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Vidéos de Pierre Sipriot (15)
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ThibaultMarconnet01 juillet 2022
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Franz Kafka : Lettres à Felice avec Marthe Robert (1972 - Un livre, des voix / France Culture). Émission "Un livre, des voix". Production de Pierre Sipriot. Réalisation de Bronislaw Horowicz. Avec la participation de Marthe Robert, critique littéraire française (25 mars 1914 - 12 avril 1996). Diffusion sur France Culture le 16 juin 1972. Photographie : Franz Kafka et sa fiancée Felice Bauer en 1917 ©. Getty - Mondadori Portfolio. Lectures de lettres de Franz Kafka par Jean Négroni. En 1972, paraissaient aux éditions Gallimard les "Lettres à Felice" de Franz Kafka. À l'occasion de cette parution, Pierre Sipriot et Bronislaw Horowicz proposaient un numéro de "Un livre, des voix", consacré à cette correspondance présentée par sa traductrice, Marthe Robert. Depuis sa rencontre avec elle en 1912, jusqu'au mois d'octobre 1917, Franz Kafka écrivit plus de cinq cents lettres à Felice Bauer. Kafka se fiança deux fois avec cette jeune Berlinoise avant de rompre définitivement. De cette liaison amoureuse — dont l'issue provoquée par lui-même pesa sans doute dramatiquement sur sa santé et les dernières années de sa vie — cette monumentale correspondance est un témoignage au jour le jour, quasiment heure par heure, traduisant toute la complexité de la relation qu'entretenait Franz Kafka avec les femmes et avec le mariage. La publication tardive de ces lettres offrit aux lecteurs de Kafka une source nouvelle de lumière sur son œuvre et sur son existence d'écrivain.

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet03 septembre 2021
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Henry de Montherlant : Entretiens avec Pierre Sipriot (1952 / France Culture). Henry de Montherlant en septembre 1958 à Paris. • Crédits : Getty. Par Pierre Sipriot. Diffusion sur France Culture de septembre à décembre 1952 sous le titre de "15 soirées avec Henry de Montherlant". Réalisation : Nicole Salerne et Vanessa Nadjar. Attachée de production : Daphné Abgrall et Odile Joëssel. Coordination : Sandrine Treiner. Henry Millon de Montherlant, né le 20 avril 1895 à Paris et mort le 21 septembre 1972 dans la même ville, est un romancier, essayiste et dramaturge français. Souvent désigné sous le seul patronyme de Montherlant, il est l'auteur de quelque 70 ouvrages et est notamment connu pour son roman "Les Jeunes Filles" (1936-1939) et ses pièces de théâtre "La Reine morte" (1942), "Le Maître de Santiago" (1947) et "La Ville dont le prince est un enfant" (1951). Il est élu membre de l'Académie française en 1960. Montherlant est l'auteur d'une très abondante œuvre littéraire comprenant pour l'essentiel des romans, récits, pièces de théâtre et essais, mais aussi des notes de carnets, de la poésie et une correspondance. L'essentiel de cette œuvre est disponible dans la Bibliothèque de la Pléiade (deux tomes de romans, un tome de théâtre, un tome d'essais incluant les carnets).

00:00 1er entretien : « La plus étonnante et admirable création de la nature n'est ni l'adulte ni le jeune homme mais l'enfant. »
Dans cette première partie d’entretiens, Henry de Montherlant revient sur "L’exil", qu’il écrit à 18 ans, et "La relève du matin", des œuvres imprégnées des expériences de ses années de collège.

24:59 2ème entretien : « Je ne juge pas, je ne suis pas un professeur de morale. »
Deuxième volet des entretiens d’Henry de Montherlant avec Pierre Sipriot. Naissance d’Alban de Bricoule, figure romanesque qui parcourt l’œuvre de l’écrivain, et retour sur deux romans, "Le Songe" et "Les Olympiques", ou devoir patriotique, joie du sport et tourments amoureux mènent la danse.

51:15 3ème entretien : « Peut-être ne suis-je pas fait pour les chemins de velours. »
Dans ce troisième volet, Henry de Montherlant évoque la crise qui marque son passage à sa trentième année et durant laquelle il écrit "Aux fontaines du désir" et "Les Célibataires".

01:17:01 4ème entretien : « J’ai écrit sur les rapports entre l’homme et la femme des vérités essentielles. »
Installé à Alger au début des années 30, Henry de Montherlant s’intéresse à “La question coloniale” et écrit "La Rose de sable", roman critique du colonialisme, qui ne sera publié dans son intégralité qu’en 1982. Il n’échappe cependant pas à une autre polémique avec son roman "Les Jeunes filles".

01:43:52 5ème entretien : « J’ai toujours accepté de me mettre de moi-même à l’écart ou d’y être tenu. »
Dans ce dernier volet, Henry de Montherlant revient sur ses essais, des écrits qui collent à l’actualité avant et durant la Seconde Guerre mondiale. À travers sa voix, on perçoit les réponses d’un homme accusé à tort d'avoir été du mauvais côté de l’histoire.

Sources : France Culture et Wikipédia
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ThibaultMarconnet25 août 2021
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Michel Foucault : Folie et raison avec Pierre Sipriot (1961 - Thèmes et controverses / France Culture). Diffusion sur France Culture le 20 octobre 1961. Par Pierre Sipriot. L’émission "Thèmes et controverses" était consacrée au thème de la folie à l'occasion de la sortie du livre de Michel Foucault, "Histoire de la folie à l'âge classique". Pierre Sipriot s’entretenait avec le philosophe sur la place du fou dans la société au cours de l'Histoire. Il était question du dialogue entre la culture et la folie, et de l’occultation de celle-ci dans la vie sociale. Michel Foucault abordait, pour commencer, l’apparition de la folie comme thème important dans la littérature et dans les arts : « La folie, c'est cette négation perpétuelle de la raison occidentale. [...] Il m'a semblé que, à la fin du Moyen-Âge, un phénomène assez nouveau s'était produit. La fin du XIVème et le début du XVème ont été entièrement dominés par cette angoisse de la mort dont la peste était comme l'image sensible. Et puis, après ce thème de la mort, voilà qu’apparaît, à la période baroque, le thème de la folie. C'est la première fois que la folie vit d'une façon aussi libre, franche, c'est la première fois qu'elle fait surface d'une manière aussi large. Cette période est hantée par le thème de la folie. »

Le thème de la folie l'emporte sur le thème de la mort : « C'est un fait, la disparition de la lèpre a laissé, en quelque sorte, vacante toute cette grande mythologie du mal que le Moyen-Âge avait éprouvée d'une façon si vivante. Il semble que la folie ait pris la relève de la lèpre, d'ailleurs la meilleure preuve réside dans le fait que les premiers asiles pour les fous ont été créés dans les anciennes léproseries. »

À toutes les époques, les médecins se sont intéressés à la folie et Michel Foucault retraçait également l'histoire de cette relation entre médecine et folie.

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet01 juillet 2021
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La Commune de Paris : Analyse spectrale de l’Occident (1965 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 12 juin 1965. Illustration : Une photo de la Barricade de la Chaussée Ménilmontant, Paris, 18 mars 1871 © Getty / Bettmann / Contributeur. Pierre Sipriot s'entretient avec Henri Guillemin (critique littéraire, historien, conférencier, polémiste, homme de radio et de télévision), Emmanuel Berl (journaliste, historien, essayiste), Adrien Dansette (historien, juriste), Pierre Descaves (écrivain, chroniqueur, homme de radio), Jacques Rougerie (historien spécialiste de la Commune de Paris), Philippe Vigier (historien contemporanéiste spécialiste de la Deuxième République), Henri Lefebvre (philosophe), et Georges Lefranc (historien spécialiste du socialisme et du syndicalisme). Dans les années 60, la Commune de Paris était encore "un objet chaud" qui divisait profondément les historiens. Comme en atteste ce débat diffusé pour la première fois sur les ondes de France Culture en juin 1965 et qui réunissait sept historiens, journalistes ou philosophes spécialistes du XIXe siècle. Textes d'Élémir Bourges, Jules Claretie, Lucien Descaves, Paul et Victor Margueritte, Jules Vallès et Émile Zola lus par Jean-Paul Moulinot, Robert Party et François Périer.

« La Commune, objet chaud, a longtemps divisé les historiens. Elle a eu sa légende noire, sitôt après l’événement : celle de la révolte sauvage des barbares et bandits. Elle a eu sa légende rouge : toutes les révolutions, les insurrections socialistes du XXe siècle se sont voulues filles de l’insurrection parisienne de 1871 ; et c’était à tout prendre, politiquement, leur droit. Historiquement, cette légende a pu se révéler redoutablement déformante. L’historiographie socialiste s’assignait pour tâche de démontrer "scientifiquement" que l’onde révolutionnaire qui parcourt le premier XXe siècle trouvait sa source vive dans une Commune dont elle se déclarait légitime héritière. On quêtait, par une analyse anachroniquement rétrospective, les preuves de cette filiation, oubliant le beau précepte que Lissagaray, communard, historien « immédiat » de l’événement avait placé en 1876 en exergue à son Histoire de la Commune. "Celui qui fait au peuple de fausses légendes révolutionnaires, celui qui l’amuse d’histoires chantantes est aussi criminel que le géographe qui dresserait des cartes menteuses pour les navigateurs." »
Jacques Rougerie (in "La Commune, 1871", PUF, 1988)

Source : France Culture
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ThibaultMarconnet26 juin 2021
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L’affaire Dreyfus : Analyse spectrale de l’Occident (1967 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 2 décembre 1967. Illustration : La dégradation d'Alfred Dreyfus en couverture du supplément illustré du Petit Journal du 13 janvier 1895 © Getty / Print Collector. Par Pierre Sipriot. Réalisation de Marie-Andrée Armynot. Avec Emmanuel Berl, Pierre Sorlin, Marcel Thomas et Henry Contamine. Lectures par Jean Topart. L'affaire Dreyfus est une affaire d'État devenue par la suite un conflit social et politique majeur de la Troisième République, survenu en France à la fin du XIXe siècle autour de l'accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus, qui est finalement innocenté. Elle bouleverse la société française pendant douze ans, de 1894 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés : les « dreyfusards », partisans de l'innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards », partisans de sa culpabilité.
La condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus — pour avoir prétendument livré des documents secrets français à l'Empire allemand — est une erreur judiciaire voire un complot judiciaire sur fond d'espionnage, dans un contexte social particulièrement propice à l'antisémitisme et à la haine de l'Allemagne (revanchisme) après son annexion de l'Alsace-Lorraine (Alsace-Moselle) en 1871. L'affaire rencontre au départ un écho limité, avant qu'en 1898 l'acquittement du véritable coupable et la publication d'un pamphlet dreyfusard par Émile Zola, « J'accuse… ! », ne provoquent une succession de crises politiques et sociales. À son paroxysme en 1899, l'affaire révèle les clivages de la France de la Troisième République, où l'opposition entre les camps dreyfusard et antidreyfusard suscite de très violentes polémiques nationalisteset antisémites, diffusées par une presse influente. Elle s'achève en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocente et réhabilite définitivement Dreyfus.
Cette affaire est souvent considérée comme le symbole moderne et universel de l'iniquité au nom de la raison d'État, et reste l'un des exemples les plus marquants d'une erreur judiciaire difficilement réparée, avec un rôle majeur joué par la presse et l'opinion publique.

Sources : France Culture et Wikipedia
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Par INA
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La personnalité humaine et la technique
- Pierre SIPRIOT : le monde ouvrier au XIXe s. L'individu dans la sociétémoderne (3'45")
- A 4'29 : Serge GROUSSARD : sur la victoire éclatante du progrès ? L'automation aux Etats Unis.
Il cite des disciplines en retard (médecine, mathématiques). L'homme incapable d'émerveillement. Il doit craindre la technocratie, il cite OPPENHEIMER sur le danger qui guette la civilisation . (4')
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Par INA
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Les Dieux et les Arts selon Alain
A l'occasion de la publication des oeuvres d'ALAIN dans La Pléiade, Pierre SIPRIOT propose une émission consacrée au philosophe avec la participation de Georges BENEZE, André BRIDOUX et Maurice SAVIN.
Il y est question des livres "L'Histoire de mes pensées", récit de la vie d'ALAIN écrit par lui-même ; "Les Entretiens au bord de la mer" ; "Les Souvenirs de guerre" ; "Les Dieux" ; ALAIN...





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