C'est justement ça qui rend l'Irlande si belle. Les dégradés de vert à l'infini, la lumière incoyable quand le ciel vient d'être lavé par une pluie battants. Et la poésie! Le rythme des mots qui répond au rythme du vent, la sonorité rocailleuse du gaélique qui se perd dans le fracas de la vague qui roule... (p.15)