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Critiques de Patrick Poivre d`Arvor (254)
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J'ai tant rêvé de toi

Première fois que je lis un roman de PPDA mais quelle déception. Le style est particulier mais on s’y fait (plusieurs mots qui ne font pas des phrases). On sent que l’anorexie est un sujet brûlant et que l’héroïne est complètement torturée et enfermée dans sa maladie. Ce n’est pas sans se souvenir que PPDA a eu une fille anorexique et qui est décédée depuis. Au final, je ne connaissais pas Desnos et ça ne m’a pas plus donné envie de découvrir les poèmes. Je n’ai pas trouvé ce roman à mon goût.
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Lettres à l'absente

Cette histoire est un cri ,le cri d un père se trouvant impuissant fasse au drame intérieur que vit sa fille Solene: l anorexie…Il raconte ses illusions et désillusions face à ce combat..Ce livre journal était tout d abord voué à sa fille puis finis par le partager avec nous lecteurs…Lu jusqu’au bout mais pas accroché plus que ça (bcp de longueur..,mais comme dit plus haut cela était écrit au début pour sa fille)…D ailleurs triste fin pour elle qui est partie rejoindre les anges
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Un homme en fuite

Un homme en fuite/Patrick Poivre d’Arvor

Aurélien Desmaroux est un chirurgien respecté et admiré dans la bonne ville de Tours jusqu’au jour où sur un coup de fatigue il se laisse aller à prendre un petit armagnac un matin avant d’opérer à l’hôpital un jeune enfant touché par une malformation cardiaque.

Suite à un malaise dû à la fatigue le docteur Desmaroux s’effondre en pleine opération. Le petit Arthur décède. L’enfer commence pour la famille de l’enfant et pour Aurélien.

La honte le poursuit. Sa vie conjugale n’étant d’ailleurs pas au beau fixe depuis quelques temps, perdant la tête il fuit à Bordeaux pour tenter de se rendre utile chez les Nez Rouges, cette association qui se charge d’accompagner par le jeu et le rire, dans un cadre hospitalier, les jeunes enfants atteints de maladies incurables.

De rencontres en rencontres, il va connaître des hauts et des bas pour tenter de se reconstruire.

Patrick Poivre d’Arvor signe là un bon roman plein d’humanisme et de tendresse, même si Aurélien n’attire pas toujours notre sympathie. C’est ce qui fait la qualité du récit : l’homme et son indécision, ses hésitations et sa fuite compréhensible mais blâmable. L’homme qui peut être lâche mais aussi admirable.

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Flibustiers & chasseurs de trésors

Ce livre m'a déçu car il n'est ni un roman, ni un travail d'historien.



Du roman, il lui manque la profondeur narrative, l'immersion dans un univers inventé mais crédible, une histoire forte appuyée par des descriptions précises des villes, des personnages secondaires, des bateaux, de la végétation et de la faune, de la psychologie, des repas, bref, de ces mille détails qui sont indispensables pour donner à un roman de la vie, du cœur, de la mémoire, des émotions et du souffle.



Du livre d'historien, il lui manque la rigueur, car aussi bizarre cela soit-il de la part d'un journaliste célèbre et de son frère, les auteurs n'ont pas jugé utile de fournir de référence bibliographique.



Après avoir dit ce que ce livre n'est pas, je dis ce qu'il est : c'est seulement une suite de portraits de flibustiers ayant tous réellement vécus, ordonnés chronologiquement, à raison d'une vie par chapitre. On peut y voir une sorte d'annuaire, car j'avoue qu'il y en a quelques uns dont je n'avais jamais lu le nom. Et l'intérêt, pour moi, s'arrête là.



Le problème fondamental de ce livre, c'est que chaque flibustier est traité à la manière d'un entomologiste qui examinerait au microscope divers spécimens d'insectes similaires. Une certaine lassitude s'installe bien vite, car les chapitres sont répétitifs. Pour faire rêver le lecteur, il ne suffit pas d'évoquer les embruns, la chaleur du soleil, l'odeur du rhum et celle de la poudre à canon. Tous les clichés de ce genre y passent, mais la narration échoue à plonger le lecteur dans chaque histoire, car elle revient toujours très vite à fournir des dates et des noms de villes pillées. On voudrait rêver, et on nous ressert une louche d'insectes morts à observer à la loupe. Quelle tristesse !



De même, la structure de ce livre, un chapitre par flibustier, rend impossible de s'attacher à eux, car même en supposant que cela serait possible (compte tenu de la nature sanguinaire de leurs "exploits", ce n'est pas gagné), on sait d'avance que ça ne servira à rien. Il y a un effet "recueil de nouvelles", qui oblige à se remotiver à chaque chapitre.



Pourtant, quelques uns de ces personnages ont collaboré lors de raids (Morgan et Oexmelin). Il y avait donc matière à changer parfois de mode de narration, comme donner le point de vue des deux sur les mêmes événements?



Bref, c'est un ouvrage décevant, dont j'attendais beaucoup plus en terme d'immersion et de capacité à faire voyager dans un autre monde. Un ouvrage dont j'attendais certainement trop, mais cette attente excessive n'excuse pas tout.
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Les enfants de l'aube

Bouleversée par cette histoire . Roman parut en 1982 je n étais même pas née.... j aurai pu l écrire.

Lu d un trait , habituée des histoires vraies dures de témoignages et de récits sur la barbarie ... Aucun livre ne m avait fait pleurer avant lui , avant aujourd hui ... Une découverte renversante je n oublierai jamais ce roman mon émotion à atteint son paroxysme .

Cet ouvrage ne quittera pas son étagère et encore moins mon cœur 🖤
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L'expression des sentiments

Mon premier PPDA, c’était «Les enfants de l’aube » et plagiat ou pas (pour un de ses derniers ouvrages), j’ai très souvent lu ses livres, appréciant sa façon de manier « le verbe ».

Cet homme possède une sensibilité à fleur de mots, poussant chacun des termes à donner le meilleur de lui-même tant il sait bien l’utiliser, le faire vivre dans des phrases qui vous touchent au cœur.



Dans ce court mais intense opus, il raconte sa mère, sa maman, celle qui lui a lâché la main, celle dont il se sent amputé parce qu’elle est décédée. Il explique qu’il a l’impression qu’à partir de cette mort, il sera toujours bancal, en mauvais équilibre …

Non pas qu’il s’appuyait sur elle …. Non, c’est une famille où « on se tient », où on fait face, où les yeux parlent à la place des mots et des gestes … On s’embrasse peu, mais ça ne veut pas dire qu’on ne s’aime pas …



L’écriture de l’auteur est pleine d’émotions contenues, de respect pour cette femme qui a refusé la maladie, la déchéance et l’hôpital jusqu’au bout …

Les souvenirs évoqués le sont avec pudeur, délicatesse …. On sent la tendresse, l’amour inconditionnel d’un fils pour sa mère …



Tout simplement beau ….



Est-il besoin d'entendre "Je t'aime" pour savoir qu'on est aimé?


Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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L'Irrésolu

J'ai apprécié le début qui concernait le syndicalisme chez les canuts lyonnais mais ensuite j'ai perdu le fil et l'intérêt dans les rapports sulfureux de la politique du début de la troisième république. Curieux de cet écrivain j'ai tenté avec ce livre mais je n'ai pas accroché et j'ai stoppé la lecture.
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La traversée du miroir

Il existe des hommes à femme comme il existe des blonds et des bruns, des noirs et des blancs, des timides et des expansifs.

Je ne parle pas de ces don Juan de pacotille qui papillonnent d'un lit à l'autre en se cherchant eux-mêmes sans jamais se trouver vraiment et causant plus de mal que de bien, ne cherchant que leur propre plaisir.

Non, je parle de vrais séducteurs pour qui les femmes resteront les plus insondables mystères de l'univers. On les reconnait davantage à leur sollicitude envers le beau sexe qu'à leur réel charme. Leur force? Ils s'adressent aux femmes en leur parlant d'elles.

François Mitterrand, Jean d'Ormesson ou encore Patrick Poivre d'Arvor sont de cette trempe.

Le journaliste vedette a écrit "la traversée du miroir" à l'apogée de sa réussite, au milieu des années 80, après deux romans remarqués.

On sent bien, dès les premières pages, que le chantre de l'information a mis beaucoup de lui-même dans ces lignes.

La crise de la quarantaine d'un gynécologue (pour un amateur de femmes, il y a pire comme occupation…) qui part au bout du monde pour en finir, ou plutôt, tenter de se retrouver. Et le bout du monde à la fin des années 70, c'est le Cambodge de Pol Pot.

Là-bas, il va frôler la mort, fait prisonnier pendant trois ans et parvenir à s'échapper enfin. Une idée lui traverse alors l'esprit : revenir parmi les siens en changeant d'identité. Un autre homme, travestissement rendu plus facile par trois ans de brimades, trois ans de tortures plus mentales que physiques. Cela laisse des traces. Cela métamorphose.

Mais à vouloir jouer au chat et à la souris, on ne gagne rarement.

Cet autre côté du miroir va lui révéler des choses tues par sa propre femme. Mais il finira par s'y brûler les doigts. L'arroseur arrosé.

Bref, le court roman de PPDA est le prétexte à plusieurs portraits de femmes et surtout, il peint avec justesse le profil d'un homme à femmes.

D'un homme qui aimait les femmes, aurait dit François Truffaut.



Mise à jour - cette chronique a été écrite AVANT certaines révélations honteuses. Il reste que je parle ici de l'écrivain et nullement de l'homme (bon, je sais, à moins d'être parfaitement schizophrénique, c'est un peu difficile de démêler). Il va de soit que je condamne de toute force tout harcèlement, spécialement quand il provient d'un pouvoir ou d'une influence.

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La mer pour aventure

Ce petit recueil de nouvelles sorti aux éditions “Point aventure”, est idéal pour une première découverte des Ecrivains de la Marine .



Présentant une dizaine de nouvelles, ce livre nous permet de constater une fois de plus que le rapport humain à la mer est quelque chose d’intime et de propre à chacun, variant en fonction des expériences insolites qu’ont vécu les auteurs.



Alors laissez-vous donc embarquer par la plume de : Sylvain Tesson, Patrick Poivre d’Arvor, Dominique Lebrun, François Bellec, Loïc Finaz, Jean Rolin, Olivier Frébourg, Emmelene Landon...
Lien : https://youtu.be/WXLOc5bireo
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Les enfants de l'aube

Un beau livre par l'ancien presentateur star du journal televise de vingt heures de tf1.Le texte est court,sans fioritures et l'histoire est credible et se lit bien.J'ai accroche a cette histoire entre Tristan et Camille,cette lutte contre la maladie racontee avec pudeur et tendresse,sans mots inutiles,bref un bon roman.
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Petit homme

Cette histoire est racontée par un petit garçon de 4 ans, son âge me semble un peu jeune pour avoir cette maturité, mais l'auteur nous prévient dès les premières lignes que l'on a à faire à un enfant d'une mentalité plus proche des 7 ans que des 4 ans.

Notre héros nous raconte une escapade de quelques semaines avec son père, le récit est assez émouvant, car raconté par un enfant, qui semble ressembler à un ange. On sent de la magie dans son histoire, de l'émerveillement et surtout un grand sentiment d'amour.

Je n'ai pas été emportée plus que cela par cette histoire mais disons qu'elle m'a fait passer un bon moment de lecture et j'ai pu découvrir Patrick Poivre d'Arvor autrement qu'en tant que journaliste.
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La Bretagne au coeur

Malgré qu’il soit né à Reims, Patrick Poivre d’Arvor voue un amour sans failles pour la Bretagne, sa terre d’adoption et de passion. Un sol de tous les possibles, qui chaloupe entre traditions et modernité, qui réveille les spectres du passé pour ennoblir le présent, avec des récits séculaires fusionnels et prégnants. Un lieu où il a passé toutes ses vacances d’été et qui se sont révélées des enchantements. Avec ses mots et ses émotions, il a une nouvelle fois arpenté la terre de Chateaubriand pour la magnifier et transmettre un attachement comme il aime en partager. L’opportunité de se raconter à travers des paysages grandioses, des étendues qui se noient dans la mer, des personnalités locales et des traditions qui perdurent sans se renier. Dans ce livre, l’ancien présentateur du journal télévisé se livre sans vergogne, parle de lui, de ses proches, de ses coups de cœur et de ses amitiés en sillonnant la contrée de part en part, avec un appétit qui se renouvelle sans défaillir et le plaisir constant de la redécouverte de ce qu’il croyait connaître. Un livre qui se lit sans réel sens de lecture, où l’on glane des épisodes en fonction des hasards, en se laissant entraîner par les verbes, en apprivoisant les impressions et, surtout, en se laissant inspirer par cette prose qui n’est rien d’autre qu’une invitation au voyage.
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La vengeance du loup

J'ai eu un certain plaisir à lire ce livre de 300 petites pages. Je ne suis pas sûre que j'aurais poursuivi s'il avait été plus long. En fait, j'ai beaucoup aimé "l'histoire dans l'histoire", c'est-à-dire le flash back du père de Charles sur sa propre enfance.

Par contre, l'histoire de Charles et de son parcours pour accéder aux hautes sphères de la politique française ne m'a pas plus intéressée que ça. Le ton de l'écriture est très journalistique, bref, haché, les chapitres sont très courts. Un style particulier qui se prêterait mieux à un article qu'à un roman, me semble-t-il.

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Fragments d'une femme perdue

J'ai bien aimé ce roman. Je ne savais pas à quoi m'attendre en dénichant ce livre dans une boite à livres et je n'ai pas été déçue. J'ai adoré la première partie, les débuts de la vie de Violette, les débuts de son indépendance et de sa vie dans la société. C'est très bien écrit, c'est poétique. Mais j'ai trouvé le roman un peu trop long. Arrivée à la moitié du roman, ça tournait un peu en rond pour rien dire et c'est dommage car pour moi ça aurait été une histoire parfaite sans cette partie un peu redondante.

Je recommande tout de même l'histoire de cette femme !
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Elle n'était pas d'ici

Un récit touchant. Celui d'un père qui a perdu sa fille. Ce père se raconte à mots choisis, avec pudeur et avec douceur.



Je pense, et cela n'engage que moi, qu'il est compliqué de chroniquer un livre aussi intime et personnel. Chacun gère son deuil à sa manière et personne ne devrait juger...
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Disparaître

Un homme est dans le coma, il va mourir. A l'aide de nombreux flashbacks, on apprend qui il était...

L'histoire de Laurence d'Arabie par les deux frères "Poivre d'Arvor"; une très belle surprise, car c'est bien écrit et bien documenté: j'ai adoré et j'ai dévoré le livre!
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Deux amants

10eme lecture deux amants de Patrick Poivre d'Arvor

un bon petit roman qui se laisse lire à la plage ou au bord de la piscine,

pas trop aimé cette relation mal saine entre le frère et la sœur

j'ai bien aimé l'intrigue des deux amants et la quête de vérité

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L'expression des sentiments

Patrick Poivre d'Arvor, "l'Expression des sentiments". Stock. 134 pages

Malgré un avis assez négatif de la lectrice qui présentait ce témoignage lors d'un café lectures et qui ne me paraissait pas correspondre à l'extrait entendu, j'ai emprunté et lu "l'expression des sentiments" de Patrick Poivre D'Arvor.

Il y évoque sa mère décédée une semaine avant le début de l'écriture du livre.

Au fil d'anecdotes racontées dans de courts chapitres, il ressuscite sa mère et nous en fait un portrait aimant et touchant. Celui d'une femme digne, forte et aimante, taiseuse sur ses sentiments.

C'est un livre sur le chagrin. C'est d'ailleurs par là qu'il débute. Un chagrin qu on n'exprime pas : "dans notre famille, on n'a pas de chagrin. En tout cas, on ne le dit pas. C'est commun" lui dit sa mère alors qu'enfant, il pleure la mort de son poisson rouge. "Dans sa bouche, commun, c'était vulgaire puissance douze."

Plus loin, il évoque cette phrase qui sera un socle "les grandes douleurs sont muettes."

Un socle pour elle. Mais aussi pour lui.

On découvre à travers ce portrait sans pathos, tout en pudeur délicate, non seulement cette mère tant aimée, mais aussi l'enfant et l'homme, celui qui a accumulé tant de chagrins avec la mort de ses trois filles.

J'ai aimé les références littéraires. Les confidences pudiques. Et ce souvenir commun : d'avoir feint la fièvre pour pouvoir rester au lit, chouchouté par sa mère à pouvoir lire ses romans favoris. J'ai aimé d'autres souvenirs communs. Mais cette fois, c'est moi qui les tairai par pudeur.

Un livre que je recommande.
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La Bretagne au coeur

Le livre respire la mer et la Bretagne, au fil d'une lecture fluide et facile.

Les descriptions des lieux sont bien décrits, l'auteur a le souci du détail, sans oublier les allusions à la presse régionale de cette magnifique région française.

De nombreux lieux sont cités permettant d'accrocher un public large autour du livre.
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Fragments d'une femme perdue

Mais pourquoi les hommes sont-ils attirés par les femmes fatales ? Voilà la question. Elle est posée de belle façon par Monsieur Poivre d'Arvor.

C'est très bien écrit, mais je n'ai pas vraiment adhéré, je me suis même un peu ennuyé. Je mets 3 étoiles pour cette belle plume, mais je n'y reviendrai pas.
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