Ce manque d’échanges avec des femmes, que ce soit en cours ou dans d’autres circonstances de la vie quotidienne, entraîne chez l’étudiant ségrégué et défavorisé une autre carence handicapante. Il considère volontiers les femmes non comme des personnes, des êtres humains au même titre que lui, qui cherchent à comprendre, grandir et trouver un sens aux absurdités de l’existence, mais comme des objets, des instruments, de êtres déshumanisés.