Médusé, incapable de détourner les yeux de ce qui se passait à quelques mètres de moi, je me disais que le cinéma c'était magique parce qu'on pouvait mourir pendu comme pépé et être toujours vivant. Je me disais qu'en filmant les gens, on pouvait les faire vivre pour toujours et qu'il n'était plus nécessaire de les enterrer au cimetière. Pépé se balançait au bout de sa corde, mort et vivant à la fois. C'était vraiment étrange.