Ce type-là puait la Waffen-SS, une douzaine de nuits des longs couteaux et une bonne brouettée d'Oradour que c'était à s'en boucher le tarin. Le genre de personnage qui avait dû laisser une bonne ration de sang en Europe, en Afrique et en Asie et qui, au comptoir, sirotait tristement un whisky en pensant probablement à ce qu'il avait pouvoir fabriquer maintenant qu'il était tout près de la soixantaine.