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Trois jours en mai de Pierre Stéphany
En France, il se racontait l'histoire d'un civil français qui rencontre un soldat allemand, dans la rue, une de ces nuits où on entend rugir dans le ciel les escadrilles alliées en route pour la Ruhr. « Qu'est ce que vous dites de ça ?», interroge le Français en levant le poing vers les nuages. Et l'autre, sans s'émouvoir : « Propaganda ». Ce qui fit penser au mot de Rudyard Kilpling : « La première victime de la guerre, c'est la vérité ».
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