« J’insisterais sur deux aspects dominants : le premier serait la déconsidération progressive de l’Etat, dont le martyre du Roi ne fut que l’ultime avatar. Et le second, peut-être le plus important, fut la responsabilité très lourde de ce même Etat dans la perte de prospérité économique, puis dans son incapacité de la rétablir, et pire encore, dans les conséquences funestes de ses actions censées, à l’origine, redresser les déséquilibres. » [p. 65]