Il lui arrivait bien, par respect, de s'associer à ces prières qu'on dit en famille pour les défunts ; mais il ne croyait à aucune survivance des âmes.
Dans leurs causeries entre marins, ils disaient tout cela, d'une manière brève et assurée, comme une chose bien connue de chacun ; ce qui pourtant n'empêchait pas une vague appréhension des fantômes, une vague frayeur des cimetières, une confiance extrême dans les saints et les images qui protègent, ni surtout une vénération innée pour la terre bénite qui entoure les églises.