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Critiques de Paul Murray (19)
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La marque et le vide

Claude est un jeune analyste financier qui travaille à la Bank of Torabundo au sein du Centre International des Services Financiers à Dublin. Il vient d'une famille modeste de la banlieue parisienne, son père était forgeron, comme son grand-père et son arrière-grand-père. Il se sent un peu en décalage dans ce milieu de la finance internationale sans foi ni loi, de même qu'Ish, une de ses collègues avec laquelle il sympathise. Il est amoureux de la jeune serveuse grecque de l'Ark, un restaurant à proximité de son bureau, mais n'ose pas le lui avouer. Un jour, il est contacté par Paul, un écrivain, qui lui dit vouloir s'inspirer de sa vie pour écrire un roman. Etonné mais flatté, Claude accepte de lui donner à voir sa vie, et, après avoir eu l'autorisation de sa hiérarchie, laisse Paul s'installer à côté de son bureau au sein de la banque. ● La lecture est plaisante mais que d'invraisemblances dans cette satire qui manque de subtilité ! ● On comprend bien le propos de Paul Murray, qui est de critiquer la finance internationale et ses folies, mais il aurait dû – et sans doute pu – le faire avec plus de finesse. ● Comment croire à cette histoire d'écrivain qui vient espionner une banque ? Comment croire que Claude reste ami avec lui ? Comment croire à ces analystes qui doutent en permanence d'eux-mêmes et du travail qu'ils font ? Sans parler de tout leur temps libre, c'est à croire qu'ils n'ont rien à faire dans leur banque… le personnage d'Ish est tout bonnement impossible ! Et celui de Claude, un financier naïf, timide et fleur bleue, ne passe pas non plus le cap de la vraisemblance. Sans parler de son père forgeron dans les années quatre-vingt !... ● En revanche, les mécanismes financiers sont assez bien décrits et vulgarisés, souvent avec humour, comme dans ce passage : ‘For example, one simple kind of derivative is an option. This is a contract that gives me the right, but not the obligation, to buy something from you for an agreed price at an agreed date in the future. I am calculating that when that date comes, the price will be more than our agreed price.' ‘Isn't that just a bet?' Paul says uncertainly. ‘If you do it in the bookie's, it's a bet,' Ish says. ‘If you pay some 23-year-old in an Armani suit two hundred grand to go to the window for you, it's a derivative.' / « ‘Par exemple, une option est un type simple de produit dérivé. Il s'agit d'un contrat qui me donne le droit, mais non l'obligation, de vous acheter quelque chose pour un prix convenu à une date future convenue. Je calcule qu'à cette date, le prix sera supérieur au prix convenu'. ‘Ce n'est pas un simple pari ?' dit Paul, incertain. ‘Si vous le faites chez le bookmaker, c'est un pari', répond Ish. Si vous payez un jeune de 23 ans en costume Armani deux cent mille dollars pour aller sur l'ordi à votre place, c'est un dérivé.' » ● Les traders sont fous ; bien que chaque personnage soit nommé, on peine à les distinguer et j'ose croire que c'est voulu de la part de l'auteur, pour montrer que pas un ne vaut mieux que l'autre. Ils ne voient que par l'argent, l'alcool, la drogue et les filles : ‘I've looked at so much porn I can't tell any more if IRL women are good-looking or not,' Kevin confesses. ‘I have to imagine if I saw her on a screen would I click on her.' / « Kevin avoue : ‘J'ai tellement regardé de porno que je ne sais plus si les femmes de la vie réelle sont belles ou non. Je dois imaginer que si je la voyais sur un écran, je cliquerais sur elle.' » ● Pourquoi, quand on est riche, veut-on l'être toujours davantage ? ‘That's why serious players never quit while they're ahead,' Jocelyn says. ‘They're always rushing off to make more billions to protect the billions they have already. Looking for that little bit more that'll make them bulletproof. But then that's just more for them to worry about. It's a vicious circle, see?' ‘So …' Kevin looks deeply troubled by this information. ‘Are you saying … they shouldn't bother? They'd be better off not being rich?' / « 'C'est pourquoi les acteurs sérieux n'abandonnent jamais tant qu'ils sont en tête', explique Jocelyn. ‘Ils se précipitent toujours pour gagner plus de milliards afin de protéger les milliards qu'ils ont déjà. Ils cherchent le petit plus qui les rendra à l'épreuve des balles. Mais ce n'est qu'un souci de plus pour eux. C'est un cercle vicieux, tu vois ?' ‘Alors ...' Kevin a l'air profondément troublé par cette information. ‘Es-tu en train de dire qu'ils ne devraient pas s'en préoccuper ? Qu'ils feraient mieux de ne pas être riches ?' ● Les aventures rocambolesques s'enchaînent jusqu'au bout et je n'en dirai rien pour ne pas divulgâcher le roman, mais on n'y croit pas une seconde. Pour que la satire soit efficace, encore eût-il fallu qu'elle soit crédible. ● le meilleur passage du roman est une discussion autour d'une table entre écrivains, agent littéraire, critique littéraire, éditeur, Claude et Paul, c'est vraiment très drôle. ● Malheureusement, le reste n'est pas à la hauteur. ● Pourtant, Skippy dans les étoiles, le précédent roman de Paul Murray, était une merveille.
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La marque et le vide

Si les banques étaient un asile et ses employés des patients plus ou moins atteint, alors la Bank of Torabundo serait un établissement de premier ordre. C’est là que Claude un super-expert-analyste-financier travaille. Cette petite banque irlandaise qui a très bien supportée la crise de 2008 est autorisée maintenant à jouer dans la cour des grands. Claude et ses camarades de travail, tous plus ou moins amoraux, névrosés, égocentriques et inculte sont très surpris lorsqu’un écrivain demande à les suivre au quotidien pour écrire un roman vrai sur la banque.



Claude le banquier « Frenchie » est flatté que l’on s’intéresse à lui, ce qu’il ne sait pas encore, c’est que Paul l’écrivain a de gros problème avec l’écriture et la vie en général.



Peu vous chaut de voir la bourse fluctuer, vous n’arrivez pas à prononcer « titrisations des créances », et vous croyez que "Subprime" est le nom d'une enseigne de sandwich Nord-américain, alors n’hésitez pas « La marque et le vide » est un roman écrit pour vous.



Une plongée dans le grand bain de la finance avec quelques requins complètement marteaux. Paul Murray en fin moraliste nous explique tout de la finance et de ses cyniques financiers qui pilotent des crises à répétition autoalimentant ainsi un système qui tourne à vide.



Il réussit à nous faire rire avec des personnages très dangereux pour la planète, capable de faire de l’argent sur le dos de tout le monde. Cela pourrait donner le vertige mais Murray a le bon goût d’être très très drôle et aussi francophile.




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Skippy dans les étoiles

Un grand livre, qui vient de sortir en format poche.
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Skippy dans les étoiles

677 pages ! quand j’ai commencé à lire Skippy dans les étoiles, je savais que j’allais mettre longtemps à arriver à la dernière page. Face à des pavés pareils, il faudrait avoir des longues plages de lecture dans la journée et je ne lis que le soir, quand les enfants dorment et que j’ai éteins l’ordinateur. Pour lire pas trop lentement un gros roman comme celui-ci, il faudrait l’emporter en voyage pour l’avancer dans le train ou profiter des transports en commun. Je bosse chez moi et je n’ai pas bougé de Lyon depuis plusieurs mois. Bref j’ai été d’une lenteur assez exceptionnelle pour une ancienne bibliothécaire, d’autant plus que Skippy dans les étoiles n’est pas le genre de livre qui se lit facilement, l’air un peu distrait comme dirait l’autre. Foisonnant, riche, construit en flash-back, il demande toute l’attention de son lecteur, toute sa concentration.



Dimanche après-midi le temps était si gris et triste, que je n’avais nulle envie de sortir et je me suis accordée une longue séance de lecture (oui les enfants étaient devant un DVD). Je n’avais plus envie d’abandonner les personnages que je commençais à cerner jusqu’au soir suivant alors j’ai laissé filer l’heure et j’ai terminé ce roman. Et maintenant je me demande comment je vais bien pouvoir vous raconter cette histoire qui m’a amusé parfois, émue souvent. Comment vous décrire ces adolescents en pension à Seabrook Collège, une institution dublinoise poussiéreuse dont le portrait est si violent et si juste à la fois ? Comment rendre compte de cette atmosphère pesante qui fait l’effet d’une cocotte sur le point d’exploser ?



J’ai eu le sentiment au fur et à mesure que j’avançais dans la lecture de ce livre qu’il n’entrait pas dans les cases. Roman d’apprentissage où l’on retrouve les thèmes de l’amitié, de l’amour et les projections sur l’avenir, Skippy dans les étoiles nous plonge aussi dans la physique quantique à travers le personnage de Ruprecht, meilleur ami de Skippy et petit génie obèse ainsi que dans un épisode peu connu de l’histoire irlandaise parmi d’autres thèmes. L’auteur, qui a lui-même fréquenté ce genre d’école catholique pour garçons, a dit qu’il ne voulait pas s’enfermer dans un genre mais au contraire alterner moments de pure comédie et passages bien plus tragiques, comme ces ados qui bondissent de l’exaltation au désespoir sans crier gare. Même les personnages changent sans cesse de plan : les lumières se braquent sur Skippy cet ado qui s’entiche de la plus belle fille de la ville puis Howard professeur d’histoire semble devenir le personnage central avant que la situation ne bascule à nouveau.



Paul Murray n’épargne pas les adultes : ils sont dans le meilleur des cas indifférents, lâches et parfois de véritables salauds. Je n’ai pas pu m’empêcher de comparer ce roman avec Une place à prendre car une partie de l’intrigue se passe aussi dans une école huppée. Alors que Rowling semblait surtout à l’aise à décrire l’adolescence, ici l’auteur se glisse dans la tête des uns et des autres avec la même aisance.



Construit de manière à ce que l’on s’accroche dès le début et qu’on veuille absolument connaitre la suite, Skippy dans les étoiles est un roman brillant, intelligent, drôle (avec ce ton décalé si british), poignant…peut-être qu’après tout, ça vaut la peine de prendre son temps pour le lire )
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Skippy dans les étoiles

Il est absolument impossible de résumer la trame très dense de ce roman hors normes, alors je vous propose un petit exercice d'imagination:

Ce roman est dans un sac, tout ce que vous savez c'est que vous pouvez plonger la main dedans et sans tricher sans trop tâter ou essayer de deviner ce que vous attrapez, vous retirez un petit quelque chose.

Ha, jeune homme, là oui vous au dernier rang, vous êtes tombé sur la théorie des cordes expliquée aux ados boutonneux obnubilés par le sexe, vous voyez ?

Mademoiselle ?

Vous, vous avez retiré une poignée de cachets échangés contre quelques pétards à deux élèves de primaire, ces cachets finiront dans le bec de quelques lycéennes voulant garder la ligne.

Monsieur, avec les lunettes, vous avez de la chance vous avez retiré une grappe de personnages, et pas des moindres en plus (vous devriez jouer au loto), donc vous avez un prof d'histoire qui ne s'est toujours pas remit d'exercer dans son ancienne école, il entre encore en catimini dans la salle des profs, le jeune Skippy, le plus petit de tout les élèves qui découvre l'amour, et voilà Terminator le proviseur de l'école privée pour garçons de Seabrook, avec sa pauvre femme accrochée à son bloc-note. Oups ! et voilà Carl, l'élève qui fait peur aux dealers attitrés du quartier..c'est dire !

Hum, le sac sent une drôle d'odeur non ? Vous ne trouvez pas ? Sûrement celle d'une école pour garçons aux prises avec les hormones adolescentes, école située pile-poil :) en face de celle de filles en quête d'aventures non romanesques.(sexe sexe sexe ) snif? snif? une petite odeur de cannabis aussi peut-être mais légère, vraiment.

Ha ! attention, un prêtre-enseignant essaye de sortir du sac, celui là il faut le surveiller, il est un peu bizarre.

Voilà, j'espère que ce petit jeu vous aura donné envie de lire ce qui ce cache derrière ce titre étonnant.

Moi, j'y ai passé un peu de temps, la densité de l'écriture peut en rebuter quelques uns, mais il faut essayer et finalement on se surprend a avoir enfin une explication simple de la théorie des cordes, et du coup on se retrouve dans la onzième dimension !
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Skippy dans les étoiles

890 pages. Une belle brique qui habitait ma bibliothèque depuis plusieurs années. Ce roman irlandais dresse le portrait d'un pensionnat catholique pour adolescents. Une écriture vive et tourbillonnante au service de personnages imparfaits, drôles malgré eux, touchants, cruels.. Les adolescents tentent de survivre entre grandes ambitions, faux espoirs et rêves illusoires, expérimentant amours, drogues et utopies scientifiques. Les profs sont habités, hantés ou carrément salauds. Cela suinte le malheur et l'abandon dans ce pensionnat pour riches mais jusqu'au bout le lecteur y croit et s'attache à Skippy, Ruppert, Lori, Mario et même Carl la vilaine frappe. Un camaïeu excentrique d'émotions saisit le lecteur et les pages nombreuses se tournent pour aller à la rencontre de ces destins barrés. Une super lecture.
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Skippy dans les étoiles

Ce roman est une sorte d’ovni tant il est foisonnant d’intrigues, de thèmes, d’idées. Même s’il y a quelques longueurs, je l’ai beaucoup aimé.
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Skippy dans les étoiles

Un Mortel ennui me saisit à la lecture de ce roman

Impossible d aller au delà des 2/3 du livre

Des personnages déjà vus, lus

Des situations connues, lues également ailleurs

Rien de nouveau sur la terre d Irlande



Il est urgent de prendre un autre livre

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Skippy dans les étoiles

Ce roman d'apprentissage m'a juste... remué le cœur. C'est à la fois triste, cynique, humoristique, brutal et mélancolique. J'ai ressenti tellement d'émotions qu'une fois cette lecture terminée, c'était comme si j'avais un peu de mal à émerger.



Dès le début du livre, nous savons que Skippy, un adolescent de 14 ans meurt lors d'un concours de mangeurs de beignets auquel il participé, avec son meilleur ami Ruprecht. C'est tout au long des pages 📖 que l'on va apprendre comment cette tragédie a pu arriver ? Quelles sont les conséquences de ce drame ?

Skippy vit à Seabrook College dans un pensionnat situé à Dublin, en Irlande. Il ne fait pas parti de ces jeunes que l'on dit "populaire". Il est perdu au milieu de tous ces autres pensionnaires, de ces adultes ces professeurs - eux mêmes, pour certains - pas très stables, pas vraiment en accord avec ce métier pédagogique bienveillant censé être une vocation.



C'est l'image de l'établissement qui prime au détriment de l'éducation, du bien-être des élèves. Skippy et ses camarades se posent des tas de questions sur la vie l'amour. Ils tentent de trouver des réponses par des réflexions communes -qu'elles soient simplement platoniques ou que celles-ci découlent des expériences de jeunesse qu'ils ont réellement vécu au fil de l'histoire - en faisant notamment référence à plusieurs domaines culturels tels que les sciences, l'histoire entre autres.



Ce roman traite de différents sujets, de thèmes d'actualité, de société - dans certains cas, graves - qui ne nous laissent en principe, pas indifférents.



Je ne vous en dirais pas plus... pour ne pas vous gâcher le plaisir de découvrir ce livre, si toutefois vous le souhaitez. Vous serez alors peut-être - comme moi - surpris par le contenu, envouté, par certains passages, embarqué, choqué...
Lien : https://www.instagram.com/so..
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La marque et le vide

Portrait d'une société où tout marche à l'envers, banque, crise financière, immobilier... C'est une critique de la modernité à tout prix , de la société actuelle que nous propose l'auteur. Je n'ai pas trop aimé ce livre, je n'ai rien à reprocher à l'écriture ni au style mais c'est le sujet qui m'a vraiment pas captivée. Il faut dire que le milieu de la banque, la finance et tout ça m'exaspère au plus haut point. Et ce n'est pas ce livre qui y a changé quelques choses. Je me suis ennuyée, je n'ai rien retrouvé des précédents livres de l'auteur, rien de ce qui a fait que j'ai eu envie de lire celui-ci.



A vrai dire il m'est tombé des mains, j'ai mis un temps fou à le lire parce que je mets un point d'honneur à finir les livres commencés. Peut -être ne suis-je pas le public visé, peut-être que c'est une question de timing pour moi.



VERDICT



Je n'ai pas aimé mais il plaira peut-être à ceux que l'argent, la banque et la finance passionnent.
Lien : https://revezlivres.wordpres..
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La marque et le vide

Par-delà la finance, l’écrivain moraliste épingle une société qui tourne à vide, un monde creux où des hommes sans substance ne parviennent pas à imprimer leur marque.


Lien : http://www.lesechos.fr/week-..
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La marque et le vide

Le monde de la finance n'est pas mon truc, mais la petite équipe est fort sympathique et le pseudo écrivain filou attachant. Désopilant et ça fait du bien.
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Skippy dans les étoiles

Un roman total ou un roman modeste? Un roman incroyablement réussi et riche, très humain, très amical et cynique, juste un brin cynique...
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La marque et le vide

Une mise en abime? oui c'est cela...
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Skippy dans les étoiles

Œuvre ample et ambitieuse, "Skippy dans les étoiles" emporte dans un même élan exempt d’artifice des thèmes aussi divers que l’amitié, la physique quantique, le folklore irlandais, la place de l’Histoire, [...], la pornographie, les relations humaines, la société de consommation, le spiritisme, la solitude ou l’amour.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Skippy dans les étoiles

Le grand Meaulnes et l'élève Törless souhaitent la bienvenue à Paul Murray, ex-libraire irlandais qui signe un très beau roman sur les désarrois de l'adolescence avec, pour seuls décors, les quatre murs poussiéreux d'une institution catholique dublinoise.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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Skippy dans les étoiles

J'ai sauté des pages entières vers la fin car ce livre m'a semblé interminable. "Réjouissant, drôle et émouvant", tels sont les qualificatifs de ce livre sur la 4eme de couverture... Je l'ai trouvé triste, malaisant et tiré en longueur malgré qu'il soit bien écrit. J'ai mis presque 6 semaines à le terminer en me disant que la fin allait être spectaculaire... Il n'en fut rien. Je ne suis probablement pas le bon public pour ce livre.
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Skippy dans les étoiles

A essayer de re-lire ?
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Skippy dans les étoiles

Entre blague potache et drame intime, le roman de Paul Murray raconte la mort, puis la vie, d’un élève de «la rangée du milieu».
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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