Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) : 1942
Né(e) : 1942
Biographie :
Écrivain, traducteur, poète avant-gardiste, époux de Catherine Petit, avec qui il collabore à nombre de traduction dans des domaines très divers.
Il est l'auteur d'une cinquantaine de livres (traductions) et auteur du fameux : "The honeymoon thrillers" paru en 1970 en Angleterre, traduit et publié chez GALLIMARD en 1971, sous le titre "Mariages rouges", puis réédité chez RIVAGES en 1994, sous le titre "Les tueurs de la lune de miel". Une histoire vraie qui s'est déroulée un peu avant la Seconde Guerre Mondiale qui fait désormais partie de cette liste extraordinaire des grandes affaires criminelles américaines.
Comment Paul Buck, ce poète avant-gardiste, s'est-il intéressé à cette histoire au point de vouloir l'écrire, cela reste un mystère... il pourrait s'agir de deux hommes différents, homonymes.
Pendant toute sa carrière d'écrivain, Paul Buck s'est consacré à l'exploration de la prose et de la poésie, une recherche permanente et des expériences de formes nouvelles dans la narration, mêlant l'écriture avec la musique, la peinture...
Dans les année 70, il est rédacteur en chef avec Glenda George de "Curtains Magazine", ayant pour seule vocation, faire connaître des écrivains français, des poètes, des philosophes, les traduisant d'abord, puis les éditant. Il a entre autres, traduit les œuvres de George Bataille, philosophe, Bernard Noël, poète, Danielle Collobert, poétesse et bien d'autres...
Paul Buck s'intéresse aussi beaucoup au cinéma européen, à la musique et en 1992, il a collaboré à la réalisation d'un album musical "Jacques et Absinthe", dans le cadre de l'Association "48 caméras" créée en 1985, qui réunit des musiciens, des écrivains, des peintres pour créer des oeuvres musicales. Paul Buck a écrit des poèmes qu'un quatuor international a mis en musique, la particularité étant que les protagonistes qui ne se rencontrent pas (chaque membre étant originaire d'un pays d'Europe) ont pour seul but étant de mêler sur un disque musiciens et non musiciens. L'écrivain a collaboré à ce projet jusqu'en 1996, mais continue à s'y intéresser, et Paul Buck serait aussi "l'instigateur" du Festival "Violent Silence" de Londres.
+ Voir plusÉcrivain, traducteur, poète avant-gardiste, époux de Catherine Petit, avec qui il collabore à nombre de traduction dans des domaines très divers.
Il est l'auteur d'une cinquantaine de livres (traductions) et auteur du fameux : "The honeymoon thrillers" paru en 1970 en Angleterre, traduit et publié chez GALLIMARD en 1971, sous le titre "Mariages rouges", puis réédité chez RIVAGES en 1994, sous le titre "Les tueurs de la lune de miel". Une histoire vraie qui s'est déroulée un peu avant la Seconde Guerre Mondiale qui fait désormais partie de cette liste extraordinaire des grandes affaires criminelles américaines.
Comment Paul Buck, ce poète avant-gardiste, s'est-il intéressé à cette histoire au point de vouloir l'écrire, cela reste un mystère... il pourrait s'agir de deux hommes différents, homonymes.
Pendant toute sa carrière d'écrivain, Paul Buck s'est consacré à l'exploration de la prose et de la poésie, une recherche permanente et des expériences de formes nouvelles dans la narration, mêlant l'écriture avec la musique, la peinture...
Dans les année 70, il est rédacteur en chef avec Glenda George de "Curtains Magazine", ayant pour seule vocation, faire connaître des écrivains français, des poètes, des philosophes, les traduisant d'abord, puis les éditant. Il a entre autres, traduit les œuvres de George Bataille, philosophe, Bernard Noël, poète, Danielle Collobert, poétesse et bien d'autres...
Paul Buck s'intéresse aussi beaucoup au cinéma européen, à la musique et en 1992, il a collaboré à la réalisation d'un album musical "Jacques et Absinthe", dans le cadre de l'Association "48 caméras" créée en 1985, qui réunit des musiciens, des écrivains, des peintres pour créer des oeuvres musicales. Paul Buck a écrit des poèmes qu'un quatuor international a mis en musique, la particularité étant que les protagonistes qui ne se rencontrent pas (chaque membre étant originaire d'un pays d'Europe) ont pour seul but étant de mêler sur un disque musiciens et non musiciens. L'écrivain a collaboré à ce projet jusqu'en 1996, mais continue à s'y intéresser, et Paul Buck serait aussi "l'instigateur" du Festival "Violent Silence" de Londres.
Source : http://fichesauteurs.canalblog.com/archives/2008/03/23/8434713.html
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Citations et extraits (5)
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Aucun infirmier n’avait jamais flirté avec elle. Pas même un garçon de salle. En fait, personne de sa profession. Le seul homme à lui avoir témoigné un tant soit peu d’intérêt amoureux, dans un hôpital, c’était Joe : un malade qu’elle avait soigné en Californie, le pays de tous les rêves. Bien qu’elle se refusât à l’admettre, elle était jalouse qu’on reluque ses filles et qu’on les séduise juste sous son nez. Surtout quand le séducteur était, comme cette fois, un demi-rital. Il faudrait qu’elle signale Jackson à ses supérieurs. Plus tôt on le flanquerait dehors, mieux ce serait.
Il exerça sur Evelyn ses pouvoirs vaudou. Les fleurs du mal s’épanouirent en une liaison nocturne.
Evelyn semblait faire l’affaire. Elle était chaleureuse, amicale et de bonne compagnie. Elle menait une existence douillette. Les revenus de la maison suffisaient à la faire vivre. Malheureusement, elle ne disposait pas d’une grosse somme d’argent qu’on pût lui extorquer. Peut-être devrait-il se caser avec elle. L’épouser.
Evelyn semblait faire l’affaire. Elle était chaleureuse, amicale et de bonne compagnie. Elle menait une existence douillette. Les revenus de la maison suffisaient à la faire vivre. Malheureusement, elle ne disposait pas d’une grosse somme d’argent qu’on pût lui extorquer. Peut-être devrait-il se caser avec elle. L’épouser.
C’était injuste qu’elle en soit réduite à lire des magazines à l’eau de rose pour avoir son quota d’amourettes. Elle était grosse, bien sûr, et elle avait des jambes comme des poteaux, mais un homme devrait quand même bien pouvoir l’aimer ?
Peu importe le problème d’argent, mon chéri. Quand il y en a pour un, il y en a pour deux...
Finalement, Hitler n’avait peut-être pas tort en ce qui vous concerne, vous autres !
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