Face au crime, la narration ne peut donner l’absolution. Elle ne donne que des images. Et plus le crime commis tombe dans l’excès, plus le narrateur se fend d’images outrancières de châtiments attendus, lesquels châtiments, faute de toute éthique, n’ont toujours pas le dernier mot. Hajas connaît le sentiment de culpabilité, il joue sans répit à prédire le verdict vengeur, mais il ignore le dernier mot.