Alors, pour tromper l'ennui, Irène s'affairait autour des fourneaux. Heureusement, Marcel avait encore bon appétit, sinon qu'aurions-nous fait de ces plats mijotés ? Je n'y touchais que du bout des lèvres, ce qui me valait des reproches continuels : " Enfin, Tonton, tu n'as pas le droit. Si la pauvre Catherine vivait encore, elle serait furieuse contre toi." Hypothèse absurde, car si Catherine avait vécu, je n'aurais pas perdu l'appétit.