Cette année ils sont cent douze. Guillaume monte sur la butte, il embrassa Théodelin et Gaucelin, pas Gaubert, il est parti hiberner à Cluny, dans les salines de la terre. Théodelin montre, explique. Le chœur est bâti tout entier, et quand Guillaume voit l'autel, il n'y reconnaît pas la bauge, la nuit d'hiver, recouverte à présent du dais de lin blanc, l'armoire dorée qui porte les espèces, le vase sacré.