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Critiques de Pierre Le-Tan (15)
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Paris de ma jeunesse

L'humeur, comme souvent en ces périodes de fin d'année et de fêtes, avec

de nombreuses pensées pour les êtres chers absents...est à la mélancolie et à la nostalgie... !

Alors ce livre très émouvant de Pierre Le-Tan tombait à pic !



Un ouvrage initialement publié en 1988, avec Patrick Modiano, un ami

de toujours...Le voilà réédité enrichi , augmenté de nouveaux textes, et

toujours préfacé par Modiano... Ouvrage d'autant plus touchant que

l'artiste Pierre le -Tan nous a quittés en septembre 2019...



J'ai toujours eu une admiration pour l'univers et pour les dessins de

cet artiste-collectionneur-écrivain. Fils d'un peintre vietnamien, il a été

élevé dans un univers à la fois bourgeois, et artistique.



Grandi dans des quartiers cossus, il n'en garde pas moins un regard

lucide et une distance ironique...



"Place de Breteuil

Est-ce sa largeur excessive, ou ses arbres trop bien alignés qui donnent à l'avenue de Breteuil des allures de cimetière ? Ou est-ce, au bout, la belle mais funèbre église des Invalides ?

Je crois que les longues promenades que m'infligeait ma nounou sous ces platanes ne firent rien pour améliorer mon caractère déjà mélancolique. "(p. 17)



Un livre où la nostalgie est palpable; nostalgie du Paris de la jeunesse de l'artiste, de ses quartiers préférés, ainsi que le souvenir fidèle envers des personnages hauts en couleurs, des années 1950 , célèbres ou non, se disputent la vedette...



"Rue La Pérouse

(...) Je me rendis dans ce quartier, là où des rues vides se succèdent, n'offrant au regard aucune distraction. Ni cafés, ni boutiques, juste ces enfilades d'immeubles bourgeois d'une monotonie qui rassure et désole à la fois." (p. 115)



Une jolie lecture, agréable tant par l'écriture de Pierre Le-Tan que par ses illustrations, au style unique... Chaque lecture m'incite à faire quelques recherches, prolongeant ma découverte du moment. Là, j'ai découvert que cet artiste était un collectionneur insatiable; qu'il avait d'ailleurs rédigé et illustré un ouvrage sur le sujet, "Quelques collectionneurs..",

que j'ai repéré à ma médiathèque...que je vais m'empresser d'emprunter !!



Même si il y a un pincement.. je vais me "délester" de ce très beau petit livre, que je vais offrir à des amis... Vraiment , une idée sympathique de cadeau, qui peut plaire à des publics les plus divers...



@Françoise Boucard-Décembre 2019
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Carnet tangérois

Dans ces illustrations d'un Tanger d'hier, tout ressemble à une station balnéaire désertée. Portes closes et volets baissés, chaque dessin est doucement neutre et exilé, les plages inutiles, les bâtiments figés. Un chant que personne n'entend.
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Album

Un savant patchwork, mêlant aux dessins en couleur de Pierre Le-Tan, avec son trait hachuré si fin, si racé, des photos,des timbres, des morceaux de cartes postales ou de factures d'hôtel...

Villes et pays dont on ne sait s'ils sont imaginaires ou réels. Maisons avec leurs objets-fétiches (celle, par exemple, de Cocteau, à Milly-la-forêt ). Décors éphémères. Impressions de voyages ("Les voyages que je préfère, c'est leur souvenir" nous confie l'artiste) . Portraits, dont un superbe visage de son ami Modiano, ou un tout aussi superbe portrait, en camaïeu bleu, hormis le rouge des lèvres, de Greta Garbo ).

Des notes d'humour (l'heure de la digestion sur la place St Marc à Venise, par exemple).

Mais ce qui domine c'est la discrète mélancolie des lieux, le mystère des êtres, dont l'élégante apparence semble pudiquement cacher de secrètes fêlures.

Les commentaires sont aussi de Pierre Le-Tan, dans cette prose limpide bien connue de ceux qui aiment ce discret artiste.
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Memory Lane

Roman court, de 80 pages, illustré par de beaux dessins de Pierre Le-Tan.

L’action principale se déroule vraisemblablement en 1965 (Winegrain a 35 ans, le narrateur 20). Le narrateur, dont on devine qu’il s’agit de Patrick Modiano, se souvient des quelques mois passés à ses vingt ans avec « le petit groupe » des amis de Paul Contour dans lequel il avait été introduit par son collègue d’une maison d’édition Georges Bellune. Ce petit groupe de sept ou huit personnes vivait le plus souvent à Paris mais passait des week-end, l’hiver en Sologne, dans une propriété de Contour et l’été au Cap d’Antibes, à la villa « Hacienda ».

Le narrateur pose un regard doux sur la vie de ces êtres tous plus ou moins tourmentés. Paul, l’aventurier et sa femme, la belle et sympathique Maddy, que la narrateur aurait voulu épouser ; Winegrain et Bourdon, inséparables amis d’enfance, du collège du Montcel, Doug l’américain nostalgique, Delval, décorateur, spécialiste des bois clairs, homosexuel et son protégé, le jeune Maraize ; Georges Bellune, juif autrichien, compositeur de musique, ayant fui le nazisme. Les hauts et les bas de Paul donnent le la à la vie du groupe où la mélancolie domine.

Le narrateur s’en détachera et plus encore Françoise, la fiancée de Winegrain, car « On s’efforce quelquefois d’oublier le petit groupe de ceux qui ont présidé à vos débuts dans la vie » (dernière phrase du livre).

Un livre plein de charme où s’expriment toute l’élégance et la sensibilité de Patrick Modiano.

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Paris de ma jeunesse

" Le-Tan passé

Celui qui va naître

Le-Tan d'aimer

Et de disparaître

Le-Tan des pleurs

Le-Tan de la chance

Le-Tan qui meurt

Le-Tan des vacances" a-t-on envie de fredonner, espiègle pastiche d'Aznavour, en feuilletant ce roudoudou littéraire, cette bonbonnière d'antan. Et qu'importe si le Paris de Pierre Le-Tan n'est pas le nôtre, son délicat petit livre suscite nos rêveries comme nos fièvres d'enfance. En griffonnant sa carte du tendre, l'exquis dessinateur nous mène d'escaliers roides en porches mystérieux, de boulevards déserts en placettes oubliées dans un Paris chiriquien qui ne survit plus que par le talent de ce scrupuleux mémorialiste.



Ce murmure, délectable chuchotis, vous caresse l'âme et sa ronde de lieux et gens vous grise longtemps. De vieux fantômes fatigués clignent de l’œil, agitent leur mains et ce sont les vôtres qui soudain se matérialisent.



Le Paris de Le-Tan se superpose souvent à celui de Patrick Modiano (qui a signé la préface de l'ouvrage) tout comme son écriture blanche évoque celle du grand écrivain. Un testament (Le-Tan a atteint le bout du chemin quelques mois après cette réédition enrichie) d'une mélancolie intense qui vous happe pour ne plus vous lâcher.



Léger, fugace, ce livre poids-plume vous met K.O. debout. Un troublant rendez-vous.
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
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Memory Lane

Patrick Modiano avec de très belles gravures de Le Tan... J en avais un exemplaire - non pas en édition de poche, mais je crois que c' étaient les Editions de Minuit qui l avait publié... Au gré des déménagements, des bouleversements, ce livre a disparu peu à peu de ma mémoire.... A l'image de l' écriture évanescente de Modiano...

Une certaine nostalgie de l Amérique rêvée dans les années d' après guerre.



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Memory Lane

C'est du beaujolais , un petit texte léger et nostalgique qui vaut beaucoup par les dessins de Pierre LE-TAN

A offrir sans modération à un passionné d'illustration
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Paris de ma jeunesse

Je remercie Mass Critique de Babelio pour cette lecture. Paris de ma jeunesse rassemble les promenades poétiques de Pierre Le Tan. L'écriture y est élégante et chaque chapitre trace un portrait, une rencontre, un lieu. Se dessine un Paris disparu, nostalgique, mélancolique. Des dessins ponctuent ce recueil. Dessins qui frappent par leur sobriété, où Paris se découvre désert ou se découpe parfois une silhouette, une ombre solitaire. Il faut se laisser imprégné par ce recueil que Pierre Le Tan a fini de rédiger avant sa mort. Plane le fantôme du temps qui passe, d'un Paris révolu, d'un Paris de la mémoire celle des artistes, des écrivains.
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Memory Lane

De l'art de raconter des ambiances sans rien dire de vital ni de profond ... rencontres, lieux variés, des amitiés où il ne se passe rien, ou si peu, comme une petite touche de sentiment. Et pourtant, on reste attaché à ce récit sans histoire et on se sépare à regret de ses divers personnages.

Les dessins de Pierre Le-Tan participent de cette atmosphère sans âme - sauf pour les petites phrases qui légendent les illustrations.

Étrange récit d'une ligne de mémoire.

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Memory Lane

N°1654- Juin 2022



Memory lane– Patrick Modiano – Hachette POL.

Dessins de Pierre Le-Tan



Le titre peut se traduire par « sentier de la mémoire », pourquoi pas, surtout que chez Modiano c'est son thème favori. C‘est aussi le titre d'une chanson préférée d'un membre américain un peu alcoolique de ce groupe de parisiens amoureux du soleil de la côte d'Azur dont parle le narrateur. Elle deviendra peu pou prou l'hymne de la bande. Il l‘observe plus qu'il n'en fait partie comme à vingt ans on jette sur le monde qui nous entoure un regard à la fois inquiet et curieux en se disant que peut-être quelques-uns d'entre eux nous porteront chance. Cette sorte de confrérie était composée d'êtres disparates, un antiquaire parisien, de vagues voyageurs-conférenciers nostalgiques, un fin diseur de poèmes et bien entendu quelques femmes comme Maddy, dont le narrateur est secrètement amoureux malgré la différence d'âge. Elle est pour lui, sans qu'elle le sache, une personne entre la mère qu'elle n'est pas et l'amante qu'elle ne sera jamais.

Qu'est ce qui fait que se forme un groupe de personnes ? le hasard de rencontres, la partage d'une passion, un goût commun même s'il est inavouable ou immoral, le souvenir de quelque chose ? C'est dans ce genre d'aréopage qu'on refait le monde, qu'on exorcise l'avenir en bâtissant des châteaux en Espagne que le futur se chargera de détruire. Il ne durera qu'un moment ou perdurera longtemps sans qu'on en sache la raison et parfois, quand le temps a passé, on choisit d'oublier ceux qui ont présidé à ce qui fut un temps nos débuts dans la vie parce que l'amnésie est une des constantes de la nature humaine.

Les personnages sont ici, comme souvent sous la plume de Modiano, des silhouettes plus ou moins noyées dans une sorte de brume. Les fins dessins à la plume trempée dans l'encre de Chine de Pierre le-Tan (1950-2019) leur prêtent un visage, une physionomie mais l'impression qui s'en dégage est souvent triste et mélancolique comme ces gravures en noir et blanc dont ils ont l'apparence. Cette galerie de portraits s'ouvre sur la jeune figure d'un marin et sa possible implication dans un meurtre. Cette connivence créatrice me paraît bienvenue et ajoute à l'ambiance nostalgique du texte.



Le livre refermé, il reste de tout cela une douce nonchalance, une complicité, une sorte de farniente, une recherche de la douceur de vivre entre les membres de ce groupe, une sorte d'amour de la vie. C'est l'image du temps qui fuit, de la jeunesse qui disparaît inexorablement, des regrets et des remords, des itinéraires incertains et parfois désastreux. Ce roman, même s'il est qualifié de récit, paru en 1981, est dans le droit fil de l'oeuvre de celui qui sera consacré en 2014 par le Prix Nobel de Littérature.

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Memory Lane

Éloge des amitiés fugaces.





J'avoue n'avoir lu de Modiano que les livres récents, post-prix Nobel et ceux-ci ne m'ont guère enchanté. Mais je reconnais que ce « Memory Lane », avec les années qui le séparent de la suprême consécration, a quelque chose de charmant et d'enivrant.



Le petit groupe d'amis est un sujet d'étude en soi et la loupe de Modiano vient en faire un portrait à la fois onirique et concret comme quand le songe a le goût du souvenir, que la nostalgie devient une promenade de santé, affranchie des dangers qui nous guettaient.



Tout dans « Memory Lane » relève de la mélancolie ensablée, fixée à jamais dans la douceur des grains de quartz. L'écriture de Modiano, limpide, noble et directe qui m'avait tant rebuté par son ennui trouve ici la pleine mesure de son expression. Avec cet opuscule, j'admets bien volontiers qu'il y a un maître insoupçonné, prompt à distiller quelques enseignements sur l'art scriptural.



Les personnages sont passionnants, tout droit sortis d'une œuvre posthume de Boris Vian. On les imagine entourés de jazz, de rires et de fumée. D'une insouciance presque criminelle, protégés par cette famille de substitution.



Pour conclure, une œuvre courte mais magistrale où les dessins de Pierre Le-Tan donnent des repères visuels qui canalisent notre imagination pour ne pas dire qu'ils la forgent.



Quoi de plus mystérieux que ce fameux « petit groupe » d'amis. Pourquoi certains y sont instantanément intégrés comme le héros et que d'autres , pourtant parfois demandeurs, n'en feront jamais partie. Une alchimie collective qu'il serait bien ardu d'analyser. Et ce livre est un hommage à tous ceux qui ont eu la joie, voire l'extase, d'appartenir à un moment de leur vie à un « petit groupe d'amis », d'y avoir été admis spontanément et sincèrement.







Samuel d'Halescourt
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Paris de ma jeunesse

Paris de ma jeunesse de Pierre Le-Tan est un cadeau inattendu reçu avec la masse critique de décembre de Babelio, ce livre distille deux arts majeurs que j’aime énormément, le dessin et l’écriture, l’un aspire l’autre dans une spirale chavirant les méandres de la mémoire, un tableau se fige à l’architecture prosaïque, les sens sont en alerte, les personnages se lovent dans ces gravures, une vie s’animent à travers ces récits puiser au fond de la mémoire de notre artiste, que Pierre Le-tan n’oublie pas, avec son ami Patrick Modiano préfaçant ce livre.

Pierre Le-Tan avant de succomber d’une longue maladie termine d’achever les derniers récits et dessins rajoutés de son livre édité en 1988, Paris de ma jeunesse, pour une réédition augmentée paru mi-décembre 2019, c’est un petit cadeau avant sa mort de redécouvrir un Paris, comme une bulle à facette, illuminant des souvenirs lointains d’un temps perdu, scintillants des lieus à des personnages disparus, constellant des miroirs d’un Paname fantôme d’un passé sous les ombres graffites structurelles du coup de crayon sobre, épuré de ces tableaux parisiens animant la vie de ces échos du passés.

Son ami Patrick Modiano de son préambule, ouvre en appétit de sa prose cet ouvrage de souvenirs où la plume à double mains de Pierre Le-Tan entrecroisent dessins et proses dans une errance de Paris, comme des portes ouvertes vers des émotions passées, celle comme le dit Patrick Modiano de ce Paris.

« C’est un Paris perdu que de Paris de ma jeunesse. »

De, la Place Breteuil, les quais de la Seine, Quai de Tokyo, Avenue de Camoëns, Avenue Paul Doumer, Rue Alberic-Magnard, Avenue Matignon, Place Vendôme, Rue de l’université, Boulevard Garibaldi, Boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Rue du Quatre-Septembre, Boulevard Sérurier, Avenue Percier, Rue des Colonels-Renard, Rue Guénégaud, Rue Jussieu, Rue Tournon ( une des plus jolies rues de Paris selon notre auteur), Square de l’Alboni ( un des endroits préférés de notre dessinateur) , Rue de la Pérouse, Rue du Mail, Avenue de Versailles, Rue de Boulainvilliers, Square Louvois, Rue des Artistes, et de, la Rue Vaneau complètent cette visite de Paris à travers ce livre où ces hommes et femmes, peuplant ces lieux comme des fantômes, certains gravés au fusain comme l’empereur Bao Daï, Barbara Hutton, Yul Brynner, Robert Cruikshank Reston, L’ami de Patrice, Jean( jeune gitan de 17 ans), un dignitaire de la dynastie Quajar, Le roi Farouk, toute cette farandole de portraits accompagnent la mémoire des lieux que nous fait revivre Pierre Le-Tam.

Un écho tinte sur les quais de Seine les épaves de Julien Green, une vie de Paris illusionne les songes de ces années lointaines d’une ville où les souvenirs se cristallisent dans un écrin de velours à l’encre noire de chine sur une feuille blanche d’une rue, d’une vitrine, d’un bar perdu, des marches gravitant un square, deux immeubles stoïque se regardant en silence, et ce coin de quai leitmotiv d’une ombre, celle que Pierre Le-Tam n’oublie pas, d’une prose épurée, d’un récit dilatant le temps, d’un dessin concentrant d’un laps de temps chronophage, comme sur le quai du bord de seine, un Paris ancien revit de ces cendres à jamais.

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Paris de ma jeunesse

J'adore Paris et encore plus lire à son sujet, alors découvrir quelques petits souvenirs d'un artiste ne pouvait que me plaire !



Je ne connaissais pas du tout Pierre Le-Tan, mais j'ai aimé lire les petites anecdotes qu'il nous livre, d'autant plus qu'il nous permet de mettre un pied dans certains appartements très chic.

Beaucoup de nostalgie dans ce livre, mais il se lit très rapidement, sans nous rendre triste pour autant. On aurait presque envie de se retrouver directement projetés dans ses souvenirs, tant les détails sont présents et nous emmènent dans le passé sans que l'on ait besoin de faire d'efforts.

Les illustrations sont plaisantes.



Je pense qu'il est préférable de connaître la vie de l'auteur, son oeuvre, pour mieux savourer ce petit livre, être plus absorbé dans toutes les anecdotes qui sont racontées, tous les noms qui sont évoqués . De mon côté, il m'a bien donné envie de découvrir ses dessins !
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Paris de ma jeunesse

Nouvelle édition, enrichie par l’auteur peu avant sa mort, d’un livre qui prouve que l’illustrateur était aussi un véritable écrivain.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..
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Paris de ma jeunesse

Le peintre et écrivain évoque avec mélancolie les rues de notre capitale. Un bijou littéraire. [...] Le-Tan écrit et dessine comme il est: un être délicieusement élégant, humble et doté d’un talent exceptionnel.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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