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Citation de OlivierMaldent


J'ai plaqué mes mains sur cet énorme, splendide cul africain, et cinq minutes plus tard on était dans ma chambre, à l'étage au-dessus. Ça a été grandiose. Ses cheveux sentaient le sale. Elle avait de petites tresses qui n'avaient pas été défaites depuis Dieu sait quand, très mignonnes avec leurs boules de couleur mais vraiment puantes, alors je me suis concentré sur d'autres régions de son anatomie. Dehors il faisait à peine plus que zéro mais on suait et on suait, nous deux. Elle était fantastique, incroyablement souple, et elle levait les jambes à l'azimut. J'avais la tête fourrée là-dedans quand elle a lâché deux pets bien sonores. Je la besognais avec la langue et j'ai senti les deux jets d'air sous pression m'atteindre au front. J'ai risqué un coup d'oeil. Pas de merde. Okay. En avant. Elle était très agitée, elle. Elle me prenait la bite dans les mains. Elle la voulait. Moi, j'avais le préservatif déjà prêt. Je me suis couvert et j'ai plongé dans la jungle noire. Inoubliable. Très folklorique, tout ça. Il était quatre heures du matin ou presque lorsqu'elle est retournée prudemment à sa chambre. Moi, je suis descendu boire un peu de thé et me fumer un bon cigare. Il y avait encore quelqu'un par là. Un Vietnamien homo allongé sur un canapé, en train de regarder la chaîne Playboy à la télé. Une couverture tirée sur lui. Par en dessous, sa main s'activait dur. Branlette vietcong dans l'aube scandinave. On fait ce qu'on peut.
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