Notre société et notre agriculture sont victimes de boulimie. Nous voulons sans cesse plus. Nous recherchons une orgie de superflu sans même prendre soin d'assurer l'essentiel à tout le monde. Chaque fois que nous passons un palier, nous restons insatisfaits et nous cherchons à aller encore plus haut, sans jamais être rassasiés. À l'inverse la sobriété est libératrice ! [...] Avidité permanente et joie de vivre sont totalement incompatibles.