Philippe Blondeau, dans la préface : « Dhôtel lecteur, de la même façon que Dhôtel écrivain, nous apparaît comme l’homme d’une liberté discrète, l’arpenteur des chemins de traverse. Tel est bien, en effet, le point commun à toutes les lectures que l’on découvrira ici : il s’agit toujours pour le critique de mettre en évidence une différence, une singularité, cette manière propre à un écrivain de montrer ce qui est là tout simplement mais qu’on n’avait pas sur voir avec lui » (p.13)