Si nous ne faisons plus guère de différence qu'entre l'art lyrique et l'art dramatique, au XIXème siècle on sépare soigneusement les spectacles proposés en catégories bien définies.
On distingue en genres spécifiques l'à-propos, le ballet, la comédie, le drame, le divertissement, la féérie, le grand (genre), le théâtre historique, l'impromptu, le lyrique, le mélodrame, l'opéra et l'opérette, la pièce, le proverbe (dramatique), le prologue, la parodie, les paroles, la revue, la scène, la tragédie, le vaudeville.
Chacun de ces substantifs peut d'ailleurs recevoir un adjectif de qualité ou être décliné en sous-catégorie (la tragi-comédie ...) ...
Si nous ne faisons plus guère de différence qu'entre l'art lyrique et l'art dramatique, au XIXème siècle on sépare soigneusement les spectacles proposés en catégories bien définies.
On distingue en genres spécifiques l'à-propos, le ballet, la comédie, le drame, le divertissement, la féérie, le grand (genre), le théâtre historique, l'impromptu, le lyrique, le mélodrame, l'opéra et l'opérette, la pièce, le proverbe (dramatique), le prologue, la parodie, les paroles, la revue, la scène, la tragédie, le vaudeville.
Chacun de ces substantifs peut d'ailleurs recevoir un adjectif de qualité ou être décliné en sous-catégorie (la tragi-comédie ...) ...
La France fut donc le centre d’une pensée nationale romantique qui créa dans la conscience européenne une Pologne semi-imaginaire. La Pologne de Mickiewicz et de Chopin, allégorie féminine du martyre et de la dignité bafouée par l’injustice, fit pleurer dans les chaumières et surtout dans les salons.
Si la littérature juge toujours, toutes les opinions y sont toujours possibles : il n'y a pas de sujets exclusivement littéraires, ni de sujets impossibles pour la littérature. De plus, puisqu'elle met en jeu des opinions, le lecteur peut aussi bien détourner la proposition que la suivre ; alors force est bien de constater que si on la regarde dans son ensemble la littérature est un lieu où observer les jeux et conflits de valeur. C'est en cela que réside son intérêt sociologique majeur.
Le spectateur actuel réalise difficilement à quel point l'activité théâtrale a pu changer depuis 1830 ...
L’idéologie sert à nous rappeler que le clerc ne vit pas en dehors du monde. En cela au moins, elle reste une notion actuelle et nécessaire.
On ne saurait prendre la mesure de l'histoire du théâtre belge entre les deux guerres sans insister sur le rôle de la critique.
A une époque où il n'y avait pas d'enseignement de la dramaturgie, et très peu de débats théoriques en Belgique, les réflexions de fond étaient le fait d'amateurs curieux plutôt que de professionnels ...
La question de la source des idées et images artistiques charrie au fil du temps des représentations multiples mais qui reviennent souvent vers la même interrogation : quelle force transcendante suscite la capacité de créer une oeuvre?
Le lecteur se trouve livré à ses impressions, sensations, interprétations, il exerce une activité qui construit le sens de l'oeuvre, et qui parfois le modifie par rapport à ce que l'auteur y a littéralement inscrit.
L'auteur n'est pas un simple scribe qui enregistre des faits mais il invente un monde et détient la faculté de susciter des réflexions et des émotions.