La Nation of islam, mouvement ouvertement raciste et favorable à la suprématie noire, n'hésita pourtant pas à s'allier avec le Parti nazi américain fondé par l'Américain George Lincoln Rockwell en 1959.
L'alliance de ce petit mouvement avec la NOI peut de prime abord sembler étrange. Cependant, Rockwell et Elijah Muhammad, qui s'étaient rencontrés plusieurs fois, possédaient un certain nombre de points communs : un fort antisémitisme (le leader du PNA était un négationniste notoire) ; le maintien de la ségrégation raciale (dans l'optique du suprématisme blanc pour Rockwell, ou pour éviter que les noirs ne se fondent dans une masse informe pour Muhammad) ; enfin, rappelons qu'Adolf Hitler lui-même éprouvait une vive admiration envers l'islam, qu'il considérait comme une religion guerrière par excellence.
pp 36-37.
Au final on ne peut que constater un décalage flagrant entre l’image plutôt positive de Lénine, telle qu’elle est véhiculée aujourd’hui, et l’implacable réalité du terrain. Cette dichotomie est d’autant plus incompréhensible, dans la mesure où, comme nous avons pu le constater, Lénine a violé tous les engagements pour lesquels il avait combattu le régime tsariste : suppression des libertés individuelles ; création d’une police secrète sans aucune base légale ou judiciaire ; rétablissement de la peine de mort ; instauration de la Terreur rouge (qui fit 3 fois plus de victimes en deux semaines que le régime tsariste en un siècle) ; dissolution de l’assemblée constituante qui lui était hostile ; instauration d’une véritable dictature ; ouverture de camp de concentration ; interdiction du droit de grève ; instauration d’un parti unique ; et au final un bilan humain estimé à près de quinze millions de morts (si l’on ajoute les victimes de la guerres civile à celles de la famine).
A l’aune de ces chiffres, force est de constater que Lénine ne fut pas un idéologue innocent, prix « involontairement » dans l’engrenage de la violence, qui aurait été contraint de se « salir les mains » à contrecœur à cause d’un contexte géopolitique difficile.
Aujourd’hui le premier dirigeant de l’URSS doit être considéré comme ce qu’il fut, c’est-à-dire « l’inventeur » de la première dictature totalitaire du 20ème siècle, sa responsabilité dans les atrocités commises au cours de son règne ne pouvant être écartée.
L’Histoire démontre ainsi que toute religion se corrompt au fur et à mesure qu’elle gagne en richesse et se rapproche du pouvoir exécutif.
Cependant dès mars 1991, plusieurs journalistes américains s’aperçurent que le témoignage de Nayirah ne correspondait pas à la réalité. Ainsi, si de nombreux patients et nouveau-né étaient mort lors de l’invasion du Koweït, c’était avant tout parce que le personnel médical c’était enfui, et non à cause des exactions irakiennes.
Pire, l’on découvrit que la jeune femme, loin d’être une infirmière lambda, était en fait une fille de Saud Bin Nasir al-Sabah, ambassadeur du Koweït à Washington (et membre de la famille royale koweïtienne).
En réalité, cette campagne en faveur d’une intervention internationale en Irak avait été commandée par l’association Citizen for a free Kuwait.
[…]
Ces nombreuses révélations, donnant naissance à l’affaire des couveuses du Koweït, firent grand bruit dans la presse.
Ce scandale véritable cas d’école, démontrent aujourd’hui à quel point il est facile de manipuler l’opinion publique afin de la pousser à défendre les idées du gouvernement.
Cependant, les vikings s’arrêtèrent-ils à Terre-Neuve, ou bien descendirent-ils plus au sud ? D’ailleurs, l’on pourrait même se demander pourquoi ils n’auraient pas tenté le voyage, lorsque l’on connaît l’esprit aventureux de ce peuple. Sont ils à l’origine du mythe de Quetzalcoalt, le « dieu blanc barbu », qui imprégna les peuples précolombiens, et dont le retour devait causer leur perte ? Toutefois, aucune fouille archéologique ne permet aujourd’hui d’étayer l’hypothèse d’un voyage vers le sud.