Pastichant la fière devise des Rohan ("Roi ne puis, Prince ne daigne, Rohan je suis"), Roland Barthes disait que celle de l'artiste pourrait être : "Fou ne puis, sain ne daigne, névrosé je suis"*.
C'est celle de Charlus.
Le chevalier à la név(rose), p. 71
* Le Plaisir du texte, Seuil, 1973, p. 13