Hormis nous-mêmes, les sherpas et les porteurs, c'est toute une population qui, au courant de l'expédition, vient voir le toubib. Que de maladies, parfois graves, que de blessés pour Jean-François. Il soigne, il opère -nous espérons qu'il guérit. Combien le Népal a besoin de médecins. Je pense que là, dans ce domaine notamment, la France pourrait jouer un rôle éminent.