Avec l'Acte d'union voté en 1800, le parlement de Dublin est fondu dans celui de Londres, l'Irlande perd son semblant d'indépendance et devient partie intégrante du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande. La promesse faite par Pitt que l'Union serait suivie d'une rapide émancipation des catholiques (éligibilité au parlement et accès à toutes les fonctions publiques) reste lettre morte : le roi autant que l'opinion britannique s'y opposent résolument.