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Critiques de Pauline Delpech (16)
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Le sang des tourterelles

Lu en trois jours, un suspense digne des grands romans policiers et un contexte historique très travaillé. L'inspecteur Barnabé fait partie de ces anti héros qu'on aime suivre, le personnage est marquant, abîmé mais captivant. On y découvre un Paris de 1938, avec ses intrigues, ses secrets, ses riches puissants et ses petits métiers. Les meurtres sont ignobles, l'équipe attachée a l'enquête se lancera a la poursuite des coupables jusqu'à la dernière page . Un très bon livre .
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Sous la neige noire

Encore une chouette lecture découverte dans la boite à livres de ma petite ville.



C'est un premier roman très bien écrit, une histoire policière qui se place dans les années 30.

On y rencontre le commissaire Barnabé personnage très attachant. Il a fait la guerre de 14/18. Puis il a rencontré une jeune femme , Eleanora, qu'il a aimée passionnément. Mais la jeune femme décède en couche. Dans sa douleur, Barnabé ne souhaite pas voir son enfant et le confie immédiatement à l'adoption. Barnabé se jette à corps perdu dans son travail et aussi dans l'alcool.



Mais bientôt Barnabé est pris dans une enquête aussi mystérieuse que dangereuse.

Alors que Paris est secoué par l'affaire Stavisky, un énorme scandale politico économique, une enseignante est retrouvée assassinée et éviscérée, un acteur Alexis Cortès lui demande de l'aide car il se sent menacé et une jeune femme Jeanne d'Arcy qui a été escroquée par son ex lui demande de l'aide.



Petit à petit les pièces du puzzle se mettent en place. Ce qui semblait n'avoir aucun lien se révèle être extrêmement imbriqué.



j'ai énormément apprécié les personnages secondaires en particulier Gino un policier Italien qui adore la mode.



Jolie découverte
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Sous la neige noire

Un roman qui se situe dans les années trente, très bien documenté, sur la vie des français dont les années après-guerre furent très difficiles. La femme du commissaire Barnabé est décédée en mettant au monde leur enfant. Dans sa grande tristesse il ne demande même pas si c’est une fille ou un garçon, ordonne à la sage-femme de le faire adopter. Pour lui la vie se fera entre l’alcool qu’il doit maîtriser et son travail. Un coup de téléphone le prévient d’un crime. Ce roman est plus axé sur les années difficiles de la France. Pour l’intrigue policière il faut aller loin dans la lecture du livre. Dans l’ensemble le roman n’est pas mal.



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Sous la neige noire

J'ai emprunté ce livre juste avant le confinement à la bibliothèque et je dois avouer qu'ici j'ai été vraiment déçu de cette lecture.



A mes yeux cela représente tout ce que je n'aime pas lire au niveau des romans policiers, il faut savoir que l'action se déroule dans les années 30 ce qui n'est pas mentionné sur la quatrième de couverture, j'ai donc d'abord été surprise mais certains policiers navigant entre passé et présent je n'ai pas été déstabilisé mais tout le récit se passe dans ces années là.



J'ai trouvé la plume et le style de l'auteur vieillot au possible, beaucoup de description d'ou mon ennui indescriptible, certains passages sont un peu plus intéressants mais cela reste d'une platitude effarante.



Je n'ai trouvé de relief à aucun des personnages et pourtant visiblement d'autre bouquins suivent celui-ci avec l'inspecteur Barnabé mais cela sera sans moi.



Je pense que ce livre n'était pas fait du tout pour moi et ce fut un mauvais choix de ma part.
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Sous la neige noire

Alors que son groupe enquête sur une affaire de faux bijoux, le commissaire Barnabé reçoit une lettre d'Alexis Cortés, un comédien en vogue, l'invitant à Chamonix pour lui parler d'un meurtre. Sur place le commissaire échappe à une tentative d'assassinat, la deuxième en trois jours.

Le cadavre de Mireille Laborde avait été retrouvé un mois plus tôt, éviscéré, le fœtus de la jeune femme enceinte avait été prélevé. De retour à Paris, c'est au tour de Cortés d'être assassiné. L'homme a été éviscéré, émasculé, recousu, avec à l'intérieur le fœtus prélevé un mois plus tôt.



Le récit nous plonge dans les années trente en pleine affaire Stavisky qui semble avoir un lien avec l'enquête.

Une enquête à l'ancienne plutôt bien menée mais plutôt nébuleuse qui va ramener à sa conclusion le commissaire plus d'une vingtaine d'année auparavant.



Une période qui a miné le commissaire, sa femme ayant décédé lors de son accouchement. On a donc une fois de plus un policier qui noie ses affres du passé dans l'alcool. Seul son adjoint, haut en couleurs, arrive à tirer son épingle du jeu.



Le style à l'ancienne de l'autrice ne parvient pas à obtenir l'adhésion du lecteur.



Un policier classique sur le fond mais de facture somme toute moyenne.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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Souvenance

Sur l'île d'Oléron, Julie accompagne sa mère, Elisabeth, qui est en fin de vie. Elisabeth, la mémoire ravagée par une tumeur, tente "d'enduire" ses trous de mémoire par le récit de sa vie que lui conte Julie. Parfois, comme par miracle, des flashs viennent éclairer son passé. Etrangement, ils ne sont pas en raccord avec la biographie que lui laisse entendre Julie, biographie beaucoup plus romantique et tendre que ses propres souvenirs. Quelle est donc la part du vrai et du faux ? ...

Quand, au hasard d'une émission de télévision, j'appris que Pauline Delpech écrivait des romans, je me suis laissé porter par le préjugé, me disant que c'est grâce à son patronyme qu'elle avait certainement la chance d'être publiée. Ne supportant pas les jugements fautifs et hâtifs, je me suis laissé tenter de lire son dernier roman. Bien m'en a pris !

Le style est simple, fluide. Comme une onde pure, il vous entraîne dans son courant, accompagné d'un léger voile mystérieux. Il suscite l'envie de poursuivre l'histoire avec gourmandise. L'intrigue fascine, est merveilleusement construite. La trame est émouvante, jusqu'à la chute. Vraiment, épaté, enchanté, je viens de vivre un grand moment de lecture.

J'ai adoré !
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Sous la neige noire

Une à quête sombre du commissaire Barnabé situé dans les années trente.

L'auteure nous enmene dans cette époque avec une très bonne documentation et une intrigue bien ficelé.

La recette marche , on en redemande!!

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Souvenance

Elisabeth va mourir. Sa mémoire s'étiole à cause de cette maladie qui lui ronge le cerveau. Julie, sa fille, décide de profiter des derniers jours qui leur reste pour l'emmener sur l'île d'Oléron, dans le maison familiale.

Là elles pourront partager des moments de complicité, et surtout, Julie s'est donnée pour mission de restituer à sa mère tous les moments importants de sa vie, pour qu'elle se fasse de nouveaux souvenirs, quitte parfois à enjoliver les choses ou à se détourner un peu de la vérité lorsqu'elle n'est pas aussi belle qu'elle aurait aimé. Mais peu à peu, Elisabeth est troublée, pourquoi ne ressent-elle pas d'Amour filiale pour Julie ? pourquoi tente-elle de l'empêcher d'entrer en contact avec les habitants d'Oléron qu'elles ont déjà connu par le passé ?

Une roman bien ficelé ! Un style très agréable et une très bonne histoire ; très vite on est intrigué et l'envie de connaître le dénouement nous pousse à continuer la lecture jusqu'à la dernière page.

Très bon roman



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Souvenance

Oléron, un soir de printemps. Julie prend soin de sa mère, Elisabeth. Elle est attentionnée et prend plaisir à lui faire redécouvrir les lieux de son enfance et de sa vie d’adulte. Car la vieille femme souffre de trous de mémoire et peine de plus en plus à se souvenir de sa vie passée. Julie la lui fait donc revivre jour après jour, peignant une mère et une femme aimante, qui s’est consacrée à l’art. "Chaque souvenir que je vais devoir révéler aura un goût amer, pense Julie, mais la vie n’est qu’un matériau, après tout. À moi de le sculpter comme bon me semble."



Pourtant, Elisabeth se rend petit à petit compte d’incohérences, de dissonances dans le récit de la jeune femme. Et elle commence à douter d’avoir été la personne parfaite qu’on lui décrit …



Un petit texte qui m’a scotchée le temps d’une soirée : on ne peut qu’être happé par ce récit à deux voix, atypique, d’une grande beauté. Lumineux et poétique, il aborde avec délicatesse le sujet de l’altération mentale et de la perte d’un être cher.




Lien : http://missbouquinaix.com/20..
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Sous la neige noire

Premier roman d'une jeune comédienne, Sous la neige noire , est un polar historique qui fleure bon le Paris des années trente. Particulièrement bien documenté (l'affaire Stavisky ) ce roman nous projette dans la France des années trente et les années difficiles qui précédèrent la seconde guerre mondiale, un bon moyen de découvrir notre histoire et ses dessous! Notons aussi le commissaire Barnabé un personnage très attachant, ancien soldat de 14/18 tourmenté par ses souvenirs, dont on attend avec impatience les nouvelles aventures.

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Le sang des tourterelles

reçu aujourd'hui dans le cadre du partenariat entre livraddict et les éditions Lafon.
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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Le sang des tourterelles

La mise en scène du contexte historique, de la tension qui augmente, des menaces manifestes, de l’inquiétude qui taraude les hommes de l’époque, est réussie. Mais l’anti-héros Barnabé peine à intéresser : il porte le fardeau d’un passé sanglant avec des fils abandonnés et devenus psychopathes, certes, mais cela ne le rend pas plus attentif à sa femme actuelle et à son 3ème fils. Il se plaint et se complait dans ses souffrances, entretenant une culpabilité qui, finalement, le dispense d’agir en père responsable. Il paraît minable, et son attrait pour le masochisme lui permet de prendre plaisir à sa culpabilité. Sa ‘compassion’ pour les petites victimes ne gomme pas son indifférence à son propre fils. Ce personnage antipathique m’a mise à distance du récit au point de vouloir en finir au plus vite avec ce pensum. Enfin, l’auteur ne parvient pas à donner une grandeur tragique à cet anti-héros, comme d’autres auteurs le font dans les bons romans noirs (Hammett par exemple).2/5
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Souvenance

Ce livre fait partit de mes coups de cœur. Ecrit d'une façon simple, ce qui le rend très agréable à lire! Il touche des sujets importants et touchants de la vie : la famille, la maladie, l'amour et les souvenirs...
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Le sang des tourterelles

Troisième et dernière enquête du commissaire Barnabé, ce nouvel opus est particulièrement sombre et même désespéré. Policier brillant que nous avons découvert dans : Sous la neige noire, et appris à aimer dans : Je brûlerai ton coeur de pierre, il doit ici résoudre une série de meurtres d'enfants. Ceux-ci paraissent être victimes d'étranges rituels morbides . Dans le même temps, malgré sa bonne volonté et, en dépit de l'amour de sa femme, son couple se délite. Même la naissance du bébé attendu ne réussit pas à l'intéresser. Hanté par ses souvenirs, incapable de retrouver une vie normale,il se lance sur la piste d'une secte nazie qui l'amène jusqu'à Cologne au moment de la nuit de cristal.

Paris, 1938, peu après les accords de Munich ; L'atmosphère est pesante, le nazisme prend de l'ampleur et l'homme de la rue pressent de terribles évènements à venir, ce qui bien sûr contribue à plomber l'ambiance.A la fin du roman, on comprend que ce seront les dernières aventures de Barnabé et on se prend à déjà le regretter!!

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Et je brûlerai ton coeur de pierre

On retrouve le commissaire Barnabé ainsi que son univers avec plaisir.
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Le sang des tourterelles

lu en partenariat avec livraddict et les éditions http://www.michel-lafon.fr/auteurs/biographie-355,pauline-delpech.html



Un polar historique s'étendant de la fin de la première guerre mondiale au début de la seconde. L'histoire commence sur une exécution en place publique et se termine sur "la nuit de cristal".



L'écriture me semblait naïve et enfantine au début, et puis quelques termes un peu grandiloquants... mais au fil de la lecture, j'ai supposé que cela était voulu, pour reprendre de genre de littérature populaire de l'époque, dans le genre des "mystères de Paris" ou bien de "Rocambole".



Finalement assez agréable à lire... et un bon travail de documentation historique.



On y rencontre des personnages haut en couleur et des lieux pittoresques, tel le bourreau Deibler en humaniste et "profiler", une secte plus ou moins celtique, les lupanars de Paris, la halle aux vins, etc...



juste un regret, c'est que l'auteur nous emmêne à Saint-Sulpice et son fameux gnomon et sa ligne rose... à moins bien sûr que ce soit un clin d'oeil vers Dan Brown...



Parmi les personnages rencontrés... Marthe Richard... qui semble tirer les ficelles de l'intrigue... en belle espionne ? mais vu la fin, on peut supposer que nous en saurons plus dans un prochain roman... .
Lien : http://mazel-livres.blogspot..
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