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Critiques de Patrick Poivre d`Arvor (254)
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Pirates et corsaires

Les auteurs passent en revue les plus fameux corsaires connus tels Jean Bart, René Duguay-Trouin, Jean Lafitte, Surcouf, etc...; leurs histoires sont rapidement condensées, dans un style romancé mettant plus en avant les anecdotes que les points majeurs. Pour un si grand format les illustrations, surtout photographiques sont décevantes. En définitive, un livre que l'on peut oublier sans grand regret.
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Lettres à l'absente

Un texte vrai. Je suis touchée.
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Disparaître

Un homme est dans le coma, il va mourir. A l'aide de nombreux flashbacks, on apprend qui il était...

L'histoire de Laurence d'Arabie par les deux frères "Poivre d'Arvor"; une très belle surprise, car c'est bien écrit et bien documenté: j'ai adoré et j'ai dévoré le livre!
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Elle n'était pas d'ici

Tout le monde connaît Patrick Poivre d’Arvor, ou PPDA pour les intimes, le présentateur vedette de TF1, qui a animé le journal de 20h pendant plus de 20 ans. Mais peu de personnes peuvent se targuer de connaître une partie de sa vie privée. PPDA n’a pas eu une existence facile. Père de sept enfants, il a du faire face à ce qu’il y a de plus horrible dans la vie d’un père de famille : la mort de deux de ses filles.



Il voit d’abord disparaître Tiphaine, décédée dans son sommeil de la mort subite du nourrisson alors qu’elle était âgée d’un an à peine. Des années plus tard, c’est son autre fille, Solenn, anorexique et boulimique, qui mettra fin à ses jours en sautant devant la rame d’un métro, alors qu’elle était âgée de dix-neuf ans à peine. Comme moyen cathartique pour apaiser ses douleurs, PPDA se jettera à corps perdu dans l’écriture. Il publiera d’abord Lettres à l’absente, un témoignage bouleversant sur la souffrance d’un père, ses angoisses et ses peurs, puis Elle n’était pas d’ici, sorte d’exutoire salutaire où il dévoile tout son amour pour sa fille, sa maladie mentale et ce qu’il a ressenti suite à son décès brutal.



Il est toujours compliqué de juger un témoignage, d’autant plus quand celui-ci aborde un sujet aussi tragique que le suicide d’un enfant. Je peux dire que j’ai été très émue de découvrir pour la première fois la plume de PPDA, un auteur prolifique, mais peu plébiscité en France. À travers ce recueil, il nous ouvre son coeur et sa vie et raconte, avec beaucoup d’émotions et de pudeur, les jours qui ont suivis et précédés le décès de Solenn. On ressent tout l’amour que ce père porte à sa fille et le regret de son départ précipité.



Plus qu’un élément cathartique pour l’auteur, il souhaitait également que ce témoignage soit bénéfique aux personnes qui, comme lui, auraient eu le malheur de subir la perte d’un enfant. Dans Elle n’était pas d’ici, il regroupe de nombreux extraits de poèmes, des témoignages d’affection et d’amour de ses proches, qui lui redonnent espoir et confiance en la vie.



Solenn s’est suicidée à cause d’une maladie mentale : les troubles de l’alimentation, autrement l’anorexie et la boulimie. Bien que cette maladie ne soit que partiellement évoquée, l’auteur met en garde les parents sur les caractéristiques et les conséquences de cette maladie, et les rassure en quelque sorte : ils peuvent être présents pour leurs enfants, les encourager, les porter, les entourer d’amour… mais ils restent tout de même impuissants et démunis face à la psychée mentale subie par l’enfant. Une maladie bien trop présente dans notre quotidien, véhiculée en grande partie par l’image du corps parfait, l’obsession de la minceur comme gage de beauté.



Comment continuer à vivre après le décès brutal d'un enfant ? Le journaliste Patrick Poivre d'Arvor nous offre une belle leçon de courage à travers un témoignage touchant, intime et pudique, où il déclare sans emphase tout l'amour d'un père pour sa fille. Très touchant !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Elle n'était pas d'ici

Touchée par ce récit...

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Fragments d'une femme perdue

Patrick poivre d,arvor présentateur pendant plus de vingt ans,signe un livre

charnel et grave.sur la passion.il y a un beau sens du romanesque.c'est correctement écrit,tantôt tendre, tantôt érotique.et touchant.👍
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Éloge des écrivains maudits

excellent intéressant vivant !!

malgré les vies affreuses de la plupart des maudits,

je le relirai et l'étudierai : vive Poivre d'Arvor pas du tout maudit !!
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Petit homme

Petit homme a quatre ans et raconte sa vie avec son père depuis que sa maman est devenue une étoile dans le ciel.

C’est gentillet et très tendre. C’est une ode à l’amour paternel.

On ressent l’amour d’un père pour son fils, mais l’émotion n’est pas au rendez-vous. Il manque une dimension d’écriture. Le style est très moyen, voire médiocre. Mon indulgence viendrait du fait qu’il y a certainement une part de vécu du côté du père dans tout ça.

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Elle n'était pas d'ici

Avec beaucoup de pudeur mais aussi grâce à la force des mots et cette volonté d'expression qui le caractérise, un père se raconte. Loin du personnage public, des fantasmes qu'il suscite et des critiques acerbes, il s'assied aux pieds de la solitude et parle à celle qu'il attend et appelle.

C'est un très beau récit qu'il nous offre, souvent difficile et délicat quant à son sujet. Entre témoignage, besoin de lui parler et désir d'aider les familles des enfants malades, l'auteur se perd, suivant uniquement le fil de ses pensées, celles qui le mènent à sa fille disparue.

Un amour fou, aux portes de la folie, qui nous permet de comprendre, sans juger, l'adoration d'un père, l'intelligence de son discours et la beauté des mots qu'il adresse à celle qu'il a toujours tenté de toucher avec ses phrases.

Un récit intime, terrible, poignant et nécessaire.
Lien : http://art-enciel.over-blog...
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Les enfants de l'aube

Superbe livre ! Magnifique ! A lire et à re-lire sans modération. C'est de la littérature comme on aimerait en lire plus souvent. Merci Mr. PPDA !
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Lettres à l'absente

C'est un témoignage poignant. Un cri ! Comment ne pas avoir les yeux un peu humides, la voix qui serait chevrotante si l'on était obligé d'en parler.

L'écrit permet bien des pudeurs.

Tous ceux qui ont été confrontés de près ou de loin à ce genre de situation, dans lesquelles on est démuni, impuissant, pire : inutile, comprendront.

Les autres aussi, je crois.

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Elle n'était pas d'ici

Livre encore plus touchant que "Lettres à l’absente". Encore une fois, Patrick Poivre d’Arvor parle à sa fille à travers ce cahier, rédigé dans les semaines suivant sa disparition. Une disparition tragique : Solenn s’est jetée sous une rame de métro à la stations Sablons.

A travers ces pages, Patrick Poivre d’Arvor nous parle de ce qui s’est passé suite à la publication de Lettres à l’absente, de ces milliers de lettres qu’il a reçues (il en cite quelques-unes). Il nous parle des derniers mois de Solenn, de ces derniers instants avant que tout bascule. Il nous parle de ses funérailles. Il nous parle de la disparition d’un être cher. Et puis aussi de ce désir d’écrire à ce sujet. Avec des mots emplis de sincérité et de pudeur. Avec son cœur.

On découvre un père très émouvant mais aussi un écrivain qui a une très jolie plume. L’émotion dans ce deuxième livre est vraiment très forte.
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L'expression des sentiments

Par elle, malgré elle, ou en elle. La relation à la mère est toujours forte mais vécue de façon différente d'un individu à l'autre et d'un frère (ou une soeur) à l'autre.

Patrick Poivre d'Arvor vient de perdre ce "tuteur inflexible",ce "rempart", cette femme "dure au mal","belle", "orgueilleuse","indépendante, "emmurée", intrusive aussi parfois à force de tout contrôler et il vient la raconter, se la raconter pour la faire revivre encore une fois.

D'autres écrivains, récemment, de Christine Orban (Le pays de l'absence) à Delphine Le Vigan (Rien ne s'oppose à la nuit) ont accompli la même démarche, comme un retour sur les derniers instants,le passé, les souvenirs, le lien crée ou non.

Patrick Poivre d'Arvor exprime ses sentiments avec pudeur.

"J'ai du cha..." pleurait-il, enfant, face à son poisson rouge, les nageoires coupées par sa soeur jouant à la cruelle Sophie.

"Tu n'as rien.Dans notre famille,on n'a pas de chagrin. En tous cas on ne le dit pas c'est commun".

Et là, il ose. "Dire, c'est offrir." Et il dit. Et, même s'il ne dit que pour lui, son monologue nous émeut. Nombreux deuils. Un de plus. Vide. Présence irremplaçable.

Il revient sur ses souvenirs d'enfance d'ainé avec Catherine l'exubérante et Olivier le protégé.Il évoque le journal intime, de cette fervente de Goethe, retrouvé après son décés. Il s'interroge sur le bonheur de l'enfance, l'amour qu'il lui portait qui a sans doute rejailli sur sa vie d'homme.

L'enfant replié sur lui même qui voyageait à travers livres, s'ouvre enfin pour dire :je t'aime encore et toujours.

Et c'est beau un homme qui pleure.

Merci!

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J'ai aimé une reine

J'avais envie depuis longtemps de lire un roman de PPDA et puis voilà, je l'ai trouvé dans une brocante…

J'ai lu, à moitié, et je me suis surtout beaucoup ennuyée…

J'adore l'histoire, j'aime beaucoup les romances, mais là, c'était juste chiant !

Une suite de faits réels égrainés par chapitre avec chaque fois des documents sources incrustés, pour faire joli un soupçon d'imaginaire érotico-romanesque et à cela, on ajoute une plume pompeuse à souhait et répétitive comme si le lecteur risquait d'oublier après cinq pages ce qu'il venait de lire !

Une réelle déception car si l'Histoire colle parfaitement, l'histoire est plutôt midinette même si elle concerne des personnages importants.

Mais la vraie déception est dans l'écriture, j'avais imaginé un littéraire, un poète, un rêveur et je me suis retrouvée avec juste un rapporteur de faits, dates et noms des participants, et ce chapitre après chapitre.

Pas de citations géniales sauf celles tirées du courrier des personnages et non de la plume de l'auteur.

Pas de coup de cœur juste un roman à classer dans mes documents archives si un jour je veux écrire un article sur Lafayette.

Un roman bâclé ou juste une rencontre ratée, je ne sais...
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Les enfants de l'aube

Il m’est difficile d’avoir un avis tranché sur ce livre. Lorsque je l’ai lu, j’ai été déçu. J’attendais certainement trop de PPDA que je voulais découvrir en temps qu’auteur et que je lisais donc pour la première fois. C’est assez bien écrit et parfois émouvant, mais ce livre a les défauts d’un premier roman rédigé par un adolescent, il peut donc tout à fait plaire ou au contraire laisser totalement indifférent. Avec du recul, je suis plus indulgent, l’histoire peut intéresser les lecteurs aimant les belles histoires d’amour entre adolescents.
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Petit prince du désert

Petit roman agréable lu d'une traite sur la terrasse en ce samedi après-midi ensoleillé.

L'aventure humaine de ce petit Jacques ne fait que commencer. Et pourtant, il goûte déjà à une palette d'émotions contrastées intenses et matures.

Son attachement à sa mère le fait quitter le nid familial pour découvrir un lien nouveau, celui de l'amour qui fait pétiller les yeux, voler les papillons, frissonner les peaux et oublier tous les soucis.

Le récit de sa fuite et de ses rencontres, plein d'humour et de sensibilité est teinté de suspense et d'action. Cela rend la lecture souriante.

Une jolie découverte dans le monde de St-Exupéry, à travers les yeux de Patrick Poivre d'Arvor.
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Elle n'était pas d'ici

Court témoignage émouvant de la part d'une personnalité qui livre ses sentiments et son impuissance face à la maladie

Hommage à sa fille qu'il a tenté de retenir mais qui était déjà ailleurs...
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Elle n'était pas d'ici

PPDA dans son livre , et confronté à un drame qu'il vit avec sa fille .
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Le roman de Virginie

Un roman écrit à quatre mains par Patrick et Olivier Poivre D'Arvor en hommage à leur soeur disparue au large de l'ile Maurice, en 1966. le résumé me le présentait comme une quête dans l'Océan Indien.



En fait, l'histoire débute par l'enterrement d'un grand-père en Provence dont la tombe en jouxte une autre, vide, celle de Virginie, jumelle de Patrick, portée disparue. Mais avant de rejoindre l'ile Maurice, lieu vraisemblable où elle a péri, j'ai dû vagabonder pas mal entre la région rémoise, l'Auvergne, la Bretagne et la Normandie d'où sont originaire toute une flopée d'ancêtres des deux frères. L'ouvrage est tout d'abord la recherche d'une hypothétique généalogie (les auteurs reconnaissent quelques excès d'imagination). Personnellement, je n'ai pas démêlé le vrai du faux et je me suis totalement égarée au milieu de leurs ancêtres réels ou inventés, célèbres ou inconnus. Ma culture n'atteignant pas celle des deux auteurs, je n'ai suivi la première partie de l'histoire que d'un oeil distrait.

le voyage se termine enfin dans l'Océan Indien où j'ai pu retrouver une Virginie, mais c'était celle de Bernardin de St Pierre, dans la vraie vie, Mme Françoise Poivre (ancêtre ou pas ?), femme de l'Intendant de l'ile au XVIIIème siècle, dont l'auteur s'était épris et qui lui a inspiré son héroïne de "Paul et Virginie", en résumé une affaire qui date un peu.



De cette lecture que je trouve réservée à un public d'intellectuels, j'en retiendrai surtout une belle amitié fraternelle, une chaleureuse complicité, chaque frère répondant à l'autre à travers un nouveau chapitre ; le reste concernant leur généalogie, malheureusement la partie la plus importante du livre, a pris le pas sur la recherche de leur soeur et m'a passablement ennuyée. 5/20
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La vengeance du loup

Je fais dans les présentateurs de JT déchus en ce moment décidément... et à défaut d'être déchu, me voilà déçu.



Peut-on reprocher à PPDA son style journalistique ? C'est mon premier roman de l'auteur et j'ai vraiment trouvé qu'il semblait chercher à se débarasser de son histoire tellement certains passages sont rapides, simple description de faits successifs sans forcément de recherche stylistique.



De plus, là où j'apprécie parfois les astuces narratives telles que l'histoire dans l'histoire... c'est beaucoup moins le cas quand l'histoire cadre ne semble qu'un prétexte et que seule l'histoire centrale présente un intérêt certain... et le pire est qu'on revient ensuite à cette histoire cadre pour une fin (assez longue en plus) qui ne m'a pas convaincu. Pourtant PPDA se met alors dans un milieu qu'il connait parfaitement puisqu'il est question de connivences entre le journalisme et la politique. On attend beaucoup plus de son oeil de l'intérieur qu'un Nicolas Sarkozy déguisé (Victor Exbrayat le président anciennement ministre du budget écarté par son premier Ministre, revenu en grâce ensuite comme ministre de l'Intérieur, accédant au pouvoir et hyperactif... donc Sarkozy quoi). Quel est l'intérêt de faire un personnage à ce point ressemblant si c'est pour finalement le sous-exploiter, ne faire qu'évoquer des manoeuvres politiciennes que l'auteur a pourtant vécu de l'intérieur... ? Autant recréer un personnage totalement neuf avec un parcours original que PPDA aurait forcément su rendre malgré tout réaliste avec son expérience du réel. Faire oeuvre d'auteur en somme. Ou alors il faut assumer, mettre le vrai nom et balancer ce qu'on sait, nous donner du croustillant.

Et quand on se rend compte qu'une suite semble prévue... et que ce sera forcément celle de l'histoire cadre... Vraiment déçu.



D'autant que pour revenir au positif, l'histoire centrale de vengeance qui donne son titre au livre (car sinon, quelle pauvre vengeance que celle du petit-fils...) aurait été un matériau bien plus intéressant... s'il avait été réellement exploité et non expédié. Le contexte historique plutôt original (la vie en Algérie pendant la seconde guerre mondiale), une histoire d'amour impossible pas gnangnan pour deux sous... Le potentiel était là mais l'auteur a préféré se concentrer sur ce qu'il maîtrisait peut-être mieux, mais sans non plus le sublimer.



Rendez-vous raté en somme, je ne me suis pas suffisamment attaché au personnage principal pour avoir hâte de découvrir la suite.



Merci néanmoins à NetGalley d'avoir proposé ce roman à la lecture et aux éditions Grasset pour leur confiance. J'espère qu'ils ne seront pas trop fâchés de ma liberté de parole.

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