J'avais à peu près le même âge que Pauline quand ma tante Dominique m'a présenté Claude François comme ce que la terre pouvait porter de plus proche du divin, de l'indiscutable. (Chacun ses maîtres.) Quarante ans plus tard, et bien que j'espère avoir vaguement évolué depuis, quand j'entends, par hasard, "Belinda" ou "Je viens dîner ce soir", j'ai le coeur qui bat plus vite et les larmes aux yeux.