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Critiques de Pelham Grenville Wodehouse (214)
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A Damsel in Distress

Lors d'un voyage au Pays de Galles, Lady Maud, la fille de Lord Marshmoreton, est tombée sous le charme de Geoffrey Raymond, un Américain. Scandalisée par cet attachement de sa nièce envers un homme indigne de la famille, Lady Caroline, la tante de Maud, décide de surveiller étroitement sa nièce.



Alors qu'elle est presque séquestrée dans sa propre demeure, Belpher Castle, Maud apprend par les chroniques mondaines des journaux l'arrivée prochaine, à Londres, de Geoffrey. Elle s'arrange alors avec son cousin, Reggie Byng, pour que celui-ci l'amène discrètement dans la capitale, où Reggie doit aller récupérer Percy, le frère de Maud, qui revient à Belpher pour fêter sa majorité.



Mais Maud joue de malchance. Avant d'avoir pris contact avec Geoffrey, elle rencontre justement Percy, qui se promène dans Piccadilly. Pour l'éviter, elle se précipite dans le premier taxi venu et demande à son occupant de veiller à ce que personne ne la remarque. Le passager du taxi n'est autre que George Bevan, un célèbre compositeur américain, qui ne demande pas mieux que d'aider Maud, puisqu'il en est déjà follement amoureux...



Quelques jours plus tard, rongé par ce sentiment, George décide de quitter Londres et de se rendre dans le comté de Hampshire, où il loue un logement près de Belpher Castle. Il espère rencontrer Maud dans le village et avoir l'occasion d'aider cette belle demoiselle en détresse.





La pauvre Maud est donc "condamnée" à ne fréquenter que des jeunes gens ayant reçu l'approbation de Lady Caroline et de Percy. Mais malgré cela, on n'arrive pas à plaindre cette jeune fille, tant elle semble pleine de ressources.



Et puis, il faut dire aussi que Percy n'est pas très convaincant en "méchant". Au contraire, Maud fait preuve de plus d'ingéniosité que lui dans bien des situations et ce malheureux grand frère fait donc pâle figure dans le rôle de surveillant attitré des faits et gestes de Lady Maud. A tel point qu'il en devient sympathique! Car malgré son arrogance, Percy fait tellement rire (notamment lorsqu'il se retrouve plongé dans un fossé plein de boue pour suivre sa soeur à distance) que l'on finit par oublier tous ses défauts pour ne voir que le côté grotesque de sa personne. Peut-être d'ailleurs devrait-il en jouer au lieu de se voir déjà à la place de son père? Il aurait sans doute l'air moins stupide s'il acceptait le côté comique de son imposante personne (eh oui, Percy est quelque peu dodu...).



Lord Marshmoreton, de son côté, est l'un des personnages que je préfère. Ce pauvre homme ayant hérité du titre familial par hasard ne demande qu'une chose: pouvoir tranquillement s'occuper de ses roses, qu'il aime par-dessus tout. Mais sa soeur, la terrible Lady Caroline, ne l'entend pas de cette oreille et harcèle littéralement ce pauvre homme. Au fil des pages, on découvre en Lord Marshmoreton un homme d'une extrême simplicité et d'un esprit assez ouvert et l'ascendance de Caroline sur ce brave homme finit par devenir insupportable. Heureusement, une rencontre inopinée réveille Lord Marshmoreton qui prend enfin son avenir en main. Et quel avenir! Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il finit par se marier et que sa douce moitié à de quoi faire mourir Caroline d'apoplexie!



Reggie Byng, le beau-fils de Lady Caroline m'a fait penser, tout au long du roman, à Pike, de Dad's Army. Sans doute à cause de son humour facile et de son côté légèrement écervelé. En tout cas, il est à classer parmi les personnages sympathiques et finit, lui aussi, par se libérer de l'influence de sa belle-mère.



Tout cela grâce à George, finalement, car l'arrivée du compositeur dans le petit village du Hampshire où vivent les Marshmoreton va complètement bouleverser la famille. Romantique dans l'âme, George veut absolument secourir Maud et finit par être confondu avec le fameux Geoffrey. Cette erreur sur la personne est d'ailleurs la bienvenue, puisqu'elle donne lieu à de nombreux quiproquos, tous plus hilarants les uns que les autres. C'est au prix de nombreuses (més)aventures que notre héros va apprendre qu'il n'est pas de tout repos de tomber amoureux. Mais les difficultés rencontrées ne découragent pas vraiment George qui, grâce à sa ténacité, semble beaucoup plus intéressant que Geoffrey, ce goujat qui ne donne même pas de ses nouvelles à Maud!



Les domestiques de Belpher Castle jouent également un rôle assez important dans l'histoire, même s'ils sont plutôt antipathiques. Les manoeuvres de Keggs et d'Albert, tous deux lancés dans une course à la victoire (car ils ont lancés des paris sur l'identité du futur fiancé de Lady Maud), si elles servent le récit, n'en sont pas moins choquantes, tant les deux opposants montrent peu de scrupules à tricher et à tromper l'autre.



Enfin, comme dans Jeeves dans la coulisse, on ne peut que s'émerveiller du talent de P.G. Wodehouse à entremêler les destins de ses différents personnages sans sy' perdre lui-même. Le dénouement du triangle amoureux Geoffrey-Maud-George et le futur des autres personnages, entre les mains de ce magicien de l'humour, sont parfois imprévus, mais particulièrement bienvenus. Car, finalement, tout est bien qui finit bien et chacun est parfaitement heureux quand on referme le livre. Sauf peut-être Lady Caroline!
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Allez-y, Jeeves

De petites histoires amusantes et vite lues dans le plus pur style humour british. La structure de chaque histoire est toujours la même. La plupart du temps, le but est d'aider un ami de Bertie Wooster à ne pas perdre la rente que lui verse un parent et seul Jeeves, le majordome, a la solution. Si ces histoires m'ont fait sourire je dois reconnaître qu'elles deviennent rapidement lassantes.
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Allez-y, Jeeves

C'est Cécile qui m'a donné envie de découvrir Wodehouse et son humour apparemment hilarant !





Eh bien, je n'ai pas été déçue ! Le livre est composée de plusieurs histoires indépendantes les unes des autres qui mettent en scène Bertie et son valet Jeeves. En résumé, Bertie n'est pas très futé, mais Jeeves a toujours réponse à tout, quelque soit la situation dans laquelle se sera fourrée Jeeves !





Sur la quatrième de couverture, il est dit que Wodehouse permet de faire une cure de bonne humeur, eh bien c'est tout à fait cela :-)
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Allez-y, Jeeves

Bertie Wooster n’a qu’à se féliciter d’avoir engagé le meilleur valet de chambre possible, une perle rare nommée Jeeves qui, non content d’être aux petits soins pour son maître et de lui choisir ses tenues, le tire de situations difficiles voire inextricables. Il lui évite des unions catastrophiques et jusqu’à la prison. Il faut dire que Bertie est d’une grande naïveté, qu’il n’a pas son pareil pour attirer sur sa tête moult ennuis et qu’il est entouré d’amis et de connaissances assez particuliers.

Enormément d’humour, de légèreté et de situations cocasses dans ce tome des aventures du maître et du valet impayables. Un vrai régal d’esprit et de férocité bâti sur un principe bien rôdé : une saynète par chapitre autour d’un personnage, généralement un fâcheux qui se met dans une mauvaise affaire (cette fois Wodehouse pousse l’audace jusqu’à faire rosser un flic un soir d’ébriété pour redonner le moral à un ami !), un Bertie qui, en voulant arranger les choses, ne fait qu’aggraver la situation et un Jeeves qui, agissant en coulisses, tire les ficelles et arrange tout. Aux limites de la comédie, de la farce et de la commedia del arte… Du Wodehouse. Unique, amusant, indémodable.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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Allez-y, Jeeves

Un roman tres drôle, parsemé de courtes histoires, pleines d'humour anglais. Mais surtout quel bonheur de découvrir ces deux personnages attachants !



Bertie est un jeune aristocrate anglais, un brin pantouflard, plutôt sociable, très sympathique et amicale mais pas très téméraire et qui a l'art de se mettre dans des situations des plus cocaces

Jeeves est le valet de chambre tout juste embauché de Bertie. Intelligent, rusé, discret et efficace, il va permettre à son maitre de se sortir de bien mauvais pas grâce à d' ingénieux stratagèmes des plus farfelus.
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Allez-y, Jeeves

J'aime toujours l'écriture et l'humour british de WODEHOUSE mais j'ai moins apprécié ce volume. Le comique de répétition a ses limites et j'ai été un peu lassée des situations qui se suivent et se ressemblent.

Ceci dit, cela n'ote rien à la qualité de cet auteur; il faut simplement savoir le savourer à petites doses.
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Allez-y, Jeeves

Amusant. Petites histoires très british
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Allez-y, Jeeves

Je referme ce recueil de nouvelles de Jeeves et Bertie le sourire aux lèvres et avec l'envie de vite les retrouver. J'étais ravie de lire les aventures de notre maladroit Bertie et de notre malicieux Jeeves. Leurs joutes incessantes concernant les habitudes vestimentaires de Bertie restent un pur délice. Chaque nouvelle est riche en rebondissements et en malice. Un régal !

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Au pays du fou rire

La quatrième de couverture annonçait un livre désopilant. C'est comme les alertes orange à la neige et au verglas de Météo France : des fois ils ont raison et des fois non.

Ici, le désopilant ne s'est pas pointé au rendez vous. Attention le livre n'est pas mauvais. Il se lit très bien, vous pouvez aussi sourire de temps à autre, mais vous rouler par terre de rire en vous tenant les côtes.

Une fois ce postulat posé, on suit l'histoire de Reginald Havenshot chargé par une de ses tantes de retrouver la brebis galeuse de la famille qui vient d'annoncer ses fiançailles. Pas très chaud au départ, il s'y rend malgré tout conscient de ses devoirs familiaux. A partir de ce moment, toutes sortes d'évènements plus rocambolesques. Et on peut dire qu'il lui en arrive de belles.

Je pense que le manque d'humour vient peut être de la traduction qui n'a pas su retranscrire toute la subtilité de l'humour so British

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Au pays du fou rire

Prenez les différents entre anglais et américains, prenez un lord bien établi, soucieux de son verbe et de ses manières, envoyez-le par bateau, train et taxi à Los Angeles (Hollywood) pour y récupérer un cousin alcoolique sur le point de se marier à une américaine, faites le tomber lui-même sous le charme d’une starlette ambitieuse, voici brièvement brossée la trame du livre. Peinture au vitriol des artistes, des starlettes et faux-semblants; Valets de chambre, soubrettes, chauffeurs, ... toutes et tous comédiens amateurs prêts à tous les sacrifices pour être auditionnés à l'oeil par les plus gros producteurs d'Hollywood.



Critique à ciel ouvert des enfants stars, et de la compétition entre eux qui se règle à coups de poing dans la rue; Vies de midinettes déballées aux journalistes, misère de leur vie et faux kidnappeurs évangélistes à leurs heures. On perd pied parfois…souvent. En résumé, "Au pays du fou rire" n'a de fou rire que le titre…



P.G. Wodehouse, écrivain anglais né en 1881, est souvent considéré comme le « précurseur » de Tom Sharpe. Pour ma part, c’est la première fois que je parviens à terminer un livre de cet auteur, et encore m’a-t-il fallu beaucoup d’opiniâtreté, alors que je dévore les Sharpe d’une traite en ayant des crampes aux zygomatiques, page après page. Je ressens juste la satisfaction d’être venue à bout de ce livre particulièrement embrouillé, ennuyeux et pas drôle du tout.
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Au pays du fou rire

Le comte d'Havershot, très british doit se rendre à Hollywood pour rapatrier un parent qui souhaite épouser une américaine. So shocking ! Sur le bateau il rencontre une actrice dont il tombe immédiatement amoureux, bêtement amoureux car il ne se rend pas compte (le comte, un comble) qu'il est manipulé par cette jolie actrice qui ne rêve que d'avoir un titre.

Arrivé aux states, il est pris d'une rage de dents. Dans la salle d'attente du cabinet de dentistes il parle avec un enfant, comédien de renom (enfin singe savant plutôt...ça tombe bien il a lui-même une tête de singe). Les deux malades chacun pris en main par un dentiste sont anesthésiés selon la vieille méthode avec un peu de gaz (malheureusement pas hilarant -dommage avec un tel titre si prometteur). Pendant le temps de sommeil, les âmes s'envolent pour s'intervertir entre l'homme et l'enfant.



Voilà l'idée de base. De là, et c'est le pouvoir magique de la lecture, couplé avec les facilités d'échanges sur un tel site, une idée a germé : avec Krout nous nous sommes amusés à tenter l'expérience vécue par le comte d'Havershot, et sous l'influence d'Avatar de Gautier, nous avons permuté ce qui fut un joli moment d'échanges :

"Dur réveil, une chronique autrement" dans le forum, rubrique "Le café littéraire"

http://www.babelio.com/forum/viewtopic.php?t=11657



Merci Krout d'avoir bien voulu jouer le jeu, ce fût un réel plaisir d'être dans ta peau ! :)



J'avoue que Wodehouse le maître de l'humour british est, selon moi, dépassé par son élève, Sharpe -Wilt 1 est un des livres qui m'a fait le plus rire. Reste que l'écriture est agréable, un peu désuète et si fine dans le vocabulaire, aspect très intéressant dans ce roman.
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Au pays du fou rire

Fidèle lectrice de Wodehouse et particulièrement des Jeeves, j'ai commencé ce livre un peu réticente après avoir lu les quelques critiques peu enthousiastes.



Finalement j'ai plutôt apprécié : très décalé comme d'habitude! Peut-être effectivement pas le meilleur Wodehouse mais drôle tout de même avec des personnages abracadabrants et des situations délirantes. C'est un petit livre sympa mais qui ne prend pas au sérieux, à lire comme une farce.



Par contre la traduction du titre en français est vraiment mal choisie !! Le titre en anglais "laughing gas" .... puisque c'est un gaz hilarant qui va être à l'origine de la situation burlesque que vont vivre les personnages. Rien à voir avec un quelconque Pays du fou rire !!

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Au pays du fou rire

Ce n'est pas la meilleure sauce de Wodehouse. Mais quel plaisir de lire ce bienfaiteur de l'humour grinçant british!
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Au pays du fou rire

J’ai trouvé ce livre très perturbant. Je l’ai trouvé sans queue ni tête du début à la fin et surtout des dialogues manquant de finesse. Je n’ai pas franchement aimé.
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Au pays du fou rire

Reggie, en tant que nouveau chef de famille, est envoyé aux Etats-Unis, à Hollywood, pour ramener son cousin, Eggie, à la raison. C’est sans compter le caractère passionnel, prompt à s’enflammer des Havershot. En effet, lui-même tombe sous le charme d’une starlette montante, April June et en oublie très vite ses obligations familiales. L’occasion pour l’auteur de dresser un tableau sans strass et sans paillette du cinéma américain : hypocrisie, jalousie entre célébrités, exploitation commerciale des enfants-stars, bassesses et autres manipulations pour arriver en haut de l’affiche sont au rendez-vous. Reginald l’apprendra rapidement, lors de sa rencontre avec le jeune Joey Cooley, un gamin de 9/ 10 ans sous l’emprise du patron d’une grande compagnie cinématographique et surtout sous celle de sa sœur, Miss Brinkmeyer. C’est un petit monstre auquel le lecteur s’attache très vite car sa tristesse et sa rancœur sont palpables envers ces adultes avides d’argent, prêts à sacrifier son enfance et son insouciance pour quelques billets verts. C’est à travers son regard que l’on va découvrir cette société peu glorieuse. J’ai beaucoup aimé le début, et notamment la rencontre entre Reggie et April June, comique à souhait (le lecteur comprend vite que cette entrevue n’a rien à voir avec le hasard mais a été orchestrée par la jeune femme qui se voit déjà comtesse d’Havershot). Cela m’a beaucoup amusé. L’humour est très british, second degré et parfois même totalement déjanté mais j’ai trouvé qu’il était moins présent, plus atténué dans la deuxième partie, après « l’accident » ayant lieu dans le cabinet du dentiste. On assiste alors à une série de péripéties mettant à mal le comte anglais et cette succession a fini par me lasser. L’ennui commençait à poindre. J’étais contente d’arriver à la fin, laquelle est plutôt attendue mais appréciable tout de même. Une lecture sympa mais sans plus donc qui me donne envie néanmoins de faire connaissance avec Jeeves, le héros récurrent de P.G. Wodehouse.
Lien : http://lecturesdalexielle.ov..
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Au pays du fou rire

On sourit, parfois, c'est vrai. Mais j'ai été déçue quand j'ai vu qu'il s'agissait d'une histoire d'adulte qui se retrouve dans la peau d'un enfant. Je ne recommande pas particulièrement ce bouquin.
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Au pays du fou rire

Réjouissant et jubilatoire ! Ma découverte de l’œuvre de P.G. Wodehouse fut un vrai bonheur.

Laissez-moi d’abord vous décrire Reggie, le narrateur infatigable et intarissable. Il aurait un physique avantageux s’il était un gorille. Disons qu’il est légèrement macrocéphale – la grandeur de son titre compense cette disgrâce. Reggie est décidé à ne négliger aucune méthode pour parvenir à ses fins, surtout après une péripétie qui a dû s’inscrire avec précision dans son thème astral tant elle est détonante. L’histoire prend un tour encore plus saugrenu, s’il était encore possible quand Reggie découvre en parallèle qu’Eggie est épris d’Ann, son ex-fiancée. Est-elle belle ? Sans doute, puisqu’elle est comparée à une « nymphe des bois ». Elle est merveilleuse.

Eggie, lui, n’est pas très futé. Donnez-lui une mappemonde, il ne saurait situer son pays natal – il peine déjà à trouver son chemin dans la vie. Reggie a bien plus de ressources, il pourrait même faire face à des envahisseurs extraterrestres tant son intrusion dans l’univers du cinéma est explosive. Il déclare littéralement la guerre aux empêcheurs de manger du pâté en rond, aux chroniqueurs très curieux, et à des fans très spéciaux, avec l’aide d’animaux boutonneux. Lord Havershot aurait cherché le meilleur moyen de quitter le néant pour la une du journal, il n’aurait pu faire mieux.

Bref, si vous cherchez un roman drôle, bourré de situations abracadabrantes, avec des personnages haut en couleurs, capables de s’adapter à toutes ces péripéties sans se laisser abattre, alors rendez-vous au pays du fou rire !
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Au pays du fou rire

Le quatrième de couverture est trompeur, ce n'est pas un "easy vertue" ( pour ceux qui aurait vu le film". Mais comme chez Wodehouse on rit souvent et le personnage de la starlette de cinéma est particulièrement réussie.Pas le meilleur

Wodehouse ; mmais drôle.
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Au pays du fou rire

Que dire de ce roman de P.G. Wodehouse ? Déjà, le style inimitable de l'écrivain anglais, toujours empreint de cet humour pince-sans-rire britannique dont il était l'un des spécialistes, est bien présent. Et c'est tant mieux.

Ensuite, le fond. Et c'est là que le bât blesse. "Au pays du fou rire" est en fait une satire du cinéma américain des années 20-30 : l'exploitation des enfants-acteurs, les caprices et les jalousies entre actrices, l'apparition de la communication à outrance (événements créés pour faire le buzz médiatique autour d'un acteur)... Tout cela aurait pu être un bon roman de P.G. Wodehouse, mais cela n'a pas fonctionné pour moi. La touche de fantastique fait tâche, et il est dommage que Wodehouse ait choisi cet artifice (que je ne dévoilerai pas) pour raconter son histoire. Il aurait aisément pu utiliser un autre moyen.



Voilà. Il ne reste que le style et la jubilation qu'il provoque... et les autres romans de l'auteur.
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Au pays du fou rire

Le résumé de ce livre ne correspond pas à l'histoire lue. J'ai été en quelque sorte flouée par l'auteur. L'objectif initial du voyage du comte est complètement passé à la trappe au profit d'une histoire rocambolesque d'échange de vie.
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