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3.74/5 (sur 23 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Saginaw, Michigan , le 13/09/1952
Biographie :

Patrick O'Leary est Américain, auteur de science fiction et de fantasy.
Né en 1952 à Saginaw dans le Michigan, Patrick O’Leary a suivi des études de journalisme avant de s’orienter vers le domaine de la publicité, dans lequel il travaille toujours. Parallèlement, il a développé une œuvre littéraire exigeante mêlant poésies, essais et œuvres de fiction. Après L’Oiseau Impossible publié en 2007, Le Don est son deuxième roman traduit en France. Il vit aujourd’hui dans la région de Détroit.



Source : Wikipédia et http://www.mnemos.com
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Nous, nous nous racontons des histoires pour enseigner une leçon, pour faire rire ou faire partager un frisson. Mais quelque forme qu'elles prennent, elles possèdent une constante spécifique. Elles se résolvent toujours. Parce qu'elles ont été conçues pour rassurer - pour contenir le noyau réconfortant d'une réponse. N'importe quelle réponse, pourvu qu'il en ait une.
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Ceci est une histoire de monstres.
Les vrais. Pas ceux des contes pour enfants.
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Un mot à propos des dragons. Tout le monde a entendu parler de leur avidité pour l'or, mais nul ne semble en connaître l'origine. Certains les disent cupides. Ce ne sont là qu'humains qui fuient leurs fautes en les accolant à d'autres créatures - pour invraisemblables que ce soit, étant donné la droiture de celles-là.
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Les souvenirs s'étaient mués en chants. Les chants étaient devenus contes. Les contes, légendes.
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Sa voix ne connaît que mensonge.
Son regard ne voit qu'hommes perdus.
Ses ailes voelent toujours vers la fin.
Bête sans coeur,
Feu sans lueur,
Prenez garde à l'Huissier de la nuit !
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Voici l'histoire de l'énorme oiseau noir qui tenta d'avaler la lune. Sauf que la lune restait coincée dans son bec et refusait de descendre. L'oiseau était trop têtu pour le recracher, et elle trop grosse pour qu'on l'avale. A mesure que la faim de l'oiseau noir grandissait, il enflait lui aussi, tant et si bien qu'il finit par emplir le ciel et par devenir la nuit, en recouvrant le monde de ses plumes noires. Quand les étoiles scintillaient, c'était que l'oiseau et la lune luttaient.
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Je suis oiseau, ne le suis pas.
Je suis feu et feu ne suis.
La mort me connait. Elle me craint.
Je ne crains rien. La peur me comble.
Aucun corps ne m'échappe, nul esprit ne me sait.
Aucune pierre ne me leste, aucun vent ne m'ébranle.
Pas un eau ne m'avale, pas une flamme ne me touche.
Jamais nuit ne m'emplit, lumière ne me déniche,
temps ne me dénombre, miroir ne me contient.
Je suis victoire. Je suis pouvoir.
Je suis la faim. Je suis parfait.
Je m'appelle Tomen.
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Saviez-vous qu'il n'existe que trois sortes de fins ? Celles qui arrêtent, celles qui interrompent, et celles qui commencent.
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Saviez-vous qu'il n'existe que trois sortes de fin ? Celles qui arrêtent, celles qui interrompent, et celles qui commencent.
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Avant de combattre, les guerriers échangent leurs noms. Mais ils ne les expliquent qu'aux êtres qu'ils aiment.
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"L'hiver, la Glavoise est un torrent boueux dont les flots tumultueux charrient des arbres morts, des rochers noirs et des sangliers surgelés. Pourtant, sitôt passées les dernières neiges de mai, elle se métamorphose en une rivière paisible qu'on traverse à pied sec au lieudit du Gué-de-la-Corde. C'est là que le voyageur qui arrive à Courtonac par la route de Saint-Hilaire franchit la Glavoise, au Roc-de-la-Châtre. Un peu en aval, la route en pierre traverse le moulin abandonné du père Plasson. Devant le triste spectacle des ronces qui dévorent les meulines à foulon et les flaterets à courroie, on a bien du mal à croire que, jadis, les ânes, les boeufs et les femmes de Courtonac déchargeaient là leurs ballots de bressac frais pour qu'on les y moulût. Solide comme un linteau, son éternelle bamborgne à la bouche, le père Plasson transformait ici les précieuses gousses en une fécule à cataplasme, délicate comme de la peau d'oreille et fraîche comme un cul de pouliche." "Les engoulevents de la Grange-aux-Loups" est un pastiche des romans signés:

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