"Un trait distingue les écrivains russes de leurs homologues occidentaux. C'est le péril qu'ils encourent à simplement dire ce qui est. C'est une histoire de femme qui a causé la mort de Pouchkine mais c'est le despotisme qui vaut à Dostoïevski de se retrouver devant un peloton d'exécution et on est encore pris de dégoût devant le procédé qui consiste à dépêcher, lorsque l'officier va commander le feu, un messager porteur de la grâce du Tsar."