Serrant les dents, Bénédicte se révéla incapable d’empêcher les fortes mains de lui saisir les hanches pour la maintenir en place. Puis elle sentit à nouveau le gland familier se frotter de haut en bas sur sa vulve avant qu’il ne la pénètre brutalement et commence à la baiser. C’était vraiment affreux d’avoir des relations sexuelles de cette manière, tout en essayant de converser le plus naturellement du monde avec son mari au téléphone. Le point culminant de l’horreur eut lieu quand le bâtard noir éjacula en elle juste lorsqu’elle était en train de dire à son mari : — Je t’aime !