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2.9/5 (sur 52 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Montargis, Loiret , le 23/12/1960
Biographie :

Philippe-André Duquesne, dit Philippe Randa est un écrivain, chroniqueur politique et éditeur français, fils du romancier Peter Randa.

Il devient à son tour romancier, après le décès de son père.

Il est l'auteur à ce jour de plus d’une centaine de livres, dont de nombreux romans de science-fiction et policiers aux éditions du Fleuve Noir, d'espionnage — sous le nom de Paul Vence — et érotiques — sous le nom d’Urbain Sarrel — aux Presses de la Cité.

Il a participé à plusieurs encyclopédies des Éditions Atlas (Encyclopédie des armes, Encyclopédie des troupes d'élites, Encyclopédie de l’Insolite).

Il devient également dans les années 1990 un collaborateur indépendant, mais régulier, de la presse politique et l’on retrouve sa signature dans les hebdomadaires Minute, puis National Hebdo.

Il fonde le journal satirique Pas d’panique à bord en 1992, ainsi que la lettre bimensuelle d’informations Secrets et sociétés, puis en 1998 la revue bimestrielle de politique, d’histoire et de littérature Dualpha.

Il a créé en 1997 les éditions Dualpha et les éditions Déterna, tout d’abord spécialisées dans les rééditions, mais où, très vite, paraissent de nombreux livres inédits.

Depuis 2006, il collabore au site et à la revue Synthèse nationale (synthesenationale.hautetfort.com), depuis 2013 au site internet créé par Robert Ménard Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) et depuis 2014, publie des billets « Le coup d'œil de Philippe Randa » dans le quotidien Présent (present.fr).
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Source : Wikipédia
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Bibliographie de Philippe Randa   (107)Voir plus

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Une vérité se fonde sur la coïncidence de plusieurs témoignages ; un mensonge, lui, n'est jamais dit que par une seule personne. Même si deux suspects se sont mis d'accord sur une version celle-ci peut être facilement démontée lors d'un troisième interrogatoire.
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Vous savez, on tue souvent parce qu'on n'a pas les moyens de faire autrement. Ce sont les circonstances qui font les criminels, personne ne naît avec l'envie de tuer.
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- j'ai une mission spéciale à vous proposer...commença le chef du service action.
skal nota aussitôt le pléonasme: les missions qu'il recevait de son chef étaient toujours spéciale. quand on proposer, il était plus inattendu qu' un
abaissement spectaculaire des impôts.
d, habitude le patron ne proposait pas,
il ordonnait.
- ce qui signifie, continua Artaud, que vous pouvez la refuser.
- je n'ai jamais rien refusé, que je sache.
- bien sur, mais ce que je vais vous demander est a la limite de vos attributions.
- continuez , monsieur, coupa skal.
- voila... il y a une semaine a san Antonio
Texas, le général Andrew Briggs a été retrouvé pendu. version officielle: suicide.
- ce n, en était pas un?
- je connais Briggs de longue date...
depuis quarante ans...il était pas homme
a connaître un tel acte. en outre la c i a et
le f b i font le black out total.je voudrais en savoir plus .derrière ce crime il peut y avoir une grosse affaire.
- pourquoi, monsieur?
- pourquoi,quoi?
- pourquoi vous passionnez vous autant pour la mort du général Briggs?
- parce que j'ai une dette envers lui que j'ai jamais payée. il m'a sauvé la vie, jadis.
je n'ai pu sauver la sienne, mais s, il est en mon pouvoir de clarifier sa mort... voire de le venger.
- je comprend....
- seulement, vous irez aux states, en touriste.
- c'est évident. vous serez seul, comme vous ne l'avez jamais été.vous ne pourrez
compter sur aucun aide du s a .vous acceptez toujours?
- bien sur, mais si je trouve le responsable de la mort du général.... et ça peut être n, importe qui... qu' est que j'en fais?
- a vous de juger, en fonction de ce que
vous découvrirez. vous devinez de ce que vous pouvez faire de son meurtrier.

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Le "monstre" était capable d'émotions, de sentiments, mais il avait un double visage. Le garçon charmant qui pleurait à la seule évocation de sa mère était également un dangereux mythomane dont on finissait par se demander s'il n'avait pas tué uniquement par orgueil, pour s'identifier aux plus grands criminels.
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page 45 première phrase
La ferme des Ferrand ! Elle est construite en U. Les bâtiments d'habitation sont au fond d'une vaste cour et de chaque côté, d'une part des écuries, d'autre part deux granges accolées l'une à l'autre. le tout bien entretenu.
Notre arrivée sème la panique au milieu d'une cohorte de volailles et nous entendons des chevaux hennir dans l'étable.
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Il ne sait pas qui je suis et je n'ai pas l'intention de le lui dire. Est-ce qu'il m'aiderait de la même manière ? Les Terriens ont une certaine appréhension des extraterrestres. Je m'en suis rendu compte dans leurs romans. Nos différences morphologiques les choqueraient.
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Le changement d'attitude est tel que le juge Berry est de nouveau désarçonné. D'évidence, Weidmann ne simule pas son chagrin. Lui qui a tué avec un terrible sang-froid une demi-douzaine de personnes s'effondre à la pensée du chagrin qu'il fait à sa mère.
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_ foutu métier,pensa skal.. même pas le temps de faire du tourisme.
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- Tu es un de nos dieux ?
Difficile de retenir un sourire, mais il le faut car elle parle avec un grand sérieux et je ne voudrais pas la vexer en plaisantant.
- Non, je ne suis pas un dieu, mais je viens de l'espace.
- De l'espace ?
- Des étoiles, si tu préfères.
- On ne peut pas venir des étoiles.
- Si, puisque je suis là ; je t'expliquerai tout cela plus tard. En attendant, fais-moi confiance.
Elle glisse son bras sous le mien et se serre.
- J'ai confiance.
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"Il faudrait fermer le monde décidément pendant deux ou trois générations au moins s'il n'y avait plus de mensonges à raconter. On n'aurait plus rien à se dire ou presque."
Louis-Ferdinand Céline
Introduction de La démone de Karastan
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