Lui : En 1982, votre devise était une phrase de Spinoza...
Philippe Labro : J'ai souvent changé de devise, attention !
Lui - La voici : « J'ai pris soin de ne pas tourner en dérision les actions humaines, de ne pas les déplorer ou les maudire mais les comprendre. »
Philippe Labro : Je continue de croire effectivement qu'il vaut mieux essayer de comprendre que de juger. Plus j'avance, plus j'essaie de réduire mes comportements à des choses fondamentales : essayer de comprendre les êtres, essayer surtout de les aimer...
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