Paul Korky

Comme toute sorcière qui se respecte, Pélagie aime ce qui est sombre. Dans sa grande maison, tout, du sol au plafond, des meubles jusqu'à la baignoire, est noir. Et son chat Rodolphe ? Noir, bien sûr. C'est justement ce qui pose problème : quand Rodolphe dort dans dans la maison, Pélagie le confond avec les sièges ou les tapis, ce qui fait qu'elle trébuche ou s'assoit sur lui... Après une chute épouvantable, la sorcière décide d'agir et, d'un coup de baguette magique, en fait voir de toutes les couleurs au pelage du pauvre Rodolphe. Mais ses soucis ne disparaissent pas pour autant...



Ma fille adore ce petit album car la sorcière y est plus drôle que méchante et les illustrations très soignées. La couleur du chat est un joli prétexte pour montrer aux enfants qu'il ne faut pas toujours attribuer les problèmes aux autres, mais savoir se remettre en question pour trouver une solution qui convienne à tous. Et comme Pélagie, ils se rendent compte que la vie est bien plus belle en couleurs !



Avant que les plus coquins ne s'exercent à la magie en barbouillant leur chat (ou mieux : le chat des voisins) de peinture à doigts, une petite discussion préventive est toutefois conseillée...

Lorsque j'ai trouvé ce livre à la médiathèque où je travaille, je l'ai immédiatement reconnu puisque je l'avais déjà lu il y a encore 25 ans, justement à la médiathèque de la commune dans laquelle je vivais à l'époque. Je n'ai pas hésité avant de l'emprunter parce que je voulais me rappeler des souvenirs d'enfance.



Dans cette histoire, nous allons suivre Pélagie, une sorcière qui adore la couleur noire, si bien qu'elle en a partout chez elle : sur les murs, les sols, les meubles, les décorations... Tout est noir. Seulement, elle a aussi un chat noir, Rodolphe, et, quand celui-ci s'endort quelque part, elle ne le voit pas. Elle en a marre de trébucher ou de s'asseoir sur lui, aussi décide-t-elle, avec sa baguette magique, de changer la couleur de son animal...



Si je me souvenais bien de la couverture de ce livre, j'avais complètement oublié ce qui s'y passait. Bien que les souvenirs me remontaient parfois pendant ma lecture, ça a été une véritable (re)découverte.



C'est une histoire très drôle avec une sorcière qui amusera davantage les enfants qu'elle les effraiera ! Pélagie va tenter, par tous les moyens, de ne plus confondre son chat avec une assise de chaise ou un tapis... donnant un aspect assez ridicule à Rodolphe !



Au-delà de l'aspect amusant de l'intrigue, j'ai bien aimé le message qui était derrière, qui propose de ne pas accuser les autres de ses problèmes quand on en est à l'origine et, surtout, de traiter convenablement ses animaux. J'ai été charmée par l'histoire et les illustrations, qui n'ont pas trop vieilli, et j'étais ravie de retrouver Pélagie et son chat 25 ans plus tard...

Bien qu'elle habite dans une affreuse maison noire, Pélagie est une sorcière sympa. Pas de mauvais sort ou de vilain garçon transformé en grenouille dans cet album au charme d'autant plus fou qu'il est, je viens de l'apprendre, indisponible à ce jour.



Les soucis de Pélagie résident dans le fait que son chat est noir également. Comme sa (grande) maison.

S'asseoir sur lui quand il dort dans le fauteuil passe encore, mais trébucher du haut du gigantissime escalier parce qu'on ne l'a pas vu, c'est plus qu'exaspérant pour Pélagie, ce n'est plus possible du tout.



Abracadabra ! La baguette apportera du vert, puis bien plus encore… sur le pauvre maton au regard flou.



Bienvenue dans le monde de la magie et des transformations colorées pour notre plus grand plaisir.



J'ai connu des enfants de 4 ans qui connaissaient absolument par coeur tout le texte de cette histoire tant ils étaient emportés par cette originale, mais au final bienveillante sorcière.



Les années passent, le charme reste. Certains albums illustrés conjuguent tout : humour, illustrations gigantesques et expressives, texte court mais bien rédigé.



Comment voulez-vous qu'on s'en lasse ?

Ce jour n'est pas près de m'arriver.


Lien : http://justelire.fr/pelagie-..

La suite de Pélagie, la sorcière.

Quand l'hiver est insupportable, que ne ferait on pas si on est muni d'une baguette magique !

Mais notre bonheur peut rendre les autres envieux... très envieux, et faire tourner l'histoire au cauchemar.

Un très chouette album : les illustrations sont très drôles, l'histoire plaît beaucoup aux enfants, et le chat peint et repeint emporte tous les suffrages.

On ne se lasse pas de le lire.

Il faut absolument que je découvre les autres titres de la série.

Toujours sympathique de faire un bout de chemin avec Pélagie, et son chat Rodolphe.

Cette fois, elle va tenter tous les moyens de transport possibles, mais chacun s’avérera aussi calamiteux que se déplacer en balai dans un ciel surchargé.

Finalement, la solution va arriver par hasard, et tout est bien qui finit bien !



Pélagie et son chat sont toujours aussi drôle, notamment grâce aux illustrations.

Il y a même deux doubles pages à regarder dans l'autre sens, il faut tourner le livre pour profiter de la totalité de la tour, dans toute sa hauteur !!

Une jolie petite histoire.

Pélagie est une sorcière et chez elle tout est très particulier... Une maison de sorcière quoi. Il faut qu'elle se prépare pour un gala alors elle nettoie ses vêtements dans la machine à laver mais... Elle a oublié sa baguette magique dedans ! Qui ressort toute tordue. Comment faire ?

Elle tente quand même de l'utiliser mais sa baguette fait n'importe quoi ! Rodolphe, son fidèle chat, décide d'aller lui chercher une nouvelle baguette en ville. Mais sera-t-elle suffisamment performante ?

C'est une histoire sympa et rigolote que nous avons là ! Les dessins sont colorés avec beaucoup de petits détails. La sorcière a du poil aux jambes par exemple, ou des crapauds violets se cachent un peu partout...

Une sorcière pas très jolie mais bien sympathique !

La charismatique sorcière crée par Valérie Thomas nous présente ici l’hiver dans toutes ses saveurs! Présentation brillamment appuyée par l’illustrateur Korky Paul, dont le soucis des détails ne lasse pas d’impressionner. Ainsi, à la mention d’un « jardin couvert de neige », l’image en double-page offre non seulement l’illustration des propos, mais également une capture tout aussi juste qu’hilarante d’un pauvre chat peinant à se faufiler dans l’accumulation de flocons.





Quand on s’informe sur cette série, on peut s’étonner de voir à certains endroits la mention de l’illustrateur comme étant un co-auteur. Ce présent album confirme toutefois le fait : si aucun endroit du texte ne mentionne le célèbre personnage du père Noël, Korky Paul ne passe pas à côté de ce symbole hivernal si acclamé par les enfants. Il en fera ainsi un véritable personnage secondaire que les jeunes lecteurs ont beaucoup de plaisir à découvrir tout au long de l’album.



Encore une fois, un livre savoureux où il fait bon s’attarder!

Pélagie est une sorcière, ma foi pas si méchante. Son gros problème ? Son chat. Il est noir. Comme toute sa maison. Alors forcément elle ne le voit pas. Un jour où elle trébuche sur lui, la colère lui vient et pof ! Voilà ce pauvre chat coloré de vert. Mais là encore ça ne va pas...



L'histoire est très amusante jusqu'au bout. Comment Pélagie va-t-elle résoudre son problème ? Les dessins sont minutieux et les enfants apprécient de regarder tous les détails.

Le transport préféré des sorcières reste le balai mais depuis un certain temps, le ciel est très encombré ; montgolfières, deltaplanes, hélicoptères, fusées... Et depuis peu, des constructions, dans le genre gratte-ciel médiéval, s'érigent en une nuit.



Pélagie qui subit accident sur accident, décide de faire du vélo... mais ce n'est pas son truc, le vélo... alors elle essaie une planche de skateboard... et là encore, elle n'est pas douée ! Le cheval ? La marche à pied ?



En fait, il faut que Pélagie se montre moins distraite ! Rodolphe, le chat, a beau la mettre en garde chaque fois, Pélagie la sorcière ne voit rien et s'écrabouille partout.

Il y aurait peut-être une solution et elle est surprenante de logique ! Épuisé, Rodolphe reste encore dubitatif, mais bientôt leurs déboires prendront fin...



Pélagie la gentille sorcière, racontée dans plusieurs albums depuis le premier en 1987, est devenue un incontournable de la littérature jeunesse. Accompagnée de son chat noir Rodolphe, et de quelques bestioles du pays des sorciers, elle endure ses mésaventures avec entrain et bonne humeur.

Pas très glamour, mais assez coquète pour porter un panty à froufrou et des bijoux, elle a quand même du charme et a séduit de nombreux enfants qui aiment la dessiner, reconnaissable à quelques particularités... ses habits, ses cheveux noirs filasses, son nez pointu, ses lèvres noires et charnues, puis ses poils aux jambes. Dans chaque livre, les pages de garde sont consacrées à leurs dessins.

Une série à recommander pour les jeunes enfants, dès l'âge de 3 ans.

Parissa, Pakta et Pétronille ont offert un tapis volant pour l'anniversaire de leur sœur Pélagie. Mais l'utilisation du tapis est décevante car il est incontrôlable ! Il embarque tout sur son passage, il fait des pirouettes et il va à toute vitesse en semant un désordre monstre.

Pélagie pense que le ficeler et le remiser dans un placard serait une bonne solution pour avoir la paix, mais ce ne serait pas correct vis à vis de ses sœurs. Alors qu'en décoration...

Pensez-vous qu'un tapis volant peut se contenter de n'être qu'une simple carpette de salon ? Et non... Tout se complique, car profitant d'une absence éclair de Pélagie, le tapis se met à voler en emportant le chat Rodolphe pour une virée endiablée au dessus de la ville.

Croyez-moi... le tapis a intérêt à faire profil bas s'il ne veut pas être transformé en bottines, en parapluie ou en gilet pour Rodolphe... Donc, Pélagie va devoir le capturer et lui trouver une bonne utilité.





Pélagie la sorcière, gentille et douée dans la magie, est l'héroïne de nombreux albums pour enfants. Toujours habillée de ses collants rayés de jaune et d'orange, de son manteau mauve et de son chapeau pointu bien coloré. Du noir chez Pélagie ? Jamais pour elle, elle a bien trop de tempérament !

Les histoires sont toujours amusantes et très pétulantes. Quant aux illustrations, elles sont expressives et pleines de petits détails qui amuseront les enfants. Un crocodile, un petit dragon, des araignées, des mouches... il y en a partout !

Une lecture joyeuse et une sympathique amie...

Cette aventure présentée sous le titre « Winnie Flies Again » (littéralement : Winnie vole de nouveau) se voit ici nommée « Pélagie n’a peur de rien » et « Un nouveau départ pour Winnie » dans l’édition canadienne… disons simplement que la première formule décrit très bien l’histoire.



En effet, l’infortunée sorcière de Valerie Thomas (auteure) et Korky Paul (illustrateur) a bien du mal à voyager sur son balai et encore une fois, c’est son fidèle compagnon félin qui en fera les frais. Ils essaient alors de nouvelles façons de locomotion, mais après beaucoup d’actions et plusieurs commotions, ils sont à court d’option. Heureusement qu’une gentille dame croise leur chemin et leur souffle la solution.





Cette histoire est tout à fait appropriée pour ceux souhaitant exploiter le thème des moyens de transport, mais complètement contre-indiquée aux lecteurs sérieux désirant en apprendre le sport!





À nouveau, c’est avec beaucoup d’humour que l’infaillible duo Thomas et Paul livre un album dont le succès dure et perdure!

Valerie Thomas écrit en anglais. Le lecteur francophone verra les personnages de la série passer de « Winnie the Witch and her cat Wilbur » en « Pélagie la sorcière et son chat Rodolphe » en France (éditions Milan Jeunesse) et en « Winnie la sorcière et son chat Willy » (éditions Héritage Jeunesse) au Canada… Suis-je vraiment la seule à penser qu’il devrait exister ne serait-ce qu’une loi de conscience éthique empêchant ce genre de capharnaüm littéraire? L’idée d’origine de l’auteure étant très bien ainsi, le blâme allant aux éditeurs d’avoir ainsi travesti les noms des malheureux acteurs!

Passant outre ce gros détail qui me houspille l’entendement, la série au complet vaut la peine d’être dévorée encore et encore tant par l’histoire que par l’art (les illustrations de Korky Paul en font une superstar).



C’est drôle, divertissant, rafraichissant et tout simplement amusant. Les mots sont simples et prévisibles, à la façon des albums à succès de l’équipe formée par Robert Munsch et Michael Martchenko.





Dans ce premier album de la série, écrit en 1987, la sympathique sorcière tête en l’air aime un peu trop le noir et c’est son chat qui en pâtira. Évidemment, l’hurluberlue sorcière y ajoutera son grain de sel et tout ira de mal en pis jusqu’à ce que survienne l’ultime inspiration apportant « LA » solution!





Les lecteurs passionnés seront également charmés de visiter le site Internet offrant plusieurs activités gratuites en lien avec les chaleureux personnages (www.winnieandwilbur.com).

Ouvrage récompensé pour ses illustrations de la Mention prix BolognaRagazzi 1993, à la Foire du livre de jeunesse de Bologne." C'est vrai que les illustrations regorgent de détails mais pour autant, nous n'avons pas trouvé que le chien Pel soit bien dessiné.



C'est un croisement entre BD et livre car sur une même double page on peut trouver un grand dessin et deux petits, le texte s'insérant au milieu.



Pel cherche son os mais sa mémoire est courte, et bien qu'il ne soit pas un poisson rouge, il ne se rappelle plus où il l'a enterré. Alors il creuse et creuse et gratte et finit par découvrir...Devinez quoi ? Tout un tas d'objets divers et variés jusqu'à ce qu'il trouve des os si précieux qu'ils vont lui permettre de se gâter et de gâter tous ses potes du quartier.

Pel n'a pas de mémoire mais il est drôlement généreux !



Le texte est assez court et simple à comprendre et permet une lecture rapide de l'histoire par l'enfant.

Alors, allez vous creuser, creuser et gratter vous aussi pour tenter de le trouver et le lire ?

Pélagie doit se préparer pour le gala annuel des sorciers, mais au dernier moment, elle voit que son unique robe de bal est tachée.

Un peu affolée, elle la met dans la machine à laver le linge avec tout le reste mais dans sa précipitation, elle ne s'aperçoit pas qu'elle y glisse aussi sa baguette magique...

Catastrophe ! la baguette ressort toute tordue, inutilisable, et à chaque Acadabra, rien ne va plus.



Déprimée, elle ne sait plus quoi faire et c'est son chat Rodolphe qui va en chercher une autre pour la remplacer.

C'est génial ! Pélagie pourra se produire sur scène pour montrer toute sa virtuosité... Mais... il y aura comme un souci...



Pélagie la gentille sorcière, racontée dans plusieurs albums depuis le premier en 1987, est devenue un incontournable de la littérature jeunesse. Accompagnée de son chat noir Rodolphe, et de quelques bestioles du pays des sorciers, elle endure ses mésaventures avec entrain et bonne humeur.

Pas très glamour, mais assez coquète pour porter un panty à froufrou et des bijoux, elle a quand même du charme et a séduit de nombreux enfants qui aiment la dessiner, reconnaissable à quelques particularités... ses habits, ses cheveux noirs filasses, son nez pointu, ses lèvres noires et charnues, puis ses poils aux jambes. Dans chaque livre, les pages de garde sont consacrées à leurs dessins.

Une série à recommander pour les jeunes enfants, dès l'âge de 3 ans.

L’album nous présente un bien singulier cadeau d’anniversaire que la sorcière* a reçu de la part de ses sœurs : un tapis volant qui n’en fait qu’à sa tête. Ainsi, quand l’insoucieux chat noir décide d’y faire sa sieste, il se retrouve victime des caprices de l’objet volant. Ce dernier en profitera pour faire des cascades aériennes dans des endroits inusités, emportant le pauvre félin épouvanté. Naturellement, sa propriétaire, catastrophée, fera l’impossible pour le sauver. Qu’adviendra-t-il de cet insoumis tapis?



Comme dans toutes les aventures de cette sorcière créée par Valérie Thomas, l’illustrateur Korky Paul a fait merveille. Les lecteurs attentifs savent que dans chaque album, il prend un malin plaisir à tracer son autoportrait pour le glisser ici et là dans les illustrations. Nous le reconnaissons généralement par la plume de dessinateur qu’il transporte.



Korky Paul a continué sur cette lancée pour ce présent album auquel il ajoute également la représentation d’une toute nouvelle vedette. Il s’agit de la jeune Matilda Snook, gagnante d’un concours de dessin de dragon inspiré de l’album « Winnie’s Midnight Dragon ». L’information est mentionnée dans la page de garde dans certaines éditions (dont Oxford University Press, Héritage Jeunesse et Brume).



Quelle qu’en soit l’édition, le lecteur aura l’occasion de voir le dessin gagnant parmi les tableaux ornant un des murs de la maison du personnage principal (au milieu du livre) ainsi que le portrait de sa dessinatrice ( présente à la toute fin de l’histoire, coiffée de lulus, pinceau et plume à la main et souriant d’un air malicieux en épiant la célèbre sorcière).

Pélagie est un personnage au féminin et en version sorcière de Gaston La gaffe, car des gaffes, elle ne sait faire que ça. C'est drôle et bien illustré, mais sans prétention.

Pélagie est une sorcière bien sympathique mais il lui arrive toujours des problèmes surtout quand elle voyage sur son balai. Elle essaie d'autres moyens de locomotion mais ce n'est pas mieux. En entrant dans un magasin, elle va trouver la source de ses ennuis. Elle ressort avec une paire de lunettes et tout s'arrange.

Le côté hurluberlu de Pélagie fait tout son charme.

Ce livre m'a été prêté par une enseignante de mon école quand je lui ai dit être à la recherche d'une collection de livres pour partir une lecture par tutorat avec les élèves de troisième année de mon école. Elle en avait trouvé plusieurs livres de cette collection à très bas prix sur Internet et voyait qu'ils étaient populaires auprès de la majorité des élèves de sa classe.



Elle m'en a donc prêté un exemplaire pour que je me fasse une idée. J'ai bien aimé, mais malheureusement, pas plus que cela. Je n'ai pas trouvé que l'histoire était assez développée pour travailler les prédictions comme je le voulais.



Toutefois, ce tome-ci en particulier est très bon pour sensibiliser les jeunes à l'inférence, puisque la sorcière se met à parler drôlement lorsqu'elle perd sa dent. Des sons changent et les enfants sont forcés d'utiliser le sens du texte pour deviner les mots qui sont écrits. Ce livre est donc pour moi ni particulièrement bon, ni particulièrement mauvais.



Ce qui est certain, c'est que sa longueur et la grosseur des caractères ont tout pour encourager les lecteurs en difficulté. Je pense que j'en lirai donc d'autres pour me faire une meilleure idée. Avez-vous des suggestions de collection à me faire pour travailler les prédictions en troisième année ?
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..

Pélagie est une sorcière somme toute très classique - baguette, chat, sort, chapeau en pointe… - mais ni méchante, ni vilaine c’est à noter.

Après l’avoir découverte dans un album précédent, ce second récit est de la même veine que ce dernier. Un récit très classique qui manque de saveur. Cela se ressent dans la conclusion qui reste très bateau.

J’avais trouvé les illustrations sympathiques dans l’album précédent mais peut-être un peu brouillons. Cela se confirme dans celui-ci avec des dessins qui naviguent entre trop lourds et plein de détails - chacun y trouveras son intérêt. Par contre, la collection fait toujours aussi vieillotte avec ses couleurs fades.

Bref, mon petit dernier est reste assez coi devant ces histoires un peu trop fades à mon goût.