Critiques de Pierre Barbet (43)
L'Age d'or de la SF n'est pas seulement américain , et Oui !
Et c'est même le monde à l'envers : un auteur français de science-fiction traduis en anglais .
D'abord c'est assez bien écrit et cela fait un excellent récit jeunesse et plus même .
Pierre Barbet est un conteur Il utilise un style classique et élégant .
Le vocabulaire n'a pas trop vieilli , les concepts non plus et les thématiques sont grandioses .
Il est question ici d'un cycle de 5 romans : d'immenses Arcologies spatiales , d'apocalypse , d'exodes , d'exploration spatiale , d'affrontements militaires , de clones ( et oui ce ne date pas d'aujourd'hui ! ) , la colonisation spatiale et des cyborgs ...
C'est clairement une des perles des éditions fleuve noir .
L'auteur est aussi pragmatique que réaliste et optimiste .
Franchement c'est un must on est quelque part entre P H Hamilton et le cycle de Perry Rhodan .
Il y a un côté hard science très net , un peu comme les premiers Ben Bova ou même les premiers k s robinson .
C'est un bonheur pour les fans de space opera ( adultes et plus jeunes ) et c'est largement à la hauteur de ce qui se fait aujourd'hui .
Un petit cocorico pour le space opera de langue française en passant ...
Un éditeur belge , Claude Lefrancq , a publié des intégrales remarquables d'auteurs très prestigieux dont pas mal de francophones , des auteurs qui sombrent dans l'oubli ou dont il est impossible de lire les oeuvres complètes par chez nous .
Franchement les cités de l'espaces c'est le pied !
C'est idéal pour inoculer le virus de la SF à un ado ... ( hum !! ).
Le seul point relativement négatif réside dans le style :
L'auteur a un peu de mal ( pas trop quand même ) à trouver un équilibre entre donne scientifique et les aspects littéraires .
C'est l'époque où l'on ne rêvait pas d'une simple station spatiale famélique en orbite , sourire ...
PS : A rééditer svp et que cela saute , merci ….
Et c'est même le monde à l'envers : un auteur français de science-fiction traduis en anglais .
D'abord c'est assez bien écrit et cela fait un excellent récit jeunesse et plus même .
Pierre Barbet est un conteur Il utilise un style classique et élégant .
Le vocabulaire n'a pas trop vieilli , les concepts non plus et les thématiques sont grandioses .
Il est question ici d'un cycle de 5 romans : d'immenses Arcologies spatiales , d'apocalypse , d'exodes , d'exploration spatiale , d'affrontements militaires , de clones ( et oui ce ne date pas d'aujourd'hui ! ) , la colonisation spatiale et des cyborgs ...
C'est clairement une des perles des éditions fleuve noir .
L'auteur est aussi pragmatique que réaliste et optimiste .
Franchement c'est un must on est quelque part entre P H Hamilton et le cycle de Perry Rhodan .
Il y a un côté hard science très net , un peu comme les premiers Ben Bova ou même les premiers k s robinson .
C'est un bonheur pour les fans de space opera ( adultes et plus jeunes ) et c'est largement à la hauteur de ce qui se fait aujourd'hui .
Un petit cocorico pour le space opera de langue française en passant ...
Un éditeur belge , Claude Lefrancq , a publié des intégrales remarquables d'auteurs très prestigieux dont pas mal de francophones , des auteurs qui sombrent dans l'oubli ou dont il est impossible de lire les oeuvres complètes par chez nous .
Franchement les cités de l'espaces c'est le pied !
C'est idéal pour inoculer le virus de la SF à un ado ... ( hum !! ).
Le seul point relativement négatif réside dans le style :
L'auteur a un peu de mal ( pas trop quand même ) à trouver un équilibre entre donne scientifique et les aspects littéraires .
C'est l'époque où l'on ne rêvait pas d'une simple station spatiale famélique en orbite , sourire ...
PS : A rééditer svp et que cela saute , merci ….
L'âge d'or de la SF n'est pas seulement américain ...
Oui!
Et c'est même le monde à l'envers : un auteur français de science-fiction traduis en anglais .
D'abord c'est assez bien écrit et cela fait un excellent récit jeunesse et plus même .
Pierre Barbet est un conteur .
Le vocabulaire n'a pas trop vieilli , les concepts non plus et les thématiques sont grandioses .
Il est question dans ce recueil de 5 romans ( un cycle en fait ) : d'immenses Arcologies spatiales , d'apocalypse , d'exodes , d'exploration spatiale , d'affrontements militaires , de clones ( et oui ce ne date pas d'aujourd'hui !! ) , colonisation spatiale de cyborgs ...
C'est clairement une des perles des éditions fleuve noir .
L'auteur est aussi pragmatique que réaliste et optimiste .
Franchement c'est un must on est quelque part entre P H Hamilton et le cycle de Perry Phodan .
Il y a un côté hard science très net , un peu comme les premiers Ben Bova ou même les premiers k s robinson .
C'est un bonheur pour les fans de space opera ( adultes et plus jeunes ) et c'est largement à la hauteur de ce qui se fait aujourd'hui .
Un petit cocorico pour le space opera de langue française en passant ...
Cet éditeur belge ( Claude Lefrancq ) a publié des intégrales remarquables d'auteurs très prestigieux dont pas mal de francophones , qui sombrent dans l'oubli ou dont il est impossible de lire les œuvres complètes par chez nous .
Franchement les cités de l'espaces c'est le pied !
C'est idéal pour inoculer le virus de la SF à un ado ... ( hum !! ).
Le seul point négatif réside dans le style :
L'auteur a un peu de mal à trouver un équilibre entre donne scientifique et les aspects littéraires .
C’est l’époque où l’on ne rêvait pas d’une simple station spatiale famélique en orbite ...
Oui!
Et c'est même le monde à l'envers : un auteur français de science-fiction traduis en anglais .
D'abord c'est assez bien écrit et cela fait un excellent récit jeunesse et plus même .
Pierre Barbet est un conteur .
Le vocabulaire n'a pas trop vieilli , les concepts non plus et les thématiques sont grandioses .
Il est question dans ce recueil de 5 romans ( un cycle en fait ) : d'immenses Arcologies spatiales , d'apocalypse , d'exodes , d'exploration spatiale , d'affrontements militaires , de clones ( et oui ce ne date pas d'aujourd'hui !! ) , colonisation spatiale de cyborgs ...
C'est clairement une des perles des éditions fleuve noir .
L'auteur est aussi pragmatique que réaliste et optimiste .
Franchement c'est un must on est quelque part entre P H Hamilton et le cycle de Perry Phodan .
Il y a un côté hard science très net , un peu comme les premiers Ben Bova ou même les premiers k s robinson .
C'est un bonheur pour les fans de space opera ( adultes et plus jeunes ) et c'est largement à la hauteur de ce qui se fait aujourd'hui .
Un petit cocorico pour le space opera de langue française en passant ...
Cet éditeur belge ( Claude Lefrancq ) a publié des intégrales remarquables d'auteurs très prestigieux dont pas mal de francophones , qui sombrent dans l'oubli ou dont il est impossible de lire les œuvres complètes par chez nous .
Franchement les cités de l'espaces c'est le pied !
C'est idéal pour inoculer le virus de la SF à un ado ... ( hum !! ).
Le seul point négatif réside dans le style :
L'auteur a un peu de mal à trouver un équilibre entre donne scientifique et les aspects littéraires .
C’est l’époque où l’on ne rêvait pas d’une simple station spatiale famélique en orbite ...
Ce récit, après-tout, n'est peut-être qu'un rêve, qu'un songe transmis à travers l'abime du temps.
Quelle importance ?
C'est une étrange perle enchâssée sur un cube de cristal, découverte chez un antiquaire du quai Conti, qui, avant de se réduire en une poussière que volatilisa les premiers rayons du soleil, l'a raconté d'une voix nasillarde et menue ...
En l'an 65402 de la 24ème révolution galactique, sur Arcturus et les quatre planètes qui gravitent autour d'elle, une enviable civilisation ne connaît plus aucun souci d'ordre matériel.
Les voyages dans le temps sont devenus monnaie courante.
Pourtant il est impossible de franchir une certaine date dans le futur ...
Pourtant la guerre fait rage, dans de lointaines galaxies, contre les tracks, une race subtile et fantomatique ...
Le commandant Sprigel est mandaté pour commander une nouvelle escadre d'exploration.
Il se porte d'abord au secours de la flottille, commandée par son ami Morgan, qui a été attaquée par des êtres silicieux lors de son naufrage sur une naine blanche ...
"Vers un avenir perdu" semble être le premier livre de Pierre Barbet.
Le second serait "Babel 3.8053".
Tous deux sont parus, en 1962, dans la collection du "Rayon Fantastique" de la "NRF".
"Vers un avenir perdu" est une sorte de série "B" au charme suranné.
Pierre Barbet y déploie des trésors d'imagination, fait assaut de descriptions précises pour nous projeter dans un futur lointain qui frise pourtant parfois un peu le ridicule.
Pourtant c'est là de la bonne science-fiction.
Le récit est captivant.
On se laisse porter au fil des chapitres, à travers le temps et l'espace.
Maïa, Davara, Morgan et Sprigel, parvenus à un tournant de la vie de notre Univers, se lancent dans de passionnantes explorations temporelles.
Le fil de l'intrigue se dénoue de manière inattendue et originale.
Un demi-siècle plus tard, le plaisir de lecture est resté le même.
Et ce livre se dévore avec autant d'appétit ...
Quelle importance ?
C'est une étrange perle enchâssée sur un cube de cristal, découverte chez un antiquaire du quai Conti, qui, avant de se réduire en une poussière que volatilisa les premiers rayons du soleil, l'a raconté d'une voix nasillarde et menue ...
En l'an 65402 de la 24ème révolution galactique, sur Arcturus et les quatre planètes qui gravitent autour d'elle, une enviable civilisation ne connaît plus aucun souci d'ordre matériel.
Les voyages dans le temps sont devenus monnaie courante.
Pourtant il est impossible de franchir une certaine date dans le futur ...
Pourtant la guerre fait rage, dans de lointaines galaxies, contre les tracks, une race subtile et fantomatique ...
Le commandant Sprigel est mandaté pour commander une nouvelle escadre d'exploration.
Il se porte d'abord au secours de la flottille, commandée par son ami Morgan, qui a été attaquée par des êtres silicieux lors de son naufrage sur une naine blanche ...
"Vers un avenir perdu" semble être le premier livre de Pierre Barbet.
Le second serait "Babel 3.8053".
Tous deux sont parus, en 1962, dans la collection du "Rayon Fantastique" de la "NRF".
"Vers un avenir perdu" est une sorte de série "B" au charme suranné.
Pierre Barbet y déploie des trésors d'imagination, fait assaut de descriptions précises pour nous projeter dans un futur lointain qui frise pourtant parfois un peu le ridicule.
Pourtant c'est là de la bonne science-fiction.
Le récit est captivant.
On se laisse porter au fil des chapitres, à travers le temps et l'espace.
Maïa, Davara, Morgan et Sprigel, parvenus à un tournant de la vie de notre Univers, se lancent dans de passionnantes explorations temporelles.
Le fil de l'intrigue se dénoue de manière inattendue et originale.
Un demi-siècle plus tard, le plaisir de lecture est resté le même.
Et ce livre se dévore avec autant d'appétit ...
Cette année-là, l'angoisse atomique planait sur une terre qui venait de franchir les dix milliards d'habitants.
Le monde inaugurait les jeux olympiques de l'espace.
Le "synthésisme", qui était plus une école philosophique qu'un parti politique, s'opposait au "vitalisme" qui, lui, misait sur les jeux pour accroître les rivalités entre les peuples.
Paul Michaux, journaliste au "Galactique", projetait son regard sur l'humanité.
Il avait interviewé Jean Manen, l'empereur de la "bouffe", Dan Coogan, le responsable des jeux olympiques, Henri Eward, le magnat américain de l'astronautique et de la vidéo et Konrad Siemens, le fameux généticien ...
Olivier Spriegel, dont le vrai nom est Pierre Barbet, est l'auteur de ce petit roman de science-fiction.
Il nous y décrit un monde presque contemporain qui aurait versé dans une inquiétante mais logique anticipation.
On ne s'étonne ni du truand qui détient les trois quarts de Las-Vegas, de Pigalle et des boîtes de Hambourg, ni de la pénurie d'eau dans le monde, ni des centres de sexologie.
Mais la civilisation décrite par Olivier Sprigel est bien issue du futur.
L'audacieux journaliste, pris en otage dans un satellite menacé d'une bombe orbitale par un comité anarchiste international, va l'apprendre à ses dépens ...
S'accrocher au fil du récit, tissé par une écriture assez efficace, est tentant.
Mais la mise en place, un peu longue et répétitive, peine à soulever l'intérêt.
La lecture en est altérée et jusqu'à la dernière page, on entre avec difficulté dans cette histoire pourtant prometteuse.
Si cet honnête ouvrage de SF avait tenu son pari, il aurait été un excellent récit du genre ...
Le monde inaugurait les jeux olympiques de l'espace.
Le "synthésisme", qui était plus une école philosophique qu'un parti politique, s'opposait au "vitalisme" qui, lui, misait sur les jeux pour accroître les rivalités entre les peuples.
Paul Michaux, journaliste au "Galactique", projetait son regard sur l'humanité.
Il avait interviewé Jean Manen, l'empereur de la "bouffe", Dan Coogan, le responsable des jeux olympiques, Henri Eward, le magnat américain de l'astronautique et de la vidéo et Konrad Siemens, le fameux généticien ...
Olivier Spriegel, dont le vrai nom est Pierre Barbet, est l'auteur de ce petit roman de science-fiction.
Il nous y décrit un monde presque contemporain qui aurait versé dans une inquiétante mais logique anticipation.
On ne s'étonne ni du truand qui détient les trois quarts de Las-Vegas, de Pigalle et des boîtes de Hambourg, ni de la pénurie d'eau dans le monde, ni des centres de sexologie.
Mais la civilisation décrite par Olivier Sprigel est bien issue du futur.
L'audacieux journaliste, pris en otage dans un satellite menacé d'une bombe orbitale par un comité anarchiste international, va l'apprendre à ses dépens ...
S'accrocher au fil du récit, tissé par une écriture assez efficace, est tentant.
Mais la mise en place, un peu longue et répétitive, peine à soulever l'intérêt.
La lecture en est altérée et jusqu'à la dernière page, on entre avec difficulté dans cette histoire pourtant prometteuse.
Si cet honnête ouvrage de SF avait tenu son pari, il aurait été un excellent récit du genre ...
Je ne suis pas spécialiste des genres et sous-genres, je crois pouvoir classer "Le maréchal rebelle" dans la catégorie SF militaire.
Je n'ai guère exploré ce type de SF, Pierre Barbet ne risque pas de me faire tourner casaque avec sa guéguerre galactique indigne d'une série B.
Les gentils Veliens sont agressés par des extraterrestres issus de l'amas de Persée waouh!
On a droit aux prospectives et déploiements stratégiques du fameux Maréchal, c'est atterrant, peu machiavélique et très bourrin.
Détail amusant, le mode de navigation abracadabrantesque de la flotte spatiale, je me demande encore quelles notions recouvrent les termes nord et sud dans un environnement intersidéral.
L'intrigue tiendrait sans peine sur l'étiquette d'un paquet de chewing-gums et serait sans aucun doute rejetée par les créateurs "d'Albator le corsaire de l'espace" et de ma jeunesse.
Je passe sur l'approche caricaturale des personnages, des femmes plus particulièrement.
Voilà pour le fond, quant à la forme, je la qualifierai de besogneuse, pataude et vieillotte pour un ouvrage paru en 1980.
Sans lui faire injure, l'auteur use d'un vocabulaire désuet à la limite du ridicule et de la misogynie lorsqu'il évoque à plusieurs reprises les "Pépées".
Nanar et même pas drôle!
Je pense continuer à butiner chez FNA mais j'éviterai Pierre Barbet à l'avenir.
Très bonne histoire apocalyptique.
On suit plusieurs personnages qui tentent de survivre après que des bombes nucléaires soient tombées sur la France. Bon, faut être franc, ils sont pas très développés niveau émotionnel, et cela manque un peu, surtout dans ce genre de lecture. mais malgré cela les suivre reste très intéressant.
Certes on est pas dans de la grande littérature, mais bien dans un petit roman de gare, vite lu et donc peu approfondi, mais prenant tout de même.
L'histoire n'est, je l'avoue, pas très originale, mais quand on aime le genre on est largement comblé. Il y a tout ce que l'on attend, les survivants qui fuient, se terrent et finissent par se regrouper, les bandes errantes qui pillent, tuent et violent et même ceux qui s'érigent en dictateur, asservissant les plus faibles. Il y a de l'émotion, à petite dose et un tout petit peu de gore , mais ça aussi il y en a. Oui, il y a vraiment tout ce que l'on attend de ce genre de lecture, même une fin qui surprend.
L'écriture, soyons honnêtes, reste basique, mais de qualité. Certains personnages ont un accent paysan d'autrefois, que l'on ne comprends pas trop pourquoi l'auteur leur a donnés, mais ça passe si bien qu'on lui pardonne.
Bref, si vous aimez le post-apocalypse, les histoires bien écrites et n'êtes pas trop exigent au point de vous laisser prendre par des romans de gare, ce livre et fait pour vous, en tout cas moi, j'ai bien apprécié ma lecture.
On suit plusieurs personnages qui tentent de survivre après que des bombes nucléaires soient tombées sur la France. Bon, faut être franc, ils sont pas très développés niveau émotionnel, et cela manque un peu, surtout dans ce genre de lecture. mais malgré cela les suivre reste très intéressant.
Certes on est pas dans de la grande littérature, mais bien dans un petit roman de gare, vite lu et donc peu approfondi, mais prenant tout de même.
L'histoire n'est, je l'avoue, pas très originale, mais quand on aime le genre on est largement comblé. Il y a tout ce que l'on attend, les survivants qui fuient, se terrent et finissent par se regrouper, les bandes errantes qui pillent, tuent et violent et même ceux qui s'érigent en dictateur, asservissant les plus faibles. Il y a de l'émotion, à petite dose et un tout petit peu de gore , mais ça aussi il y en a. Oui, il y a vraiment tout ce que l'on attend de ce genre de lecture, même une fin qui surprend.
L'écriture, soyons honnêtes, reste basique, mais de qualité. Certains personnages ont un accent paysan d'autrefois, que l'on ne comprends pas trop pourquoi l'auteur leur a donnés, mais ça passe si bien qu'on lui pardonne.
Bref, si vous aimez le post-apocalypse, les histoires bien écrites et n'êtes pas trop exigent au point de vous laisser prendre par des romans de gare, ce livre et fait pour vous, en tout cas moi, j'ai bien apprécié ma lecture.
Enfin, je suis arrivé péniblement à la fin de ce livre.
L'écriture, malgré quelques mots rares, et d'une pauvreté assommante.
Les personnages sont caricaturaux : l'anglais boit du thé, l'allemand de la bière et les français mangent du saucisson et boivent des boissons anisés. Les extraterrestre gentils, car oui il y en a aussi des méchants mais ceux ne sont pas les mêmes, les gentils donc volent et se battent avec des arcs et des lances. Les méchants volent aussi, mais, seul point positif, eux se servent de poisons comme armement. par contre ne m'en demandez pas plus sur ces derniers, car on ne les voit que rarement de près.
Le déroulement de l'histoire est complétement absurde. Je vous renvoie à ma citation, qui franchement penserait à faire gréve alors qu'il subit une attaque venu d'on ne sait d'où. Et encore pire qui enverrait des colons scientifiques sur une planète inconnue avec tout un armement mais sans militaires. Bon heureusement ils on toujours l'atomiste, un russe va-t-en-guerre pour prendre les choses en mains, car c'est bien connu tous les russes sont spécialistes de la guerre.
Puis il y a cette idée assez malsaine qui est véhiculée (attention spoil) :
Au moment où l'on découvre les gentils autochtones, ils vivent reclus sous terre pour fuir les méchants qu'on sait pas d'où ils viennent et qui les ont chassés de la surface. Bé nous, les gentils colons, on leur propose de nous aider à détruire les méchants en échange de quoi nous on prend possession des continents au dessus, tandis qu'à eux on leur laisse les grottes. Puis plus loin on nous explique qu'ils partent tous au combat en parfaite fraternité. La bonne blague qui fait rire jaune !
Plus loin encore voilà ce que dit le chef de l'expédition terrienne :
"Mes amis, nous sommes sur cette planète pour conquérir un nouvel empire à la Terre. Comme les pionniers de jadis qui ont lutté pour atteindre l'un après l'autre les continents, puis tous les autres du système solaire, notre combat a pour but de donner aux humains de riches contrées où l'excédent de population pourra trouver un espace vital convenable. Loin de moi l'idée de vouloir frustrer les autochtones. Les terriens sont pacifiques ; notre alliance avec les Liurs le prouve ; un juste partage répartira entre les deux peuples les richesses de Wolf, chacun y trouvant son avantage..."
On arrive, bon, certes, on les débarrasse d'un parasite tueur, mais en échange on leur pique la moitié de leurs richesses dont les terres en surface, soit les meilleurs, et on trouve que chacun y trouve son avantage. Où est la morale la dedans, pour certains les pages sombres de la colonisation américaine ne doivent rien signifier.
Bref, pour tout cela et plein d'autres petits détails, je déconseille la lecture de ce livre.
L'écriture, malgré quelques mots rares, et d'une pauvreté assommante.
Les personnages sont caricaturaux : l'anglais boit du thé, l'allemand de la bière et les français mangent du saucisson et boivent des boissons anisés. Les extraterrestre gentils, car oui il y en a aussi des méchants mais ceux ne sont pas les mêmes, les gentils donc volent et se battent avec des arcs et des lances. Les méchants volent aussi, mais, seul point positif, eux se servent de poisons comme armement. par contre ne m'en demandez pas plus sur ces derniers, car on ne les voit que rarement de près.
Le déroulement de l'histoire est complétement absurde. Je vous renvoie à ma citation, qui franchement penserait à faire gréve alors qu'il subit une attaque venu d'on ne sait d'où. Et encore pire qui enverrait des colons scientifiques sur une planète inconnue avec tout un armement mais sans militaires. Bon heureusement ils on toujours l'atomiste, un russe va-t-en-guerre pour prendre les choses en mains, car c'est bien connu tous les russes sont spécialistes de la guerre.
Puis il y a cette idée assez malsaine qui est véhiculée (attention spoil) :
Au moment où l'on découvre les gentils autochtones, ils vivent reclus sous terre pour fuir les méchants qu'on sait pas d'où ils viennent et qui les ont chassés de la surface. Bé nous, les gentils colons, on leur propose de nous aider à détruire les méchants en échange de quoi nous on prend possession des continents au dessus, tandis qu'à eux on leur laisse les grottes. Puis plus loin on nous explique qu'ils partent tous au combat en parfaite fraternité. La bonne blague qui fait rire jaune !
Plus loin encore voilà ce que dit le chef de l'expédition terrienne :
"Mes amis, nous sommes sur cette planète pour conquérir un nouvel empire à la Terre. Comme les pionniers de jadis qui ont lutté pour atteindre l'un après l'autre les continents, puis tous les autres du système solaire, notre combat a pour but de donner aux humains de riches contrées où l'excédent de population pourra trouver un espace vital convenable. Loin de moi l'idée de vouloir frustrer les autochtones. Les terriens sont pacifiques ; notre alliance avec les Liurs le prouve ; un juste partage répartira entre les deux peuples les richesses de Wolf, chacun y trouvant son avantage..."
On arrive, bon, certes, on les débarrasse d'un parasite tueur, mais en échange on leur pique la moitié de leurs richesses dont les terres en surface, soit les meilleurs, et on trouve que chacun y trouve son avantage. Où est la morale la dedans, pour certains les pages sombres de la colonisation américaine ne doivent rien signifier.
Bref, pour tout cela et plein d'autres petits détails, je déconseille la lecture de ce livre.
Les terriens, société évoluée et technologique explore une planète ou l'on est encore au niveau du moyen-âge. Un guerre y éclate, faut-il ou non s'ingérer ?
On retrouve le thème du livre d'Arcadi et Boris Strougatski "Il est difficile d'être Dieu" ( http://www.babelio.com/livres/Strougatski-Il-est-difficile-detre-un-dieu/86999 ).
Ici les idées fourmillent, les surprises s'enchainent, malheureusement le style d'écriture et la psychologie des personnages sont d'un niveau je que qualifierait de "scolaire". Les répliques et les réactions des personnages s'accordent mal avec l'idée de "société évoluée". L'auteur cherche parfois à faire "Moyen-âge" avec un vocabulaire recherché pour retomber dans le trivial quelques lignes plus loin, c'est assez maladroit dans l'ensemble.
Heureusement, c'est très vite lu et divertissant, comme une BD. Si vous cherchez quelque chose de plus approfondi, qui fasse réfléchir, tournez-vous plutôt vers le livre des frères Strougatski.
On retrouve le thème du livre d'Arcadi et Boris Strougatski "Il est difficile d'être Dieu" ( http://www.babelio.com/livres/Strougatski-Il-est-difficile-detre-un-dieu/86999 ).
Ici les idées fourmillent, les surprises s'enchainent, malheureusement le style d'écriture et la psychologie des personnages sont d'un niveau je que qualifierait de "scolaire". Les répliques et les réactions des personnages s'accordent mal avec l'idée de "société évoluée". L'auteur cherche parfois à faire "Moyen-âge" avec un vocabulaire recherché pour retomber dans le trivial quelques lignes plus loin, c'est assez maladroit dans l'ensemble.
Heureusement, c'est très vite lu et divertissant, comme une BD. Si vous cherchez quelque chose de plus approfondi, qui fasse réfléchir, tournez-vous plutôt vers le livre des frères Strougatski.
Ce livre je l'ai lu une première fois il y a bien...30 ans, durant ma jeunesse où j'ingurgitais les bouquins fantastique et de SF à la pelle!
J'en avais gardé une excellent impression générale mais impossible d'en faire un résumé tant les détails s'étaient évaporés avec le temps. Du coup, pas d'autre choix que de le relire!
Ce petit bouquin (il ne fait que 153 pages) est une uchronie science-fictionnelle nous narrant les aventures de Templiers partis en croisade pour délivrer les Lieux Saints par delà les mers, écraser les infidèles et bien évidemment propager la bonne parole de notre Seigneur. Le tout avec l'aide de quelques grenades atomiques, bien utiles en cas de coups durs, gracieusement offertes par un extra-terrestre (Baphomet) ayant dû atterrir en catastrophe par suite d'une méchante tempête sidérale.
J'ai à nouveau pris énormément de plaisir à lire ce roman car l'auteur nous livre ici une petite leçon d'histoire saupoudrée de SF. Le Moyen-Âge, période premières croisades, y est fort bien décrit et les personnages historiques y sont plus que crédibles. Les descriptions des armements, des stratégies de combats, des conditions de vies durant cette époque très dure sont précises et correctes. J'y ai senti la sueur, la chaleur et le sable durant ma lecture!
Le film de Ridley Scott "Kingdom of Heaven" en est le pendant cinématographique, le Baphomet en moins bien sûr!
Franchement, un excellent bouquin qui se lit rapidement entre deux grosses briques.
8/10
J'en avais gardé une excellent impression générale mais impossible d'en faire un résumé tant les détails s'étaient évaporés avec le temps. Du coup, pas d'autre choix que de le relire!
Ce petit bouquin (il ne fait que 153 pages) est une uchronie science-fictionnelle nous narrant les aventures de Templiers partis en croisade pour délivrer les Lieux Saints par delà les mers, écraser les infidèles et bien évidemment propager la bonne parole de notre Seigneur. Le tout avec l'aide de quelques grenades atomiques, bien utiles en cas de coups durs, gracieusement offertes par un extra-terrestre (Baphomet) ayant dû atterrir en catastrophe par suite d'une méchante tempête sidérale.
J'ai à nouveau pris énormément de plaisir à lire ce roman car l'auteur nous livre ici une petite leçon d'histoire saupoudrée de SF. Le Moyen-Âge, période premières croisades, y est fort bien décrit et les personnages historiques y sont plus que crédibles. Les descriptions des armements, des stratégies de combats, des conditions de vies durant cette époque très dure sont précises et correctes. J'y ai senti la sueur, la chaleur et le sable durant ma lecture!
Le film de Ridley Scott "Kingdom of Heaven" en est le pendant cinématographique, le Baphomet en moins bien sûr!
Franchement, un excellent bouquin qui se lit rapidement entre deux grosses briques.
8/10
Le changement du champ magnétique d'une planète a accéléré l'évolution de petits êtres, ressemblant à des singes, pour les rendre intelligents. Cela remet en cause la suprématie de l'espèce avancée sur la planète.
Un genre de planète des singes, axée sur le moment du basculement de suprématie, sans compter que la fin comporte son lot de surprises. Un de mes préférés dans la collection fleuve noir.
Un roman qui m'avait beaucoup plu.
Un genre de planète des singes, axée sur le moment du basculement de suprématie, sans compter que la fin comporte son lot de surprises. Un de mes préférés dans la collection fleuve noir.
Un roman qui m'avait beaucoup plu.
Ce roman est paru initialement dans la collection Anticipation du Fleuve Noir, en 1972, et a été réédité en 1977 chez J’Ai Lu. Possédant cette réédition depuis son année de parution, j’ai enfin décidé de le lire, en 2016. Les livres mûrissent en bibliothèque comme les vins en cave…
Pierre Barbet disait de cet Empire du Baphomet.que c’était de l’historical fiction. Il mélange en fait un thème de science-fiction classique (un envahisseur extra-terrestre) avec une uchronie (les Croisades prennent un tour différent, avec une avancée conquérante des Templiers jusqu’en Chine, où ils affrontent Koubilaï Khan).
Tout cela fait un joli roman bien mené, bien raconté, très condensé du fait de la pagination réduite imposée par la collection Anticipation. Un petit classique méconnu et à redécouvrir !
Pierre Barbet disait de cet Empire du Baphomet.que c’était de l’historical fiction. Il mélange en fait un thème de science-fiction classique (un envahisseur extra-terrestre) avec une uchronie (les Croisades prennent un tour différent, avec une avancée conquérante des Templiers jusqu’en Chine, où ils affrontent Koubilaï Khan).
Tout cela fait un joli roman bien mené, bien raconté, très condensé du fait de la pagination réduite imposée par la collection Anticipation. Un petit classique méconnu et à redécouvrir !
Il y a vraiment pas grand chose à retenir de ce livre.
L'écriture, sans être mauvaise, et loin d'être de grande qualité, Les phrases s'enchainent sans style, sans plaisir.
Les personnages sont fades, incolores, sans intérêt.
L'histoire n'est pas passionnante à suivre, malgré une idée de base assez bonne. Il y avait tant à faire avec cette idée d'humains transgènes, seuls êtres pouvant survivre dans ce monde sans couche d'ozone. mais hélas c'est trop mal exploité. Comme tout le reste d’ailleurs. Notre héros traverse une partie de la France pour trouver de l'aide, et on s'attend à ce que cela ne soit pas facile, bé non, tous (que des militaires au passage) sont ravis de s'allier à lui.
Même la fin est bâclé avec son pseudo rebondissement qui en vrai n'en est pas un, car le seul que tous pensent qu'il va s'opposer, fait semblant que non puis en fait oui, c'est ridicule. Puis où est l'action, il y a bien quelques passages avec affrontement, mais c'est, comme le reste, fade.
Bref, encore un livre qui manque d'ambition et de tout le reste. Encore un Barbet barbant et médiocre dans tous les sens du terme. Dommage, avec une idée comme ça, il y avait du potentiel, de quoi faire un bon livre plein de réflexions.
L'écriture, sans être mauvaise, et loin d'être de grande qualité, Les phrases s'enchainent sans style, sans plaisir.
Les personnages sont fades, incolores, sans intérêt.
L'histoire n'est pas passionnante à suivre, malgré une idée de base assez bonne. Il y avait tant à faire avec cette idée d'humains transgènes, seuls êtres pouvant survivre dans ce monde sans couche d'ozone. mais hélas c'est trop mal exploité. Comme tout le reste d’ailleurs. Notre héros traverse une partie de la France pour trouver de l'aide, et on s'attend à ce que cela ne soit pas facile, bé non, tous (que des militaires au passage) sont ravis de s'allier à lui.
Même la fin est bâclé avec son pseudo rebondissement qui en vrai n'en est pas un, car le seul que tous pensent qu'il va s'opposer, fait semblant que non puis en fait oui, c'est ridicule. Puis où est l'action, il y a bien quelques passages avec affrontement, mais c'est, comme le reste, fade.
Bref, encore un livre qui manque d'ambition et de tout le reste. Encore un Barbet barbant et médiocre dans tous les sens du terme. Dommage, avec une idée comme ça, il y avait du potentiel, de quoi faire un bon livre plein de réflexions.
L’empire du Baphomet est une uchronie qui met en scène une illusion médiévale, une réussite totale des croisades, une véritable Blitzkrieg du désert.
Pierre Barbet a écrit un épopée de cent soixante pages, facile à lire, distrayante, mais qui ne marquera pas durablement la science - fiction française…
Pierre Barbet a écrit un épopée de cent soixante pages, facile à lire, distrayante, mais qui ne marquera pas durablement la science - fiction française…
Que dire de ce livre... à part qu'il n'y a pas grand chose à en garder.
Y a pas longtemps j'ai lu une critique de jamiK, sur une autre de ces oeuvres, où il disait que son écriture était très scolaire, bé je confirme. Je dirais même que c'est brouillon. Il n'y a que dans les dialogues qu'il s'en sort. Puis je comprends pas, de temps en temps il nous sort des mots de vocabulaire plus usités depuis le début du siècle dernier, genre: un potard, un pandore et j'en passe. Et d'un coup, s'en explication, il nous parle de gens qui vont pisser, pas uriner, pas se soulager, mais bien pisser, ce qui est plutôt vulgaire et pas du tout dans le ton du livre. En même temps pourquoi nous dire que des gens vont aux toilettes, et cela ce reproduit trois fois, alors que ça n'apporte vraiment rien à l'histoire.
L'histoire justement parlons-en, elle est sans intérêt aucun. Pourtant je suis un fan des histoires post-apocalyptiques, mais là j'ai vraiment pas accroché.
Le pitch :
Aucun des personnages ne pouvant prétendre au titre de personnage principale, on ne si attache donc pas. Puis, alors qu'à certain moment il étale toute sa science, nous prouve qu'il maitrise son sujet, comme quand il nous décrit tout ce qui se trouve sur un voilier et comment s'en servir, à d'autres il part dans des délires très peux crédibles, comme lorsqu'il nous explique que l'on peu faire d'un bateau ou d'un hôtel un abris anti-atomique sûr.
Enfin il y a la fin qui se termine sur trois petits points en plein milieux d'une action, sans logique, sans réelle chute (ce qui, après tout, est normal, vu qu'il n'y a pas vraiment d'histoire).
Pour ceux qui n'auront pas le courage de la lire, et je les comprends, je vous la mets :
Que dire de plus, à part : passez votre chemin !
Challenge Fleuve Noir Anticipation.
Y a pas longtemps j'ai lu une critique de jamiK, sur une autre de ces oeuvres, où il disait que son écriture était très scolaire, bé je confirme. Je dirais même que c'est brouillon. Il n'y a que dans les dialogues qu'il s'en sort. Puis je comprends pas, de temps en temps il nous sort des mots de vocabulaire plus usités depuis le début du siècle dernier, genre: un potard, un pandore et j'en passe. Et d'un coup, s'en explication, il nous parle de gens qui vont pisser, pas uriner, pas se soulager, mais bien pisser, ce qui est plutôt vulgaire et pas du tout dans le ton du livre. En même temps pourquoi nous dire que des gens vont aux toilettes, et cela ce reproduit trois fois, alors que ça n'apporte vraiment rien à l'histoire.
L'histoire justement parlons-en, elle est sans intérêt aucun. Pourtant je suis un fan des histoires post-apocalyptiques, mais là j'ai vraiment pas accroché.
Le pitch :
Aucun des personnages ne pouvant prétendre au titre de personnage principale, on ne si attache donc pas. Puis, alors qu'à certain moment il étale toute sa science, nous prouve qu'il maitrise son sujet, comme quand il nous décrit tout ce qui se trouve sur un voilier et comment s'en servir, à d'autres il part dans des délires très peux crédibles, comme lorsqu'il nous explique que l'on peu faire d'un bateau ou d'un hôtel un abris anti-atomique sûr.
Enfin il y a la fin qui se termine sur trois petits points en plein milieux d'une action, sans logique, sans réelle chute (ce qui, après tout, est normal, vu qu'il n'y a pas vraiment d'histoire).
Pour ceux qui n'auront pas le courage de la lire, et je les comprends, je vous la mets :
Que dire de plus, à part : passez votre chemin !
Challenge Fleuve Noir Anticipation.
Voici un livre comme on en fait plus. De cette époque où on écrivait deux livres par mois, l'écriture est simple, les ressorts de l'histoire ne sont pas beaucoup poussés mais... ce petit livre de science-fiction fait son travail. On est direct dans l'action de la guerre contre une civilisation alien qui attaque le monde sans raison. Certains termes datent d'une autre époque, et sont à prendre comme ça, et on sent l’imprégnation complète de l'histoire dans son temps. Mais j'ai aimé passé un peu de temps dans cette guerre où on cherche à comprendre plutôt qu'à détruire.
Je le conseil pour sa rapidité de lecture et pour sa fin qui vaut vraiment le coup.
Je le conseil pour sa rapidité de lecture et pour sa fin qui vaut vraiment le coup.
Roman à classer également dans le post-apocalyptique.
Suite à un dérèglement climatique brutal, nous allons suivre 2 peuples:
- le premier doit se réfugier et réapprendre à vivre dans des souterrains et des grottes de la planète
- le second va bénéficier de ce changement climatique et évoluer en surface.
Le contact entre ces deux peuples est ensuite bien amené .
Très agréable à lire, mais évidemment un peu vieillot, "évolution magnétique" reste malgré son age un très bon roman de plage.
Suite à un dérèglement climatique brutal, nous allons suivre 2 peuples:
- le premier doit se réfugier et réapprendre à vivre dans des souterrains et des grottes de la planète
- le second va bénéficier de ce changement climatique et évoluer en surface.
Le contact entre ces deux peuples est ensuite bien amené .
Très agréable à lire, mais évidemment un peu vieillot, "évolution magnétique" reste malgré son age un très bon roman de plage.
Tous les amateurs (spécialistes ou non) d’histoire templière, savent que l’une des accusations majeures portées par l’Inquisition à l’encontre des moines-soldats du Christ concernait la conviction que ceux-ci avaient abandonné le Rédempteur au profit d’une idole, entité infernale ou « satanique » connue sous le nom de Baphomet, histoire qui a d’ailleurs inspiré un très beau roman à Pierre Barbet intitulé « L’empire du Baphomet » (J’ai Lu - 1977). Je reprends le 4è de couverture pour résumer le récit : « Dans St-Jean-d’Acre assiégé, une poignée de Templiers et d’Hospitaliers livrent contre les Sarrasins un combat qui serait désespéré si les Francs ne disposaient d’une arme terrifiante. Guillaume de Beaujeu, Grand Maître du Temple, s’était donné pour mission de propager la Vraie Foi et de reconquérir les Lieux saints. Mais c’est le Baphomet, un extra-terrestre échoué dans la forêt du Grand Orient, qui, en réalité dirige cette Croisade. Saint-Jean-d’Acre sauvé, Guillaume de Beaujeu confie les Lieux saints aux Hospitaliers et part, avec ses Templiers, envahir le territoire des Mongols, en Asie. Sur les conseils du Baphomet, il va combattre Qoubilaï Khan jusqu'à Cathay. Mais au fond de sa forêt, le Baphomet, cette mystérieuse idole, a ses propres desseins. Guillaume de Beaujeu va-t-il comprendre à temps qu’il n’est que le jouet d’un être venu d’une autre galaxie ? ». Ce n’est là qu’une fiction, certes, mais qui s’inspire de cette extraordinaire rumeur concernant le contact entre l’Ordre du Temple et une EBE (Entité Biologique Extra-terrestre) qui aurait cherché à se substituer au Christ et donc à l’Eglise romaine et à dominer le monde à travers l’influence templière. Bernard de Bézaure, dans son livre « Sur les traces des Templiers de Géroux-les-bains » (Edition de Provence), montre d’ailleurs que des cartulaires reproduisant les interrogatoires menés par l’Inquisition après l’arrestation des Templiers en 1308, présentent de très curieuses dépositions. Sous la douleur de la torture en effet, des frères templiers auraient laissé échapper d’étonnantes révélations qui parlent de voyage dans le temps, de la présence dans le ciel et dans l’espace de vaisseaux célestes, de la constellation du Cygne (Cygnus qui selon certains astronomes abriterait un « trou noir » ou puits de ténèbres, que d’aucuns regardent comme « les enfers » décrits dans les livres sacrés ; objet astronomique provenant de l’effondrement gravitationnel de certaines étoiles, susceptibles de déboucher sur des univers parallèles). Selon les termes de quelques unes de ces révélations, les frères auraient parlé de «trous sombres perdus dans l’espace» par où l’on accède à l’éternité ou à d’autres étoiles et à de nouveaux cieux. L’auteur cite notamment ce passage tout à fait étonnant : « ... Au Saint Père le Pape, à lui seul, nous dirons ce que nous savons des secrets universels et célestes dont nous sommes les dépositaires. ». A ce passage on peut d’ailleurs associer celui de St-Paul qui déclare dans l’Epître aux Ephésiens à propos du combat spirituel : «Car ce n’est pas contre des adversatives de chair et de sang que nous avons à lutter, amis contre les Principautés, contre les Puissances, contre les Régisseurs de ce monde de ténèbres, contre les Esprits du Mal qui habitent les espaces célestes... » qui elle aussi fait penser au phénomène ovni. Mais revenons aux Templiers. Il paraît assez clair qu’une partie au moins des Templiers connaissait une « vérité » différente de celle enseignée par l’Eglise et les doctes savants de l’époque. Et cette vérité n’est pas liée à la personne de Jésus (comme le pense Robert Ambellain dans son ouvrage « Jésus ou le mortel secret des Templiers» - Ed. Robert Laffont), mais à une réalité « extra-terrestre » qu’elle soit multidimensionnelle ou pas. Ces secrets universels et célestes «ne sont pas de la compréhension du monde d’aujourd’hui (sous entendu de l’époque des Templiers)... Peut-être, dans les siècles à venir, les hommes auront-ils la connaissance d’une partie des forces universelles... » et comme en écho aux prophéties de Nostradamus et de Malachie : « ...Vous aurez à traverser des guerres et les tempêtes des siècles, mais vous appliquerez au monde la mission universelle de Dieu ». Nous sommes personnellement convaincus que le vrai « Secret » de Rennes-le-Château est là ! Et pour tout dire, ce secret est triple : un secret historique lié à la lignée des Mérovingiens, un secret concernant l’or et l’argent des mines du sous sol de RLC, déjà connues de l’époque romaine, et surtout la possibilité que se trouve dans ces sous-sol de RCL et d’autres endroits en France, à Stenay et Gisors par exemple, des tunnels menant à «une porte temporelle » et au monde souterrain d’un archaïque peuple gnomide (mi-humain mi-fluidique), qui attend son heure contre l’espèce humaine, et que les Templier auraient cherché à cacher !
Pour vous aider dans vos recherches, voici une piste : allez au village de FA (proche de RLC) et cherchez un site wisigoth où s’est trouvée une colonne wisigothique en pierre de 22 cm de haut, incisée par endroit de signes et cryptogrammes étranges, rappelant ceux de Glozel et ceux utilisés dans les décors des rituels de Memphis Misraïm. N’oubliez pas MAGDALA, ni le nom du chercheur Raymond Spinosi. Là se trouve la clef qui mène à la vraie porte du secret.
A bon entendeur salut ! (SLG)
Pour vous aider dans vos recherches, voici une piste : allez au village de FA (proche de RLC) et cherchez un site wisigoth où s’est trouvée une colonne wisigothique en pierre de 22 cm de haut, incisée par endroit de signes et cryptogrammes étranges, rappelant ceux de Glozel et ceux utilisés dans les décors des rituels de Memphis Misraïm. N’oubliez pas MAGDALA, ni le nom du chercheur Raymond Spinosi. Là se trouve la clef qui mène à la vraie porte du secret.
A bon entendeur salut ! (SLG)
Pierre barbet réussit a allier l'uchronie, la science-fiction et le roman historique médiévalisant. Loi d'être une sous " les croisés de l'espace" Français ce livre allie l'inventivité et un facilité de lecture.
Je termine "L'empire du Baphomet".
Comment à partir d'une "légende" (urbaine?) du XIIIè siècle construire un univers parallèle où les templiers règnent en maitres incontestés de la Terre et soumettent les pires envahisseurs que notre univers aient connus.
On reconnaitra la conquête d'Alexandre dans le court récit de Pierre Barbet, même si son intrigue mène Guillaume de Beaujeu vers la Catay magnifique de Qoubilaï.
Un bon petit roman de SF, sans prétention mais qui se laisse lire facilement.
Comment à partir d'une "légende" (urbaine?) du XIIIè siècle construire un univers parallèle où les templiers règnent en maitres incontestés de la Terre et soumettent les pires envahisseurs que notre univers aient connus.
On reconnaitra la conquête d'Alexandre dans le court récit de Pierre Barbet, même si son intrigue mène Guillaume de Beaujeu vers la Catay magnifique de Qoubilaï.
Un bon petit roman de SF, sans prétention mais qui se laisse lire facilement.
Pierre Barbet nous livre ici une curieuse et très personnelle réinterprétation de L'île du Docteur Moreau, se servant de l'idée de base pour ouvrir son "mystère Seginus".
Faisons simple : un fonctionnaire découvre par hasard les mystérieux fichiers "S", relatif au docteur Hickley, un biologiste ayant métissé l'ADN humain à celui d'animaux. Traqué, Hickley s'exile sur la planète Seginus... et disparait. Notre héros monte donc une expédition à l'aide d'un homme d'affaires, d'une biologiste, d'une crapule et d'un bigot à fin de remettre la main sur la formule de Hickley et de faire fortune.
Dans le classique de Wells, les choses sont organisés sur l'île. Chez Barbet aussi, mais différemment. L'auteur prend une idée de base sympathique et la rabote complètement pour basculer dans un banal bouquin de SF de seconde zone. Bon, ok, encore une guerre entre différentes "races", encore un groupe d'humains qui change la donne dans le conflit et sur la planète, bref du déjà vu, rien de nouveau sous le soleil, que ce soit celui de la Terre ou de Seginus.
C'est vraiment dommage, après avoir lu une des aventures du Capitaine Setni, une des séries-phares de Barbet, je m'attendais à vraiment mieux ici. Peut-être pas du révolutionnaire, mais autre chose qu'un roman de gare lassant.
A éviter.
Faisons simple : un fonctionnaire découvre par hasard les mystérieux fichiers "S", relatif au docteur Hickley, un biologiste ayant métissé l'ADN humain à celui d'animaux. Traqué, Hickley s'exile sur la planète Seginus... et disparait. Notre héros monte donc une expédition à l'aide d'un homme d'affaires, d'une biologiste, d'une crapule et d'un bigot à fin de remettre la main sur la formule de Hickley et de faire fortune.
Dans le classique de Wells, les choses sont organisés sur l'île. Chez Barbet aussi, mais différemment. L'auteur prend une idée de base sympathique et la rabote complètement pour basculer dans un banal bouquin de SF de seconde zone. Bon, ok, encore une guerre entre différentes "races", encore un groupe d'humains qui change la donne dans le conflit et sur la planète, bref du déjà vu, rien de nouveau sous le soleil, que ce soit celui de la Terre ou de Seginus.
C'est vraiment dommage, après avoir lu une des aventures du Capitaine Setni, une des séries-phares de Barbet, je m'attendais à vraiment mieux ici. Peut-être pas du révolutionnaire, mais autre chose qu'un roman de gare lassant.
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