c'est Robert de Boron, très vraisemblablement, qui, au début du 13 e siècle, a opéré cette mutation : " Il a interprété le Graal laissé par Chrétien de Troyes dans un sens ostensiblement explicitement chrétien comme relique. Chrétiens de Troyes aurait été très surpris, le premier, du succès de son plat. C'est "un" Graal chez Chrétien de Troyes. Ce n'est pas "le" Graal". Robert de Boron un des continuateurs de Chrétien de Troyes raconte que le Graal est la coupe dans laquelle Jésus a bu lors de son dernier repas (la Cène) et qui a ensuite recueillit son sang lors de sa crucifixion.