Lorsque Ramazan s’égaie, la joie remplit Ali aussi. Comme s’ils étaient des jumeaux, ce que ressent Ramazan pénètre Ali.
Mais le contraire n’arrive jamais.
Seul Ali prend la couleur de Ramazan, quelle qu’elle soit. Tous ses sentiments ondoient en fonction de Ramazan.
D’où qu’il souffle Ramazan, c’est là qu’il se disperse.