Mari comprit. Elles ne voulaient pas seulement être drunk, pompette, et pas non plus pissed, ivres mortes, ce qui était désagréable et incontrôlable comme une cuite d'adolescents. Elles étaient des femmes adultes et se bourrer la gueule était une chose sérieuse.
"D'ailleurs kännit, ça se met toujours au pluriel. Ca veut dire "boire ensemble", c'est une beuverie fraternelle", fit remarquer Lia.
Elles commandèrent des vodkas. La vodka préférée de Lia était la Zubrovka polonaise, alors que celle de Mari, c'était la Stolichnaya, un classique russe.