Si les Grecs avaient eu un ministère de la Construction, nous n’aurions pas l’Acropole. Pas plus que Rome, Paris et autres lieux dont s’émerveille le monde. Il aurait trouvé Notre-Dame trop sombre et la Tour Eiffel trop haute.
La folie des grandeurs ? Je ne récuse pas le terme. Je n'ai jamais lésiné sur mes rêves.
Le plaisir donné autour de soi est une des rares choses qui rendent un homme heureux.
Rien n’est pareil quand on est sur le flots, ce qui règle la vie des terriens n’a plus cours.
On ne peut réussir tout seul, c’est une équipe qui réussit.
Ma plus belle œuvre aura été de planter des arbres.
Faire naître la vie là où il n’y a rien, quoi de plus excitant ?
Je veux associer le personnel de l’entreprise au capital, en attribuant des actions gratuites car l’entreprise doit être l’affaire de tous ceux qui la font prospérer et qu’un actionnaire salarié est forcément plus concerné qu’un investisseur dont l’intérêt se limite à la question financière. Le premier se bat pour ce qui constitue à la fois son outil de travail et son avenir ; le second, attiré par le seul profit immédiat, peut vous abandonner au moment où vous avez le plus besoin de lui.
Une entreprise est un bien commun qui doit servir au plus grand bien de chacun.
Les entreprises valent ce que valent les hommes.
Aucune entreprise ne peut survivre si elle n’est pas en évolution permanente.
Si vous voulez rendre les gens heureux, payez-les, motivez-les, considérez-les.
J’ai travaillé pour la qualité de la vie et le bonheur des hommes.
Et maintenant, mission accomplie, je vais continuer, du haut de la Tête de l'Évêque, à regarder se lever chaque matin, le soleil sur la forêt de Montrieux, apportant dans sa lumière fraîche une nouvelle journée à ajouter aux milliards d’autres de la vie du monde. Et à regarder ce même soleil, le soir, se coucher derrière le pic de Bertagne. C’est le soleil couchant que je préfère, pour les couleurs mais surtout pour la paix qu’il apporte, au terme des travaux du jour.