Ils m’ont donné l’abri, le couvert et la tranquillité. Un lit, trois repas par jour, le silence… Celui d’un monastère est profond. Il en est qu’il oppresse. Vos tumultes intérieurs y donnent de la voix. Ils font cacophonie. Certains fuient pour ne plus les entendre. Mais si vous acceptez leur ramdam, ils finissent par s’épuiser. (p. 207.)