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Critiques de Pierre Davy (36)
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L'écho des cavernes

C'est mon mari qui a emprunté cet ouvrage à la médiathèque et ayant tellement ri en le lisant, c'est lui qui m'a incité à le découvrir à mon tour. Quant à moi, mon avis est plus mitigé.

Certes, certains passages sont drôles mais de là à s'esclaffer de rire (comme le dit le préfacier Yves Coppens), il y a un grand pas.



L'histoire est celle d'un homme des cavernes, Sapiens, qui trouvant les moyens de s'exprimer de sa tribu très primitifs puisque leurs mots se réduisent à de simples "Wroumph", décide de révolutionner cela et d'inventer un langage plus complexe. Celle qui deviendra sa compagne et qu'il prénommera Ève tout comme elle l’appellera plus tard Adam est bien résolue à l'aider dans ses recherches et à les faire découvrir au reste de la tribu.



De nombreuses références bibliques, vous l'aurez donc compris mais qui sont désormais rentrés dans notre culture commune (inutile de vous dire qu'il faut être un croyant convaincu pour connaître l'histoire d'Adam et Ève), où l'on voit l'évolution de ces hommes préhistoriques avec l'apparition, au fil des pages du verbe, du pronom personnel, de l'adjectif et de bien d'autres choses encore !



Un ouvrage instructif et ludique, certes, mais qui traîne parfois un peu trop en longueur à mon goût ! Le lecteur passe néanmoins un moment très agréable ! A découvrir et à faire découvrir !
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Guadeloupe 1943 : Sous le vent de la guerre

Guadeloupe 1943. Par l'intermédiaire de Benjamin, un jeune homme de dix-huit ans, le lecteur se fait une idée de ce qu'il se passait sur les îles antillaises pendant la Seconde Guerre Mondiale. Suite à une arrestation plutôt injustifiée, Benjamin se retrouve à aider les résistants, ralliés à De Gaulle. C'est très intéressant de savoir comment se passait les temps de guerre sur ces îles. Un sous-titre "Antan Sorin" évoque la gouvernance de la Guadeloupe et de la Martinique par Constant Sorin (au temps de Sorin), rallié, lui, au régime Vichy. Un roman jeunesse qui peut plaire aux jeunes (plus de 11-12 ans) pour approfondir l'histoire de France de façon pédagogique et ludique.
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La croix des pauvres

C’est fluide, ça se lit bien, mais pourtant on le pose et le quitte sans regret…

L’histoire d’un jeune serf qui se rebelle et fuyant les terres du seigneur se retrouve mêlé à une croisade. Ce roman offre un bon aperçu de la vie au moyen-âge et particulièrement des différents aspects et motivations des croisades…

C’est dommage qu’il manque une vraie histoire. Ça sent l’ouvrage pédagogique à plein nez : Ecrit pour être exploité en classe, mais pas pour le plaisir pur.

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La croix des pauvres

Mathieu Boveret, jeune serf de 18 ans, doit s'enfuir car il s'est révolté contre son seigneur. Celui-ci lui a proposé de devenir domestique mais le jeune homme ne voulait pas. Malencontreusement, le garçon rejoint une bande de brigands. Mais ils apprennent qu'un pèlerinage à lieu, la croisade, et pour aller au paradis, les voleurs s'engagent dans cette marche.



« La Croix des pauvres », un court récit du Moyen Age, est très facile à lire car il n'est pas long. Il nous apprend un grand nombre de choses sur les croisades. Je n'ai pas trouvé l'histoire très riche en vocabulaire, mais il faut quand même en connaître un petit peu sur le Moyen Age car cela nous aide à la compréhension du texte.

Je n'ai pas trop aimé ce livre car j'ai trouvé que l'aventure était trop brève et qu'il n'y avait pas assez de détails. Habituellement, je m'intéresse aux croisades mais pas racontées de cette manière. C'est donc pour cela que je ne suis pas rentrée dedans.



Jeanne - 5è

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La croix des pauvres

Le récit que nous propose ici Pierre Davy s’évertue à faire connaitre le monde des croisades, plus spécifiquement la croisade des pauvres comme le précise l’auteur à la fin de son ouvrage. Ce roman m’a beaucoup intéressée car je ne connaissais rien de cette croisade composée de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants ayant répondu à l’appel du Pape. Les conditions du voyage sont très bien décrites et permettent au lecteur de visualiser sans mal ce que subissent et font subir les croisés. En effet, ces personnes entreprennent un long et difficile pèlerinage dans des conditions peu enviables. Mais il ne faut pas oublier – et l’auteur, habilement, nous le rappelle – qu’ils tuent et pillent sur leur passage et obligent des villes à épuiser leurs ressources pour répondre à leurs besoins sans réelle contrepartie. Le livre est donc une mine d’informations, on a le plaisir de la lecture tout en apprenant.



La suite sur le blog :)
Lien : http://antredeslivres.blogsp..
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Les démons de Négreval

Ce livre est difficile à lire au début mais après on comprend l’histoire. Les personnages principaux sont le roi de Nègreval et son fils. Ils sont très attachants.

Le roi de Nègreval est un roi très sympathique jusqu’au jour où on l’appelle à la croisade. Il part pendant dix ans où il laisse son fils et sa femme à la tête du royaume. Pendant son séjour le royaume est triste et ne rit plus. Quand le seigneur revient, il est méchant et s’enferme plusieurs mois. Sa femme est triste et son enfant n’a envie de se rappeler que des bons souvenirs. Un jour un valet appelle Arnaud (le fils du roi ) en disant que le roi veut le voir. C’est à partir de ce moment que l’histoire commence.

Ce récit nous embarque dans une aventure pleine de rebondissements. C’est pour cela que j’ai beaucoup apprécié.



Astrid - 5è

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L'écho des cavernes

L'écho des cavernes est un roman de Pierre Davy. Il a pour but d'évoquer, de façon romancée, la naissance du langage tel qu'on le connait, entre les Hommes.



Je ne vais pas y aller par quatre chemins : c'est monstrueusement mauvais. Cela commence par le nom maladroit des personnages (Adam et Eve) et cela se poursuit par l'idée d'une évolution d'un langage supérieur à partir d'un langage inexistant. Vous allez me dire, c'est un roman.



D'accord mais maintenant, il parait que ce livre se veut humoristique. Je l'ai juste trouvé ennuyeux, répétitif et sans intérêt. Je n'ai pas souris une fois, surement trop en lutte pour le terminer.



La suite des chapitres n'est qu'une suite d'histoire apportant une nouveauté de la langue française (oui, tant qu'à faire). Aucune profondeur ou aucune dimension philosophique ou ethnologique.



En fait, un livre que j'ai sauvé du pilon mais qui ne trouvera pas place dans ma bibliothèque. NEXT!

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La croix des pauvres

A la fin du XIe siècle, en Auvergne, Mathieu Boveret est un serf, propriété du Comte de Vaugremont. Comme son père, il travaille la terre et refuse de devenir palefrenier. Pour échapper au triste sort qui l’attend, il s’enfuit et tente de rejoindre la Bourgogne, terre accueillante pour les serfs en fuite.



En chemin, il rencontre une bande de brigands et se joint à eux bien involontairement. C’est un noble, ayant connu une vie tumultueuse, Thibault de Cercy qui dirige la bande. Leur rencontre avec des moines prêcheurs marquera pour les bandits le début d’une nouvelle vie, avec leur participation à la Croisade. Baptisée Les compagnons de la Sainte Croix, les larrons rejoignent le flot des fidèles décidés à rallier Jérusalem et à délivrer le Saint Sépulcre aux mains des infidèles.



La suite sur mon blog...
Lien : http://nahe-lit.blogspot.com..
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L'écho des cavernes

Sapiens et sa compagne Eva découvrent le langage. Mise en scène dans un tribu d'hommes de Cro-Magnon, c'est toutes les bases du langage en général et de la langue française en particulier qu'on découvre : utiliser les sons, puis faire des mots, des phrases. Les pronoms, l'interrogation, le récit... Tout cela défile sous nos yeux, au rythme d'une tribu et d'un personnage, Sapiens, qui va révolutionner la vie de ses condisciples.

Le tout est très drôle et explique de façon amusante les règles élémentaires du langage. Pas prise de tête du tout, un régal !
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L'épée des puissants

Ce livre est intéressant pour ceux qui aiment la guerre.L'histoire se déroule vers Jérusalem,mais elle commence en 1096,à Constantinople.C'est un roman de guerre,qui raconte l'histoire des pèlerins de Constantinople à Jérusalem.
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La croix des pauvres

" La croix des Pauvres " est un roman écrit par Pierre Davy, en 2008. Il a également écrit " Un cheval de liberté " ou " Cambodge 1943 ". Cet auteur français écrit souvent des romans historiques d’aventure pour la jeunesse.

Gilles Scheid, un dessinateur illustre ce roman qui comporte 19 chapitres.



L’histoire commence en 1096 dans un petit village auvergnat. Un jeune garçon, Mathieu Boveret, qui aide son père dans les champs, se fait interpeller par l’intendant du château. Celui-ci le veut comme palefrenier (vétérinaire). Mathieu se révolte et fuit les terres du seigneur. Sur sa route, il rencontre des brigands et des prêtres qui le poussent à partir en Croisades.



Mon passage préféré est : « Devant Dieu, devant Turpin d’Etampe, devant mes derniers compagnons je te fais chevalier ». Il se situe donc le jour de son adoubement. Cela nous permet de l’accompagner dans le passage de son statut de serf à celui de chevalier et de prendre conscience de la difficulté de la vie au Moyen-Age.



Mon personnage préféré est le personnage principal, Mathieu Boveret. Il a 18 ans, les yeux marron, les cheveux blond-brun. Il est maigre, grand et musclé. J’ai aimé ce personnage car il me ressemble un peu. Il est timide, courageux et combattant. Il est également curieux, travailleur et stratégique.



Ce roman historique d’aventure cumule guerre, amour, amitié et sagesse. J’ai aimé ce roman car il y a du suspens et de l’aventure. Ce roman se déroule au Moyen-Age. Le livre est écrit avec des gros caractères mais les mots sont compliqués et de langage soutenu. Le livre se finit brusquement et donne au lecteur l’envie de connaître la fin du périple de Mathieu. Le livre est tellement entrainant que j’aurais aimé qu’il dure plus longtemps. Je recommande ce livre aux adolescents et adultes confirmés en lecture. Si vous aimez ce livre, n’hésitez pas à lire la suite : « L’épée des puissants ».



G.B
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L'écho des cavernes

Moi parler toi aussi et nous avancer !



Sous une forme humoristique, parodique, L’écho des cavernes nous conte l’apparition et l’élaboration du langage, ses fonctions, son utilité sociale, sa complexité



Sa lecture m’a beaucoup amusée tant elle décrypte les fonctions utilitaireset sociales du langage en les campant dans une pseudo- société primitive dont elle caricature certaines fonctions : le chef, le sorcier, l’enseignant, l’étranger.



J’ai beaucoup aimé aussi l’hommage à la femme, aux femmes, à leur rôle dans la société et dans la transmission et l’élaboration du langage.



"Wroupmf"

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La croix des pauvres

On a l'impression d'un récit de livre d'histoire dans lequel on aurait plaqué des personnages pour le rendre vivant.



Certains arrivent comme un cheveu sur la soupe, ils ne sont pas décrits, n'ont aucune personnalité, aucune profondeur, ce qui rend le roman terne, sans réelle intrigue. On suit les déplacements d'une bande de voleurs. De temps en temps, on a un massacre, un duel, une tuerie, mais là encore, les descriptions ressemblent plus à celles d'un journaliste pour la chronique des chiens écrasés qu'à celle d'un romancier.



Le personnage principal, Mathieu, est peu crédible, nunuche, bêta, transformé en chevalier par un coup de baguette magique (ou presque) et avec des interrogations quasi métaphysiques. On ne s'attache pas à lui (mais je suis une femme, ça n'aide peut-être pas).



Les décors sont quasi inexistants. On n'imagine pas le Danube, ou Constantinople, alors qu'il y aurait sans doute eu de quoi aider le lecteur à mieux avoir l'impression de vivre cette croisade. On reste là aussi dans le factuel, qui n'apporte pas grand chose par rapport à un manuel scolaire.

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De l'autre côté du soleil

Une immersion poignante dans le monde de l'esclavage.

Ce dont parle avant tout ce roman, c'est d'intolérance. Dans son village, déjà, Traoré se désole de l'absurde rivalité peuhl-toucouleur dont on ne connaît même plus les raisons : "Il constate qu'ici rien ne diffère de ce à quoi il a été habitué chez lui"... Pourtant dans les faits, chacun a ses propres territoires, son propre dialecte. Ce manque de cohésion, d'unité africaine, Traoré le retrouve au milieu de ses compagnons esclaves : loin d'être une richesse, leur diversité les empêche de communiquer, de se coordonner pour faire front ensemble. De même, une fois aux Antilles, les "nègres créoles" ont bien du mal à intégrer les "nègres d'Afrique". Dès lors, il est d'autant plus facile pour les Blancs d'imposer leur domination.

Une fois enchaîné, Traoré est déshumanisé, réduit à l'état de marchandise. "Une seule chose compte désormais", lui dit Vanidia, "survivre et être fort. Ceux qui faiblissent sont condamnés". Mais comment ne pas céder au désespoir lorsque l'on est soumis comme un troupeau de chèvres et que l'on subit les humiliations à longueur de journée ? Seul l'espoir de croiser la jeune fille, d'échanger quelques mots avec elle, lui donne la force de tenir : elle est à la fois "la cause de son malheur et sa raison de survivre". Malheureusement on la perd de vue un moment... Traoré est bel et bien le personnage principal de cette histoire.

Le point de vue des Blancs nous est donné à travers le journal de bord de Yvon de Kerven, qui fait office de médecin sur le bateau négrier. C'est la première fois que le jeune homme voit des Noirs mais il comprend rapidement que l'attitude de ses confrères à leur égard n'est pas digne d'êtres humains. Pour autant il ne protestera jamais, préférant fermer les yeux sur les atrocités dont il est témoin.

Traoré ne veut pas se contenter de dignité : c'est la liberté qu'il veut retrouver, quel qu'en soit le prix. Si le jeune peuhl est souvent envahi par le désespoir ("Est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux être mort ?"), il bouillonne également de colère, rêvant d'entraîner ses compagnons à la révolte. Pour l'aider à traverser cette épreuve, il y a heureusement les veillées, une fois la semaine, qui autorisent à prendre un peu de bon temps, ainsi que son camarade Seghor qui, comme lui, se demande s'il vaut mieux vivre en esclave ou mourir libre ("en guerrier peuhl"). Mais la liberté peut être "aussi dure à vivre que la servitude", et surtout, quel prix faudra-t-il payer ?

Un roman instructif, complété par des informations sur la traite des noirs en fin d'ouvrage.
Lien : http://www.takalirsa.fr/de-l..
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Oran 62 : La Rupture

La grand-mère de Christophe vient de faire un malaise, elle est à l'hôpital. Il va devoir rejoindre son père, à Oran en Algérie, où la guerre attire autant qu'elle terrorise.



Un beau roman qui permet de faire découvrir la vie en Algérie dans les années soixante et de vivre les événements de l'intérieur.
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De l'autre côté du soleil

Je remercie Samia des éditions Nathan pour ce livre. J’ai un avis assez mitigé sur ce livre un peu trop jeunesse, mais qui a un sujet assez intéressant.

La couverture est assez belle et c’est surtout celle-ci qui m’a fait penché pour ce livre qui me rappelait Case départ, le film qui parlait d’esclavage à la légère, mais ici, au contraire de mon impression, rien n’est pris à la légère, tout a un poids et l’asservissement aussi !

Le thème était trop bien trouvé, le voyage de deux petits enfants de couleur Noir qui vont se retrouver devant la honte des hommes Blancs : l’esclavage, il vont apprendre à être esclave, mais comment perdre sa liberté alors que l’on est né avec ça dans le sang ? Comment aimer mais laisser sa bien-aimée dans les bras d’un autre parce qu’il est blanc ?

Voilà un peu le pitch de l’histoire qui est vraiment exceptionnel, le voyage vers les Amériques, les conditions d’esclavage, la volonté de liberté, et encore beaucoup d’autres aventures dans ce livres assez court. Le thème est original, c’est personnellement la première fois que j’entends parler d’un livre qui parle de ça, mais je pense qu’il en faut pour faire comprendre à nous les jeunes que le racisme, c’est dégoutant, et que les Noirs sont autant humains que nous et que leur liberté est précieuse. Ce livre malgré tout jeunesse, a su me plaire par l’aspect didactique des dialogues de l’esclave qui faisait un éloge de la liberté et s’interrogeait sur l’esclavage.

L’écriture est le gros point noir de ce livre, effectivement, quand l’écriture d’un livre est mauvaise, le livre le devient, mais j’ai pas envie de faire cela, parce que je sais que ce livre est très bon, mais que son écriture (désolé pour l’auteur) n’est pas des plus belles et des plus envoutantes, donc je préfère vous le dire, avant que vous n’achetiez ou lisiez ce livre.

Sinon, je conseille ce livre aux jeunes pour qu’ils comprennent désormais le malheur qu’a été l’esclavage avec de vrais personnages et non pas dans des cours d’histoire barbant ! Voilà tout pour mon avis de ce livre qui est bien d’un aspect et non de l’autre !
Lien : http://litteraire-en-herbe.b..
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L'écho des cavernes

Sapiens a deux gros problèmes : sa tête est remplie d'un magma de pensées inexprimables, et il a un besoin irrépressible de les communiquer. Dur, dur, lorsqu'on est entouré d'hommes des cavernes dont le langage se limite à la seule onomatopée "wroumpf". Alors qu'il s'amuse à vocaliser bien fort (A, E, I, O, U !) au bord de la rivière, il prend conscience que sa bouche peut former des sons (wouaaouiiiille), et que ces sons peuvent servir à désigner des choses (fr… fr… froussssse ?). D'ici à inventer la grammaire… Et, tenez, oui… Pourquoi pas ?



L'avis de Charlotte, 14 ans : Voici un livre qui sort de l'ordinaire ! J'ai beaucoup aimé ce livre, dont les raisonnements peuvent aider à retenir certains points de grammaire.



L'avis de la rédaction : Pas de mots sans pensée, mais pas non plus de pensée sans mots. L'histoire de la poule et de l'œuf, me direz-vous ? Pas si sûr... Car au-delà de l'idée cocasse et pédagogique qui sert d'intrigue à ce livre (expliquer la naissance des mots et de la grammaire), son récit nous rappelle aussi que sans langage, point d'intelligence, et que la violence n'est jamais loin, lorsque les mots perdent pied.
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La croix des pauvres

Le titre du livre est: LA CROIX DES PAUVRES

L'auteur est: PIERRE DAVY



Moi, j'ai bien aimé ce roman car il y a du suspens et de l'action.

Une fois que tu es parti dans l'histoire, il faut la continuer car tu t'y accroches, tu te mets dedans. Elle est passionnante.

Pour les lecteurs qui aiment l'action, que ce soit mouvementé, et que les personnages vivent des aventures, je vous recommande ce livre.

J'ai bien aimé ce livre car les personnages vivent dans l'action.



Juliette

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Oran 62 : La Rupture

Je n'ai pas fini de lire ce livre, je n'arrive pas à m'intégrer dans la lecture. Je conseille ce livre a ceux qui sont passionner d'histoire.



Anthony 2ASSP

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De l'autre côté du soleil

je me suis investi corps et âmes dans cette lecture car la passion avec laquelle l'auteur raconte l'histoire est envoûtant et précis et réelle. On à tendance à accepter les situations que l'on nous imposes trop vite mais surtout subir les injustices qui les accompagnes juste pour à voir de quoi subsister. Ce livre est l'exemple parfait de la liberté et de la conviction qu'on ne peut vivre asservie.
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