrecoupé de photos et d'illustrations entre les chapitres. 

Le seul défaut à mon sens est le prix de 45 €. Cela me semble un peu  cher non pas pour le contenu mais pour le format qui est trop petit pour admirer les petites illustrations. Cela aurait mérité également une couverture pelliculée en lieu et place d'une couverture blanche et d'une jaquette agaçante à retirer à chaque lecture et qui risque de s'abîmer au fil du temps.
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Monographie William Vance

Cet entretien-fleuve avec Patrick Gaumer dresse le portrait d’un homme qu’on savait jusque-là secret et pudique, mais qui, ici, ne mâche pas ses mots.
Lien : https://www.bdzoom.com/19129..
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René Goscinny. Profession : humoriste

Ouvrage très complet sur René Goscinny, très agréable à lire. On y trouve notamment une liste de tout ses apports en terme de dessins et de scénarios à une multitude de bande dessinées dont certaines me sont totalement inconnues. Un ouvrage de référence sur ce fantastique auteur.
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René Goscinny. Profession : humoriste

Le biographe a fait ses devoirs, avec rigueur, sans excès d’hagiographie et l’essentiel s’y trouve.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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