Nous n’allâmes plus à Altenhof, mais à Lindow, dans une maison de repos plus grande, au milieu d’un parc au bord d’un lac. Ma mère y corrigea les épreuves et la maquette de ses derniers récits, Drei Frauen aus Haiti (Trois femmes d’Haïti). Apprenant ce qui s’était passé au Cambodge sous le régimes des Khmers rouges, elle demanda stupéfaite : comment un gouvernement peut-il en arriver à détruire son propre peuple ?