Pour ceux là qui sont par terre, qu’importe le jour bruyant, ou la nuit tranquille, ou le radieux matin. Puisqu’il n’y a plus d’espérance, puisque personne n’aura pitié, puisqu’il faut rester où la tête alourdie est tombée, et attendre là, sur le pavé, la grande crispation qui finira tout ...