AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Vidéos de Pierre de Ronsard (36)
Ajouter une vidéo





eclairbrut28 février 2024
video
Pierre de Ronsard – Anthologie des 'Amours' lue par Jacques Roubaud (1971)
Un cassette audio enregistrée par Jacques Roubaud après 1971 à l'attention de sa mère.
eclairbrut13 décembre 2023
video
RONSARD – Rêvons avec "Mignonne, allons voir si la rose..." (Université Bordeaux, 1970)
Une émission de Claude Gilbert Dubois réalisée dans les années 70 dans le cadre d'un programme de cours audios de l'Université de Bordeaux.
eclairbrut26 juillet 2023
video
Pierre de RONSARD – Ultime hommage musical (France Musique, 1985)
Quatre extraits des "Après-midi de France Culture", par Martin Kaltenecker, diffusées du 4 au 7 novembre 1985.
eclairbrut24 mai 2023
video
Pierre de RONSARD – l'Homme aux amours renaissantes (France Culture, 1985)
Cinq émissions des "Chemins de la connaissance", par Régis Labourdette, diffusées du 15 au 19 avril 1985. Présences : Gilbert Gadroffre, Hélène Moreau, Antoine Reybaud et Claude Gilbert Dubois.
videos24 mars 2023
video
https://www.laprocure.com/product/933081/jodelle-etienne-comme-un-qui-s-est-perdu-dans-la-foret-profonde-sonnets

Comme un qui s'est perdu dans la forêt profonde : sonnets
Étienne Jodelle
Édition d'Agnès Rees
Préface de Florence Delay
Éditeur Gallimard
Collection Poésie, n° 574

« Étienne Jodelle, ce nom ne vous dit sans doute pas grand-chose et pourtant il s'agit d'un des sept membres de la Pléiade, ce groupe de poètes constitué autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Un des derniers numéros de la collection Poésie chez Gallimard nous donne à le découvrir avec ce très beau recueil de sonnets avec ce titre superbe : Comme un qui s'est perdu dans la forêt profonde. Ce sont des sonnets, surtout des sonnets d'amour, mais aussi des sonnets politiques, des sonnets religieux... »
Guillaume, libraire à La Procure de Paris
+ Lire la suite
eclairbrut07 décembre 2022
video
Pierre de RONSARD – La gentille histoire d'amour avec Cassandre Salviati (Radio Bleue, 1995)
L’émission « Les grands événements de l'histoire et de la petite histoire », par Claude Dufresne et Christian Paté, diffusée le 7 janvier 1995 sur Radio Bleue.
videos08 septembre 2022
video
Enseignement 2016-2017 : de la littérature comme sport de combat
Titre : Introduction

Chaire du professeur Antoine Compagnon : Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie (2005-2020)

Cours du 3 janvier 2017.

Retrouvez les vidéos de ses enseignements :
https://www.college-de-france.fr/site/antoine-compagnon

Le cours de cette année répond à celui de 2014 qui portait sur la « guerre littéraire » de 1914-1918, c'est-à-dire sur l'inscription de la réalité de la guerre dans les oeuvres, et sur les différentes postures, souvent paradoxalement pacifiques, que l'expérience de la guerre a prescrites aux écrivains. Il s'agira cette année au contraire d'envisager la production littéraire comme lieu d'une conflictualité sui generis, tantôt sur le mode d'une détermination au combat d'idées, tantôt sur le mode d'une compétition pour la survie au sein de ce que Pierre Bourdieu, dans Les Règles de l'art, a décrit comme le « champ » littéraire. Il s'agit aussi de faire un sort à une figure rencontrée dans le cours de 2016 : celle du crochet de l'écrivain chiffonnier, mise en place par Baudelaire, et qui pouvait toujours se retourner en arme. À partir de Baudelaire et en remontant dans la modernité littéraire, on découvre une généalogie d'images : la plume-épée des Dialogues et entretiens philosophiques De Voltaire, ou la plume de fer par laquelle, bien avant l'apparition de l'objet industriel lui-même, Ronsard décrit son ambition de défense d'une France royale et catholique, dans la Continuation du Discours des misères de ce temps (1563).

La création littéraire se définit régulièrement par comparaison avec les sports de combat, et même plus généralement avec le sport, en tant que le sport a rapport au combat, c'est-à-dire à la compétition. Il y a, chez elle aussi, des championnats, des prix, la possibilité d'un dopage. Tout jeune écrivain, avertit Fontenelle, doit se préparer à entrer en lice ; Maurice Barrès lui-même, qui s'est beaucoup tenu à distance des accidents de la camaraderie littéraire, a l'impression de rejoindre un « match professionnel » au moment de rendre compte de son exploration de l'Égypte. Tous les grands écrivains du XIXe siècle, à peu d'exceptions près, se sont battus en duel, comme si ce moment de duel révélait la valeur agonistique latente de la littérature. La littérature, plutôt ou autant qu'au loisir (otium), n'aurait-elle pas rapport au negotium, au remue-ménage ? La pacification, la consolation comptent parmi ses opérations possibles, mais leur inverse paraît une tendance constitutive de la création et de l'existence littéraire.

L'abbé Irail, dans ses Querelles littéraires (1761), s'intéressait à la figure d'Archiloque, tout à la fois premier poète lyrique et premier poète satirique, qui fait de la poésie avec sa colère et son désir de vengeance. le génie et la querelle sont liés : il n'y a pas eu de siècle de grand talent, observe-t-il, qui ne fût un siècle de grande agitation et de grande jalousie entre les écrivains. Comme dans la théorie économique de Bernard Mandeville, il semble que, dans les arts, les vices privés servent le bien général et que le florissement d'une culture repose sur la querelle permanente de ses représentants.

Notre rapport à la littérature reconnaît implicitement une telle dimension pugilistique, proprement romantique ; c'est la règle du winner takes all. Pierre Bourdieu et Harold Bloom ont été les théoriciens de cette difficulté de survivre en littérature, et de cette dynamique réelle de la littérature, bien différente d'un glissement naturel d'âges, qui fait se heurter d'une part les gloires littéraires acquises, pour qui l'urgence est de durer, d'autre part les aspirants à la gloire, qui savent qu'ils n'acquerront le droit de durer qu'en rejetant leurs prédécesseurs dans le passé.

Sportifs, escrimeurs, prisonniers : ce sont plusieurs figures, au sens de Roland Barthes, de cette agonistique motrice de la vie littéraire entre la Restauration et le Second Empire, qui seront envisagées tout au long du cours.

Découvrez toutes les ressources du Collège de France :
https://www.college-de-france.fr

Suivez-nous sur :

Facebook : https://ww
+ Lire la suite





Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Pierre de Ronsard (1240)Voir plus

Quiz Voir plus

Morales de La Fontaine (1)

Dans quelle fable de J. de La Fontaine trouve-t-on cette morale: « Rien ne sert de courir, il faut partir à point » ?

Le renard et le bouc
Le laboureur et ses enfants
Le lièvre et la tortue
L’ours et l’amateur des jardins

8 questions
161 lecteurs ont répondu
Thèmes : poésie françaiseCréer un quiz sur cet auteur

{* *}